Les taxis en colère venus de toute la France et de l'étranger perturbent le trafic à Toulouse - Photo : franz massard-Fotolia.com
Et ça commence à bien faire.
Jusqu'à présent, les taxis, particulièrement ceux opérant dans la capitale, disposaient d'un monopole auquel ils étaient fortement attachés, tels les morbachs sur les poils d'un curé de campagne !
D'accord, certains avaient acheté des licences, à des prix défiant toute concurrence... dans les débuts. Et, petit à petit, tacos traditionnels se sont revendus les licences de plus en plus chers.
Tout le monde y trouvait d'ailleurs son compte, les préfectures des différents territoires y prélevant au passage taxes et diverses prébendes de bon aloi.
Bien évidemment, il n'était pas rares de trouver des licences atteignant des sommes à plus de 200 000€, qui se revendaient, afin d'assurer une retraite confortable assorties d'une conséquente plus-value.
Et tout ce petit monde de continuer la douce vie, parlant fort dans le taxi, indisposant souvent le passager par une radiophonie improbable et empruntant des itinéraires "touristiques" lucratifs. Nombreux sont les touristes étrangers qui l'on trouvé saumâtre.
Jusqu'à présent, les taxis, particulièrement ceux opérant dans la capitale, disposaient d'un monopole auquel ils étaient fortement attachés, tels les morbachs sur les poils d'un curé de campagne !
D'accord, certains avaient acheté des licences, à des prix défiant toute concurrence... dans les débuts. Et, petit à petit, tacos traditionnels se sont revendus les licences de plus en plus chers.
Tout le monde y trouvait d'ailleurs son compte, les préfectures des différents territoires y prélevant au passage taxes et diverses prébendes de bon aloi.
Bien évidemment, il n'était pas rares de trouver des licences atteignant des sommes à plus de 200 000€, qui se revendaient, afin d'assurer une retraite confortable assorties d'une conséquente plus-value.
Et tout ce petit monde de continuer la douce vie, parlant fort dans le taxi, indisposant souvent le passager par une radiophonie improbable et empruntant des itinéraires "touristiques" lucratifs. Nombreux sont les touristes étrangers qui l'on trouvé saumâtre.
Vinrent enfin les VTC et autres Uber, pour qui la notion de service, de rentabilité et de productivité collaborative anticipait déjà sur l'avenir.
Le modèle est ce qu'il est. Pas nécessairement social, ni solidaire par rapport aux travailleurs qui ont choisi ce système, mais il a le mérite d'exister, d'être apprécié par les clients utilisateurs et de fournir un véritable service : chauffeurs souvent discrets, propres, qui viennent vous chercher à l'adresse indiquée et pour un tarif nettement plus étudié.
Ceci s'appelle l'innovation et la concurrence. Un peu comme lorsque Thomas Edison inventa la première ampoule électrique, il dut faire face à la fronde des fournisseurs de bougies et autres lampes à pétrole.
Comparaison audacieuse, certes, mais réaliste.
Le plus navrant de cette histoire étant que finalement, face à un gouvernement qui ne sait plus à quel saint se vouer pour trouver des solutions à tout ce qui accable le pays... et qui lorgne avec horreur les prochaines échéances de 2017, tient absolument à ménager tout le monde.
Quitte à se servir du bon contribuable pour contribuer (laisse, c'est exprès) à la gabegie ambiante.
Du coup, puisque les tacos traditionnels ne sont pas contents, l'Etat va leur racheter leurs licences, payées à prix d'or au gré de leurs propres tractations, de façon à éteindre la crise...
Coût de l'opération pour l'état (et pour nous donc, sacrés contributeurs) : plus de 3 milliards d'euros !
Et encore je reste largement modeste... En attendant, ces mêmes tacos refusent les propositions de l'état, refusent donc les propositions de nous autres, contributeurs et utilisateurs, méprisent nos visiteurs étrangers et font caguer les tomobilistes qui veulent circuler normalement.
Ben, tout ceci manque sacrément de rigueur. D'autant que Uber, qui se développe au niveau mondial, n'aura de cesse que de s'installer partout...
Et qu'à force de demeurer stupides, les tacos n'auront plus rien du tout!
Le modèle est ce qu'il est. Pas nécessairement social, ni solidaire par rapport aux travailleurs qui ont choisi ce système, mais il a le mérite d'exister, d'être apprécié par les clients utilisateurs et de fournir un véritable service : chauffeurs souvent discrets, propres, qui viennent vous chercher à l'adresse indiquée et pour un tarif nettement plus étudié.
Ceci s'appelle l'innovation et la concurrence. Un peu comme lorsque Thomas Edison inventa la première ampoule électrique, il dut faire face à la fronde des fournisseurs de bougies et autres lampes à pétrole.
Comparaison audacieuse, certes, mais réaliste.
Le plus navrant de cette histoire étant que finalement, face à un gouvernement qui ne sait plus à quel saint se vouer pour trouver des solutions à tout ce qui accable le pays... et qui lorgne avec horreur les prochaines échéances de 2017, tient absolument à ménager tout le monde.
Quitte à se servir du bon contribuable pour contribuer (laisse, c'est exprès) à la gabegie ambiante.
Du coup, puisque les tacos traditionnels ne sont pas contents, l'Etat va leur racheter leurs licences, payées à prix d'or au gré de leurs propres tractations, de façon à éteindre la crise...
Coût de l'opération pour l'état (et pour nous donc, sacrés contributeurs) : plus de 3 milliards d'euros !
Et encore je reste largement modeste... En attendant, ces mêmes tacos refusent les propositions de l'état, refusent donc les propositions de nous autres, contributeurs et utilisateurs, méprisent nos visiteurs étrangers et font caguer les tomobilistes qui veulent circuler normalement.
Ben, tout ceci manque sacrément de rigueur. D'autant que Uber, qui se développe au niveau mondial, n'aura de cesse que de s'installer partout...
Et qu'à force de demeurer stupides, les tacos n'auront plus rien du tout!
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