L'agence de voyages confirme. Terminal A n'a pas honoré le BSP d'octobre en Espagne. La presse espagnole annonce un passif de plus de 30 millions d'euros auprès de plusieurs compagnies aériennes.
Un chiffre que n'a pas souhaité commenter l'agence en ligne qui explique ne pas pouvoir faire "face aux nombreuses garanties bancaires exigées par certaines compagnies aériennes et IATA, alors que TerminalA a, depuis sa création en avril 2004, toujours honoré ses paiements."
"Nous avons estimé que dans l’environnement économique actuel espagnol, il était impossible d’obtenir auprès des banques de telles garanties à courts termes."
Pour l'heure, le "Departement Legal" du voyagiste, avec l’aide d’avocats indépendants négocie actuellement avec les compagnies aériennes.
Un chiffre que n'a pas souhaité commenter l'agence en ligne qui explique ne pas pouvoir faire "face aux nombreuses garanties bancaires exigées par certaines compagnies aériennes et IATA, alors que TerminalA a, depuis sa création en avril 2004, toujours honoré ses paiements."
"Nous avons estimé que dans l’environnement économique actuel espagnol, il était impossible d’obtenir auprès des banques de telles garanties à courts termes."
Pour l'heure, le "Departement Legal" du voyagiste, avec l’aide d’avocats indépendants négocie actuellement avec les compagnies aériennes.
TerminalA souhaite se passer IATA
TerminalA veut changer de modèle et souhaite se passer IATA : "En effet, nombreuses entités sont depuis longtemps intéressées pour prendre une participation dans le capital de TerminalA.
Parmi les entités avec lesquelles nous avons discutés, certaines ont des activités dans le voyage en ligne ou pas, opèrent sans licence IATA, sous-traitent totalement l’émission de leur billetterie et se portent bien."
En attendant, l'agence en ligne assure que l’activité et l’emploi sont maintenus. Pour continuer ses opérations, elle a signé des accords avec des consolidateurs qui lui permettent de maintenir l’activité.
Parmi les entités avec lesquelles nous avons discutés, certaines ont des activités dans le voyage en ligne ou pas, opèrent sans licence IATA, sous-traitent totalement l’émission de leur billetterie et se portent bien."
En attendant, l'agence en ligne assure que l’activité et l’emploi sont maintenus. Pour continuer ses opérations, elle a signé des accords avec des consolidateurs qui lui permettent de maintenir l’activité.