En savoie, un premier confinement a amputé la saison d’hiver 2019/2020 de 20 % d’activité, puis une saison d’été essentiellement concentrée sur août se terminant encore par un recul de 20 % /crédit DepositPhoto
C’est une urgence absolue !
Les dernières déclarations du Ministre de la santé, Olivier Véran ce mardi 29 décembre, nous ont laissés une fois de plus dans une incertitude totale, sans aucune visibilité sur janvier, impactant de fait les potentielles réservations de février.
Ce n’est plus tenable pour les 112 stations de Savoie et de Haute-Savoie qui représentent deux tiers du ski français, et l’ensemble des socio professionnels et salariés ainsi que toute la chaine économique qui en dépend.
Cette situation délétère n’est plus acceptable ! Pendant des mois, les acteurs des sports d’hiver ont élaboré des protocoles sanitaires avec les autorités gouvernementales, malgré cela, celles-ci ont mis leur véto sur l’ouverture des remontées mécaniques alors que dans le même temps elles ont autorisé le déconfinement national.
Les stations de ski ont perdu jusqu’à 85 % de fréquentation et ont été avec les hôtels, les cafés et les restaurants les principaux sacrifiés de la crise sanitaire.
Aujourd’hui, nous exigeons une clarification des intentions du gouvernement. Soit il est capable de nous dire que les remontées mécaniques peuvent ouvrir le 7 janvier, soit il doit mettre en place dans les plus brefs délais les mesures nécessaires pour faire reculer l’épidémie comme le recommandent d’ailleurs bon nombre de médecins et scientifiques.
Les dernières déclarations du Ministre de la santé, Olivier Véran ce mardi 29 décembre, nous ont laissés une fois de plus dans une incertitude totale, sans aucune visibilité sur janvier, impactant de fait les potentielles réservations de février.
Ce n’est plus tenable pour les 112 stations de Savoie et de Haute-Savoie qui représentent deux tiers du ski français, et l’ensemble des socio professionnels et salariés ainsi que toute la chaine économique qui en dépend.
Cette situation délétère n’est plus acceptable ! Pendant des mois, les acteurs des sports d’hiver ont élaboré des protocoles sanitaires avec les autorités gouvernementales, malgré cela, celles-ci ont mis leur véto sur l’ouverture des remontées mécaniques alors que dans le même temps elles ont autorisé le déconfinement national.
Les stations de ski ont perdu jusqu’à 85 % de fréquentation et ont été avec les hôtels, les cafés et les restaurants les principaux sacrifiés de la crise sanitaire.
Aujourd’hui, nous exigeons une clarification des intentions du gouvernement. Soit il est capable de nous dire que les remontées mécaniques peuvent ouvrir le 7 janvier, soit il doit mettre en place dans les plus brefs délais les mesures nécessaires pour faire reculer l’épidémie comme le recommandent d’ailleurs bon nombre de médecins et scientifiques.
Sacrifiés pour les vacances de Noël, nous refusons de l’être pour celles de février !
De ces futures dispositions dépend le reste de la saison d’hiver et particulièrement les vacances de février cruciales pour l’activité touristique.
Depuis mars dernier, tous les acteurs de la montagne se sont pliés aux directives drastiques générées par la crise sanitaire avec un premier confinement qui a amputé la saison d’hiver 2019/2020 de 20 % d’activité, puis une saison d’été essentiellement concentrée sur août se terminant encore par un recul de 20 %.
Nous ressentons un profond sentiment d’injustice. Sacrifiés pour les vacances de Noël, nous refusons de l’être pour celles de février ! C’est devant un défaut d’équité avéré et une absence de logique que la montagne perd confiance dans le gouvernement.
Laissons aux Français et à la clientèle touristique la liberté de profiter des stations comme ils ont pu profiter des destinations soleil pendant la trêve des confiseurs.
Pour la Savoie et la Haute-Savoie ainsi que l’ensemble des massifs français, pour les femmes et les hommes qui sont les moteurs de cette économie si essentielle, qui attendent avec angoisse une date d’ouverture, une réponse claire est absolument vitale.
Vincent ROLLAND, député de Savoie, coprésident de l’Agence Savoie Mont Blanc et Nicolas RUBIN, maire de Châtel, président de l’association des maires de Haute-Savoie, coprésident de l’Agence Savoie Mont Blanc
Depuis mars dernier, tous les acteurs de la montagne se sont pliés aux directives drastiques générées par la crise sanitaire avec un premier confinement qui a amputé la saison d’hiver 2019/2020 de 20 % d’activité, puis une saison d’été essentiellement concentrée sur août se terminant encore par un recul de 20 %.
Nous ressentons un profond sentiment d’injustice. Sacrifiés pour les vacances de Noël, nous refusons de l’être pour celles de février ! C’est devant un défaut d’équité avéré et une absence de logique que la montagne perd confiance dans le gouvernement.
Laissons aux Français et à la clientèle touristique la liberté de profiter des stations comme ils ont pu profiter des destinations soleil pendant la trêve des confiseurs.
Pour la Savoie et la Haute-Savoie ainsi que l’ensemble des massifs français, pour les femmes et les hommes qui sont les moteurs de cette économie si essentielle, qui attendent avec angoisse une date d’ouverture, une réponse claire est absolument vitale.
Vincent ROLLAND, député de Savoie, coprésident de l’Agence Savoie Mont Blanc et Nicolas RUBIN, maire de Châtel, président de l’association des maires de Haute-Savoie, coprésident de l’Agence Savoie Mont Blanc