A l'aube de cette nouvelle année, je vous présente tous MES MEILLEURS VOEUX DE SANTE ET PROSPERITE.
Pour TourMaG.com, c'est une année particulière qui s'amorce puisque notre (votre) journal fêtera en ce début d’année 2023, son 25e anniversaire.
Né en septembre 1998, dans la mouvance d’Internet, votre portail préféré est entré à pas feutrés par la petite porte de la grande maison de l’information, où les médias traditionnels tels Le Quotidien du Tourisme, Tour Hebdo, l’Univers des Voyages et quelques autres, faisaient la pluie et le beau temps.
Pas moins d’une dizaine de supports couvraient à l’époque l’ensemble des thématiques professionnelles : tourisme d’affaires, MICE, transport aérien, transport autocar, etc.
Le secteur était florissant et bruissant en ce temps là, avec des budgets dont the sky was the limit... L'industrie avait une grand'messe annuelle, the rendez-vous normand incontournable : Top Resa.
Avec les années, Deauville était devenue une sorte de colonie “top-résienne’, une foire du trône avec l'omniprésence des plus grandes marques du tourisme sur les façades, les devantures, dans les bars, les restaurants... bref, partout où il était possible de trouver de l'espace disponible !
Les numéros spéciaux des médias dédiés au Salon ressemblaient à s'y méprendre à des annuaires téléphoniques, tellement la pub y coulait à flots.
C’était le bon vieux temps des "teufs" à tout casser, des excès en tout genre, du champagne à gogo dans les villas privatisées et des limousines qui venaient accueillir les agents de voyages comme des stars, le dernier jour de l’événement.
Pour TourMaG.com, c'est une année particulière qui s'amorce puisque notre (votre) journal fêtera en ce début d’année 2023, son 25e anniversaire.
Né en septembre 1998, dans la mouvance d’Internet, votre portail préféré est entré à pas feutrés par la petite porte de la grande maison de l’information, où les médias traditionnels tels Le Quotidien du Tourisme, Tour Hebdo, l’Univers des Voyages et quelques autres, faisaient la pluie et le beau temps.
Pas moins d’une dizaine de supports couvraient à l’époque l’ensemble des thématiques professionnelles : tourisme d’affaires, MICE, transport aérien, transport autocar, etc.
Le secteur était florissant et bruissant en ce temps là, avec des budgets dont the sky was the limit... L'industrie avait une grand'messe annuelle, the rendez-vous normand incontournable : Top Resa.
Avec les années, Deauville était devenue une sorte de colonie “top-résienne’, une foire du trône avec l'omniprésence des plus grandes marques du tourisme sur les façades, les devantures, dans les bars, les restaurants... bref, partout où il était possible de trouver de l'espace disponible !
Les numéros spéciaux des médias dédiés au Salon ressemblaient à s'y méprendre à des annuaires téléphoniques, tellement la pub y coulait à flots.
C’était le bon vieux temps des "teufs" à tout casser, des excès en tout genre, du champagne à gogo dans les villas privatisées et des limousines qui venaient accueillir les agents de voyages comme des stars, le dernier jour de l’événement.
Les débuts de votre journal en ligne furent fort modestes…
Rien n’était trop beau pour en mettre plein la vue à la concurrence : des concerts d’artistes réputés aux cachets monstrueux aux réceptions prestigieuses, en passant par les voyages organisés au pied levé, qui transportaient au débotté les participants en avion dans le monde entier.
Trop beau pour durer ? Top Resa ne le sait pas encore mais, avec la fin de la décennie, le Salon mythique vit ses dernières années de gloire.
Sept ans plus tard, les lampions de la fête s'éteignent dans la cité normande. Adieu le strass et les paillettes et retour à la dure réalité des affaires sous la grisaille parisienne.
Pour notre première participation officielle à l’événement (2001) nous avions fait imprimer des petits flyers low cost, glissés sous les balais d'essuie-glaces des voitures garées au parking de l'Hippodrome.
Oui, les débuts de votre journal en ligne furent fort modestes…
Flash back 1998. Journaliste économique de formation et correspondant du Quotidien du Tourisme, féru de nouvelles technologies, votre serviteur décide après quelques tests de sauter le pas et de lancer un journal en ligne consacré à l'actualité du tourisme. TourMaG.com vient de naître.
Céline Eymery, qui a achevé ses études de journalisme me rejoint deux ans plus tard. Nous débutons notre humble "épopée" dans un parking de la rue de la Palud, une artère commercialement sinistrée et mal fréquentée dans l'hypercentre de Marseille, avec deux ordinateurs d’occasion et l’enthousiasme et la foi du Web chevillés au corps.
