Juste au passage, en digression comme je les aime, le bon Rick Sailor qui attendait enfin des infos, va pouvoir se répandre tout à son aise. La case des commentaires est grande ouverte !
Comme nous vous l'avons annoncé en exclusivité lundi 22 février 2016, cette fois, c'est la guerre ouverte au sein des instances dirigeantes de Selectour Afat. "Ras le bol" ont (enfin ?) osé dire ces administrateurs, ces délégués régionaux, face à la démagogie qui semble présider aux décisions unilatérales prises par une majorité décadente.
Mais bourrée de certitudes, droite dans ses bottes, s'accrochant avec l'énergie du désespoir à un navire qui prend l'eau de toutes parts.
Les adhérents, à qui l'on communique ce que l'on veut bien leur communiquer, c’est-à-dire pas grand-chose, n'ont rien vu venir…
Certains cependant, de plus en plus nombreux, ont commencé à manifester sur leur Forum, s'insurgeant contre la perte de rémunération, la mise "hors marché" des produits TO (ben, c'est normal, faut bien qu'ils compensent, ils ont aussi besoin de tortorer)…
Ce n'est pas la majorité réplique la présidente, laquelle considère tout ceci comme une simple vétille et surement pas un prétexte à démission. Pour elle, du moins.
Comme nous vous l'avons annoncé en exclusivité lundi 22 février 2016, cette fois, c'est la guerre ouverte au sein des instances dirigeantes de Selectour Afat. "Ras le bol" ont (enfin ?) osé dire ces administrateurs, ces délégués régionaux, face à la démagogie qui semble présider aux décisions unilatérales prises par une majorité décadente.
Mais bourrée de certitudes, droite dans ses bottes, s'accrochant avec l'énergie du désespoir à un navire qui prend l'eau de toutes parts.
Les adhérents, à qui l'on communique ce que l'on veut bien leur communiquer, c’est-à-dire pas grand-chose, n'ont rien vu venir…
Certains cependant, de plus en plus nombreux, ont commencé à manifester sur leur Forum, s'insurgeant contre la perte de rémunération, la mise "hors marché" des produits TO (ben, c'est normal, faut bien qu'ils compensent, ils ont aussi besoin de tortorer)…
Ce n'est pas la majorité réplique la présidente, laquelle considère tout ceci comme une simple vétille et surement pas un prétexte à démission. Pour elle, du moins.
En revanche, les six dissidents, eux, ont démissionné. Parce qu'ils en ont marre du brouillard qui plane en permanence sur un Conseil d'Administration opaque, parce qu'ils ne veulent plus être traités comme des larbins, parce qu'ils en ont ras la casquette de ne pas être tenus au courant d'affaires qui méritent pourtant l'attention.
Tiens, à propos d'affaire, ils soulignent dans leur lettre aux adhérents un certain litige qui oppose le réseau à Carlipa.
C'est quoi Carlipa ? Ben, je vais vous dire. C'est une histoire qui date de quelques années, du temps où Jean-Luc Dufrenne (qui voit au fil des jours ses espoirs de présidentiable s'effondrer telle la baudruche du Cirque Pinder) présidait encore à la com' et le "marketinge".
Déjà, Mango, c'était une cata, mais là, c'était aussi le pompon. Carlipa, c'était une société qui fournissait (je fais simple), les écrans intérieurs dans les boutiques du réseau. Avec un contrat de fournisseur en bonne et due forme.
Quand, dans un grand élan d'harmonisation (eh oui), le réseau a décidé d'un concept commun de vitrines pour le réseau, la commission en question a choisi une autre société, lilloise celle-ci, Manganelli et lui a confié le marché.
Bon, fallait dédommager Carlipa, dont le contrat, selon les dire du sieur Dufrenne, se terminait dans les mois suivants. Coût du dédommagement : 80.000€. Et le directeur général de l'époque, Jean-Pierre Mas signait le nouveau contrat en faveur de Manganelli.
Tiens, à propos d'affaire, ils soulignent dans leur lettre aux adhérents un certain litige qui oppose le réseau à Carlipa.
