La SFCMC exploite le Majestic Barrière et l’Hôtel Gray d’Albion, deux hôtels prestigieux à Cannes et en détient les murs. Elle exploite aussi le Casino Barrière Croisette et le Casino Barrière Les Princes.
Cette acquisition, conforte l’association avec la famille Desseigne-Barrière qui contrôle la SFCMC, société cotée en bourse. En mars dernier, Fimalac avait déjà acquis 40% du capital du groupe Lucien Barrière dont le groupe Accor avait décidé de se séparer (les 60% restant étant détenus par le groupe familial Desseigne-Barrière).
Au cours des deux dernières années, la SFCMC a souffert de la baisse d’activité des jeux, des travaux menés au palais des Festivals qui ont pénalisé le Casino Croisette et le chantier de la nouvelle aile au Majestic qui a également affecté l’exploitation de l’hôtel.
Mais désormais, les chantiers sont achevés et la reprise est là.
Le chiffre d'affaires a enregistré une progression de 25,6% à 44,3 M€. C'est l'activité hôtellerie grâce à la nouvelle aile du Majestic qui bénéficie du rebond avec une hausse de 45% de à 18 M€. Résultat la perte a été divisée par deux et les perspectives sont désormais encourageantes notamment avec la forte reprise du tourisme sur la Croisette.
Cette acquisition, conforte l’association avec la famille Desseigne-Barrière qui contrôle la SFCMC, société cotée en bourse. En mars dernier, Fimalac avait déjà acquis 40% du capital du groupe Lucien Barrière dont le groupe Accor avait décidé de se séparer (les 60% restant étant détenus par le groupe familial Desseigne-Barrière).
Au cours des deux dernières années, la SFCMC a souffert de la baisse d’activité des jeux, des travaux menés au palais des Festivals qui ont pénalisé le Casino Croisette et le chantier de la nouvelle aile au Majestic qui a également affecté l’exploitation de l’hôtel.
Mais désormais, les chantiers sont achevés et la reprise est là.
Le chiffre d'affaires a enregistré une progression de 25,6% à 44,3 M€. C'est l'activité hôtellerie grâce à la nouvelle aile du Majestic qui bénéficie du rebond avec une hausse de 45% de à 18 M€. Résultat la perte a été divisée par deux et les perspectives sont désormais encourageantes notamment avec la forte reprise du tourisme sur la Croisette.
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