Le lieu nous avait été prêté gratis pro-deo, en échange de quelques menus travaux rédactionnels. Nous avions dealé avec Christian Miquel, pionnier du Minitel qui avait su habilement négocier le virage d’Internet avec son site Abritel.fr, devenu un des leaders de la location privée, avant son rachat par HomeAway, le géant américain du secteur.
Trop beau pour durer ? Top Resa ne le sait pas encore mais, avec la fin de la décennie, le Salon mythique vit ses dernières années de gloire.
Sept ans plus tard, les lampions de la fête s'éteignent dans la cité normande. Adieu le strass et les paillettes et retour à la dure réalité des affaires sous la grisaille parisienne.
Pour notre première participation officielle à l’événement (2001) nous avions fait imprimer des petits flyers low cost, glissés sous les balais d'essuie-glaces des voitures garées au parking de l'Hippodrome.
Oui, les débuts de votre journal en ligne furent fort modestes…
Flash back 1998. Journaliste économique de formation et correspondant du Quotidien du Tourisme, féru de nouvelles technologies, votre serviteur décide après quelques tests de sauter le pas et de lancer un journal en ligne consacré à l'actualité du tourisme. TourMaG.com vient de naître.
Céline Eymery, qui a achevé ses études de journalisme me rejoint deux ans plus tard. Nous débutons notre humble "épopée" dans un parking de la rue de la Palud, une artère commercialement sinistrée et mal fréquentée dans l'hypercentre de Marseille, avec deux ordinateurs d’occasion et l’enthousiasme et la foi du Web chevillés au corps.
Le lieu nous avait été prêté gratis pro-deo, en échange de quelques menus travaux rédactionnels. Nous avions dealé avec Christian Miquel, pionnier du Minitel qui avait su habilement négocier le virage d’Internet avec son site Abritel.fr, devenu un des leaders de la location privée, avant son rachat par HomeAway, le géant américain du secteur.
Les attentats du 11 septembre 2001 et les mutation en cours
Dans le PPPF (paysage presse pro français) du début des années 2000, TourMaG.com est une sorte d’Ovni surgi de nulle part. Une mouche du coche qui importune les éditeurs traditionnels, sans vraiment les inquiéter…
Mais les attentats du 11 septembre 2001 font prendre conscience à la profession des mutations en cours.
Malgré des moyens humains limités, nous organisons un live non-stop pendant plusieurs jours d'affilée pour soutenir la distribution et lui donner le plus de renseignements et de contacts pratiques possibles sur les tragiques événements en cours, et les sources d’information en ligne.
L’initiative est couronnée de succès et votre portail préféré marque des points décisifs dans la reconnaissance par les professionnels de l’utilité des journaux en ligne.
J’ai toujours pensé et affirmé que le numérique remplacera un jour le journal papier. Du moins chez les jeunes générations, les digital native, nés un portable à la main.
Dans son livre « Le journal qui disparaît », Philip Meyer, spécialiste du journalisme américain, spécule sur le fait que les journaux imprimés auront disparu en 2043.
Mais les attentats du 11 septembre 2001 font prendre conscience à la profession des mutations en cours.
Malgré des moyens humains limités, nous organisons un live non-stop pendant plusieurs jours d'affilée pour soutenir la distribution et lui donner le plus de renseignements et de contacts pratiques possibles sur les tragiques événements en cours, et les sources d’information en ligne.
L’initiative est couronnée de succès et votre portail préféré marque des points décisifs dans la reconnaissance par les professionnels de l’utilité des journaux en ligne.
J’ai toujours pensé et affirmé que le numérique remplacera un jour le journal papier. Du moins chez les jeunes générations, les digital native, nés un portable à la main.
Dans son livre « Le journal qui disparaît », Philip Meyer, spécialiste du journalisme américain, spécule sur le fait que les journaux imprimés auront disparu en 2043.
Presse pro touristique : exit le papier, place au digital
Je lui laisse la responsabilité de ses dires et de la date, mais force est de reconnaître que cette prophétie est d’ores et déjà devenue une réalité dans notre industrie. Du moins en France.
Hormis des parutions erratiques (trimestrielles glissantes) et/ou événementielles, plus aucun support de ce type ne sort régulièrement des imprimeries depuis plusieurs années. Beaucoup ont tiré le rideau ou végètent après la crise sanitaire.
D'autres ont refait surface depuis et font semblant, question de préserver leur marque et de donner le change, mais ne disposent plus d'équipe rédactionnelle professionnelle et se limitent à la publication de communiqués et/ou de contributions bénévoles.
