Les mêmes causes produisent souvent les mêmes effets.
La base a eu la peau du redresseur de bilans, celui qui voulait faire l'indispensable ménage dans une entreprise old school qui file, si l'on en croit ses comptes, un mauvais coton.
Mais la tâche était complexe, limite impossible. Comment injecter de la modernité, du réalisme économique dans une entreprise qui incarne, à elle seule, le tourisme made in France ?
Un plan social, des licenciements secs, une entreprise à remettre sur les rails... la feuille de route du rugbyman, pourtant habitué aux placages, s'apparentait davantage à une course d'obstacles qu'à un parcours de santé.
Antoine Cachin, en sait quelque chose, lui qui s'y était déjà cassé le nez...
So what ? Qu'est qui va se passer maintenant ? Georges Colson reprend les rênes d'une entreprise qui doute et qui ne sait plus trop à quel saint se vouer pour remonter la pente.
La base a eu la peau du redresseur de bilans, celui qui voulait faire l'indispensable ménage dans une entreprise old school qui file, si l'on en croit ses comptes, un mauvais coton.
Mais la tâche était complexe, limite impossible. Comment injecter de la modernité, du réalisme économique dans une entreprise qui incarne, à elle seule, le tourisme made in France ?
Un plan social, des licenciements secs, une entreprise à remettre sur les rails... la feuille de route du rugbyman, pourtant habitué aux placages, s'apparentait davantage à une course d'obstacles qu'à un parcours de santé.
Antoine Cachin, en sait quelque chose, lui qui s'y était déjà cassé le nez...
So what ? Qu'est qui va se passer maintenant ? Georges Colson reprend les rênes d'une entreprise qui doute et qui ne sait plus trop à quel saint se vouer pour remonter la pente.
Le challenge de G. Colson s'apparente à une sorte de quadrature du cercle
Pourtant, elle ne manque pas d'atouts : produits séduisants, après vente performant, image de marque enviable...
Seulement voilà : elle n'est plus en phase avec le marché, sa clientèle a vieilli et malgré ses efforts, elle n'a pas su s'adapter à une clientèle qui recherche autre chose que des forfaits d'une semaine en Tunisie ou au Maroc.
Des destinations où le TO est fortement engagé et auxquelles le printemps arabe a donné le coup de grâce.
Bref, le challenge de Georges Colson s'apparente à une sorte de quadrature du cercle, quand on connaît en outre, les relations passablement complexes de son actionnariat familial.
Et la solution ne pourra pas venir de repreneurs potentiels (TUI, Thomas Cook...) qui luttent eux-mêmes pour leur propre survie.
Affaire à suivre.....
Seulement voilà : elle n'est plus en phase avec le marché, sa clientèle a vieilli et malgré ses efforts, elle n'a pas su s'adapter à une clientèle qui recherche autre chose que des forfaits d'une semaine en Tunisie ou au Maroc.
Des destinations où le TO est fortement engagé et auxquelles le printemps arabe a donné le coup de grâce.
Bref, le challenge de Georges Colson s'apparente à une sorte de quadrature du cercle, quand on connaît en outre, les relations passablement complexes de son actionnariat familial.
Et la solution ne pourra pas venir de repreneurs potentiels (TUI, Thomas Cook...) qui luttent eux-mêmes pour leur propre survie.
Affaire à suivre.....