Solar Impulse, frères Wright, même combat ?
Un appareil dont la mise en service est prévue pour 2016 et qui a fait l’objet de la plus grosse commande d’avions enregistrée jusque là par la low cost indienne Indigo.
Et puis un évènement considérable a eu lieu le 7 juillet 2010.
Ce jour là, le professeur suisse Bertrand Piccard a fait voler un appareil appelé Solar Impulse, dont l’énergie est à base de batteries photovoltaïques, pendant… 26 heures et 9 minutes.
Je ne suis pas loin de rapprocher cet évènement du premier vol des frères Wright un peu plus de cent ans plus tôt.
A ce jour, personne n’imagine faire décoller un avion sans utiliser l’énergie fossile, en clair le pétrole.
Or on sait que cette énergie est en voie de raréfaction et que d’autre part son utilisation est cause de bruit. Rien de tel avec l’énergie solaire : elle est infinie et silencieuse.
Et le professeur Piccard a fait la preuve qu’on pouvait l’utiliser pour faire voler un plus lourd que l’air à une vitesse moyenne de 23 nœuds, soit près de 40 km/h jusqu’à une altitude de 28000 pieds, soit 9000 mètres.
Et puis un évènement considérable a eu lieu le 7 juillet 2010.
Ce jour là, le professeur suisse Bertrand Piccard a fait voler un appareil appelé Solar Impulse, dont l’énergie est à base de batteries photovoltaïques, pendant… 26 heures et 9 minutes.
Je ne suis pas loin de rapprocher cet évènement du premier vol des frères Wright un peu plus de cent ans plus tôt.
A ce jour, personne n’imagine faire décoller un avion sans utiliser l’énergie fossile, en clair le pétrole.
Or on sait que cette énergie est en voie de raréfaction et que d’autre part son utilisation est cause de bruit. Rien de tel avec l’énergie solaire : elle est infinie et silencieuse.
Et le professeur Piccard a fait la preuve qu’on pouvait l’utiliser pour faire voler un plus lourd que l’air à une vitesse moyenne de 23 nœuds, soit près de 40 km/h jusqu’à une altitude de 28000 pieds, soit 9000 mètres.