Cependant, au début des années 2000, la presse traditionnelle, légitime et bien ancrée dans les habitudes et les traditions, a encore le vent en poupe.
Elle bénéficie de trois ressources principales : les petites annonces (emploi notamment), les abonnements, et les budgets publicité et marketing. Hormis la pub, la presse numérique, elle, ne dispose d’aucune ressource de la sorte et... son contenu est gratuit !
Le challenge est colossal. D'aucuns diraient “impossible”, si ce mot était français. Mais les nouvelles technologies sont sur le point d'inverser le courant et vont tout balayer sur leur passage. La gratuité de l'info en ligne devient la règle et va poser des problèmes incommensurables aux médias. Hormis la pub, point de salut !
Mais pour obtenir des budgets, il faut faire de l'audience. Une spirale infernale qui entraîne tous les titres sans exception dans une course effrénée au click. Les annonceurs des médias pro délaissent peu à peu les supports papiers et s'intéressent de plus en plus à ceux en ligne.
Fabien rejoint l’équipe de TourMaG en 2001 et surfe sur cette tendance.
Vendeur-né, coriace, opiniâtre, créatif, l’arrivée du nouveau responsable commercial, frais émoulu de son BTS d’Action commerciale, change la donne.
L'industrie du tourisme veut tester le concept : l’Aéroport Marseille Provence, la SNCM, Swiss… Un premier tour opérateur (Look/Vacances Transat) engage une opération publicitaire d’envergure, puis d’autres lui emboîtent le pas.
Par ailleurs, l'arrivée de Valérie Dufour en 2004, ouvre la porte aux petites annonces d'emploi. Avec la mise en place de TourMagJOBS, l'expertise RH et son succès rapide, de nouvelles perspectives et sources de revenus viennent compléter notre palette de compétences.
Quatre ans après son avènement, TourMaG.com a gagné son ticket d’entrée et figure désormais parmi les titres les plus bankables de la presse touristique professionnelle française
. (A SUIVRE)
Hormis des parutions erratiques (trimestrielles glissantes) et/ou événementielles, plus aucun support de ce type ne sort régulièrement des imprimeries depuis plusieurs années. Beaucoup ont tiré le rideau ou végètent après la crise sanitaire.
D'autres ont refait surface depuis et font semblant, question de préserver leur marque et de donner le change, mais ne disposent plus d'équipe rédactionnelle professionnelle et se limitent à la publication de communiqués et/ou de contributions bénévoles.
Cependant, au début des années 2000, la presse traditionnelle, légitime et bien ancrée dans les habitudes et les traditions, a encore le vent en poupe.
Elle bénéficie de trois ressources principales : les petites annonces (emploi notamment), les abonnements, et les budgets publicité et marketing. Hormis la pub, la presse numérique, elle, ne dispose d’aucune ressource de la sorte et... son contenu est gratuit !
Le challenge est colossal. D'aucuns diraient “impossible”, si ce mot était français. Mais les nouvelles technologies sont sur le point d'inverser le courant et vont tout balayer sur leur passage. La gratuité de l'info en ligne devient la règle et va poser des problèmes incommensurables aux médias. Hormis la pub, point de salut !
Mais pour obtenir des budgets, il faut faire de l'audience. Une spirale infernale qui entraîne tous les titres sans exception dans une course effrénée au click. Les annonceurs des médias pro délaissent peu à peu les supports papiers et s'intéressent de plus en plus à ceux en ligne.
Fabien rejoint l’équipe de TourMaG en 2001 et surfe sur cette tendance.
Vendeur-né, coriace, opiniâtre, créatif, l’arrivée du nouveau responsable commercial, frais émoulu de son BTS d’Action commerciale, change la donne.
L'industrie du tourisme veut tester le concept : l’Aéroport Marseille Provence, la SNCM, Swiss… Un premier tour opérateur (Look/Vacances Transat) engage une opération publicitaire d’envergure, puis d’autres lui emboîtent le pas.
Par ailleurs, l'arrivée de Valérie Dufour en 2004, ouvre la porte aux petites annonces d'emploi. Avec la mise en place de TourMagJOBS, l'expertise RH et son succès rapide, de nouvelles perspectives et sources de revenus viennent compléter notre palette de compétences.
Quatre ans après son avènement, TourMaG.com a gagné son ticket d’entrée et figure désormais parmi les titres les plus bankables de la presse touristique professionnelle française
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"25 ANS" - LES INITIATIVES QUI ONT COMPTÉ
Le "Feuilleton "25" de Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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