Le groupe Lucien Barrière Hôtels et Casinos est bien connu pour ses casinos. Pourtant, recruter des croupiers n'est pas le principal travail de l'équipe d'André Decoutère, le directeur des ressources humaines.
Le plus gros volume d'embauches concerne en effet les métiers de l'hôtellerie-restauration. Des postes de saisonniers qui concernent environ un millier de personnes chaque année.
"La problématique de notre métier, principalement dans l’hôtellerie, c’est que toute la profession recrute en même temps, ce qui est source de carence de certains profils" avoue André Decoutère.
Celui-ci privilégie avant tout le savoir-être du candidat. "Nous ne sommes pas intransigeants sur le niveau de formation, car nous disposons d'un système d’accompagnement qui permet d'intégrer nos futurs salariés".
Le plus gros volume d'embauches concerne en effet les métiers de l'hôtellerie-restauration. Des postes de saisonniers qui concernent environ un millier de personnes chaque année.
"La problématique de notre métier, principalement dans l’hôtellerie, c’est que toute la profession recrute en même temps, ce qui est source de carence de certains profils" avoue André Decoutère.
Celui-ci privilégie avant tout le savoir-être du candidat. "Nous ne sommes pas intransigeants sur le niveau de formation, car nous disposons d'un système d’accompagnement qui permet d'intégrer nos futurs salariés".
Dextérité et facilités de calcul mental
Afin de récolter le plus grand nombre de CV, le groupe participe aux différents forums professionnels et travaille également avec Pôle Emploi, via une méthode de recrutement par simulation.
"Cette technique, qui met le candidat en situation, nous permet de juger de leur bon sens et de leur aptitude à s'adapter au poste" poursuit André Decoutère.
Quant aux fameux croupiers, le groupe organise aussi ses propres formations en interne lorsque le volume de recrutement est suffisant.
Car ce qui importe avant tout, c'est la dextérité et les facilités de calcul mental des candidats.
Il travaille également avec l'université de Marne la Vallée, qui programme une licence management des établissements de loisirs.
"Cette technique, qui met le candidat en situation, nous permet de juger de leur bon sens et de leur aptitude à s'adapter au poste" poursuit André Decoutère.
Quant aux fameux croupiers, le groupe organise aussi ses propres formations en interne lorsque le volume de recrutement est suffisant.
Car ce qui importe avant tout, c'est la dextérité et les facilités de calcul mental des candidats.
Il travaille également avec l'université de Marne la Vallée, qui programme une licence management des établissements de loisirs.
Une entreprise qui favorise la promotion interne
Au total, sur un effectif de 7 000 collaborateurs, le turn-over atteint seulement les 8%. Les saisonniers sont d'ailleurs nombreux à revenir d'une année sur l'autre, séduits par les conditions offertes dans une entreprise d'envergure.
"Dans un milieu où les conditions de travail sont exigeantes, nous donnons un cadre structuré, des horaires planifiés, une mutuelle, un intéressement, voire une participation.
Des avantages appréciés par les salariés et plus difficiles à retrouver au sein de l’hôtellerie indépendante" précise André Decoutère.
Concernant les plans de carrières, un comité se réunit chaque année pour faire le point sur les attentes et les perspectives de chaque employé.
Les plus prometteurs sont repérés et peuvent ensuite grimper dans la hiérarchie. La majorité des cadres étant débauchés en interne.
"Dans nos métiers, on peut encore réussir même si on est autodidacte" confirme André Decoutère.
Et s'il reste encore des postes à pourvoir, il se tourne vers son site internet, qui reçoit de nombreuses candidatures spontanées, et passe quelques annonces dans la presse spécialisée.
Pour postuler, rendez-vous sur le site internet.
"Dans un milieu où les conditions de travail sont exigeantes, nous donnons un cadre structuré, des horaires planifiés, une mutuelle, un intéressement, voire une participation.
Des avantages appréciés par les salariés et plus difficiles à retrouver au sein de l’hôtellerie indépendante" précise André Decoutère.
Concernant les plans de carrières, un comité se réunit chaque année pour faire le point sur les attentes et les perspectives de chaque employé.
Les plus prometteurs sont repérés et peuvent ensuite grimper dans la hiérarchie. La majorité des cadres étant débauchés en interne.
"Dans nos métiers, on peut encore réussir même si on est autodidacte" confirme André Decoutère.
Et s'il reste encore des postes à pourvoir, il se tourne vers son site internet, qui reçoit de nombreuses candidatures spontanées, et passe quelques annonces dans la presse spécialisée.
Pour postuler, rendez-vous sur le site internet.