C'est quoi Carlipa ? Ben, je vais vous dire. C'est une histoire qui date de quelques années, du temps où Jean-Luc Dufrenne (qui voit au fil des jours ses espoirs de présidentiable s'effondrer telle la baudruche du Cirque Pinder) présidait encore à la com' et le "marketinge".
Déjà, Mango, c'était une cata, mais là, c'était aussi le pompon. Carlipa, c'était une société qui fournissait (je fais simple), les écrans intérieurs dans les boutiques du réseau. Avec un contrat de fournisseur en bonne et due forme.
Quand, dans un grand élan d'harmonisation (eh oui), le réseau a décidé d'un concept commun de vitrines pour le réseau, la commission en question a choisi une autre société, lilloise celle-ci, Manganelli et lui a confié le marché.
Bon, fallait dédommager Carlipa, dont le contrat, selon les dire du sieur Dufrenne, se terminait dans les mois suivants. Coût du dédommagement : 80.000€. Et le directeur général de l'époque, Jean-Pierre Mas signait le nouveau contrat en faveur de Manganelli.
Autres articles
-
Laurent Abitbol : Selectour va distribuer "le plus gros bonus de l’histoire"
-
Laurent Abitbol à l’AFTM : "Que la NDC, n’aille pas plus loin..." 🔑
-
Selectour : Amadeus B2B Wallet entre en phase de test
-
L. Abitbol (Selectour) : « L'année prochaine, nous ferons des forces de vente aussi grandes qu'un congrès »🔑
-
Forces de vente 2024 : Selectour fait un carton plein en Turquie 🔑
Seul problème, le contrat Carlipa ne se terminait pas fin 2014, mais fin 2015 ! Et comme, entre gens de bonne compagnie, un contrat est un contrat, l'affaire est en cours devant la juridiction adéquate. Avec quand même, mais c'est "peanuts", une demande de dédommagement de la part de Carlipa d'un million et des brouettes…
Ça fait désordre pour nos dissidents qui, eux, pensent quand même à la monnaie des adhérents. Lesquels les ont élus et envers qui ils se sentent responsables.
Voilà pour éclairer certains esprits qui ne savaient pas…
En fait, je pense, malgré la désinvolture dont font preuve les partisans de Selectour Afat 2020, qu'ils ont bien fait de claquer la porte. Je suis persuadé que le réseau ne pourra que confirmer leur décision.
Ils aiment leur réseau, ils ont véritablement l'esprit coopératif, ils veulent travailler pour ceux qui les ont élus et leur font confiance.
Ils le disent fort bien: "En démissionnant, nous rendons le pouvoir aux adhérents. Cependant, cet acte n'implique qu'un renouvellement partiel du CA actuel : nous appelons à une démission générale ce qui aurait pour bénéfice de le renouveler en totalité."
Je connais d'ailleurs des adhérents, chez TourCom par exemple, qui devraient aussi se lever et faire front devant l'opacité et le… brouillard.
Et comme l'écrivait Audiard, "Quand on parle pognon, à partir d'un certain chiffre, tout le monde écoute" !
Ça fait désordre pour nos dissidents qui, eux, pensent quand même à la monnaie des adhérents. Lesquels les ont élus et envers qui ils se sentent responsables.
Voilà pour éclairer certains esprits qui ne savaient pas…
En fait, je pense, malgré la désinvolture dont font preuve les partisans de Selectour Afat 2020, qu'ils ont bien fait de claquer la porte. Je suis persuadé que le réseau ne pourra que confirmer leur décision.
Ils aiment leur réseau, ils ont véritablement l'esprit coopératif, ils veulent travailler pour ceux qui les ont élus et leur font confiance.
Ils le disent fort bien: "En démissionnant, nous rendons le pouvoir aux adhérents. Cependant, cet acte n'implique qu'un renouvellement partiel du CA actuel : nous appelons à une démission générale ce qui aurait pour bénéfice de le renouveler en totalité."
Je connais d'ailleurs des adhérents, chez TourCom par exemple, qui devraient aussi se lever et faire front devant l'opacité et le… brouillard.
Et comme l'écrivait Audiard, "Quand on parle pognon, à partir d'un certain chiffre, tout le monde écoute" !