Dans la perspective de l’anticipation du départ à la retraite de certains de ses actionnaires et pour faire face aux groupes financiers anglo-saxons, National Tours s’est rapproché, en janvier dernier, du groupe Salaün.
Ce dernier lui offrait des garanties de maintien de ses marques (National Tours, Voyages Terrien, Voyages Jouanno, Jouanno Evasion, Tourocéan Voyages et Voyages Frémont), de son réseau de partenaires et de ses 150 salariés.
Les trois voyagistes bretons (avec Terrien) ont développé une même culture d’entreprise régionale, proche de sa clientèle. Tout en ayant le même actionnaire ils gardent toutefois leur autonomie, leur identité et leur positionnement en matière de production.
L’activité de National Tours est réalisée pour 20 % par des circuits en autocars (France, Italie, Espagne, Portugal, Autriche…) et 80 % par des voyages - et surtout des circuits - moyen et long courriers avec un acheminement par avion.
Ce dernier lui offrait des garanties de maintien de ses marques (National Tours, Voyages Terrien, Voyages Jouanno, Jouanno Evasion, Tourocéan Voyages et Voyages Frémont), de son réseau de partenaires et de ses 150 salariés.
Les trois voyagistes bretons (avec Terrien) ont développé une même culture d’entreprise régionale, proche de sa clientèle. Tout en ayant le même actionnaire ils gardent toutefois leur autonomie, leur identité et leur positionnement en matière de production.
L’activité de National Tours est réalisée pour 20 % par des circuits en autocars (France, Italie, Espagne, Portugal, Autriche…) et 80 % par des voyages - et surtout des circuits - moyen et long courriers avec un acheminement par avion.
National Tours s’est « délocalisé » à travers l’Hexagone
Le TO projette de développer sa gamme de voyages en autocars avec des circuits vers l’Irlande, le Maroc, la Grèce et même la Tunisie. L’un de ses arguments est de disposer de véhicules haut de gamme de la nouvelle génération, des « First Class » qui se révèlent beaucoup plus confortables que la classe « éco » de bien des compagnies aériennes.
Tout en programmant des départs du grand ouest, National Tours s’est « délocalisé » à travers l’Hexagone. A l’exception du sud-ouest et du nord de la France il programme des départs des grandes villes régionales comme Lyon ou encore Marseille où il a ouvert un bureau. Le site internet du TO a, pour le moment, une simple vocation consultative. Il devrait, à terme, s’ouvrir à la réservation.
Le TO développe avec ses clients des rapports de proximité et de convivialité. Grâce à son réseau d’autocaristes associés il va les chercher « pratiquement » chez eux avec un système de ramassage très rodé. Il s’adapte aux différents segments de clientèle, proche de ceux qui veulent être rassurés et « cocoonés.
Pour autant, et Laurent Lhomme, le nouveau directeur général de National Tours le précise pour qui en douterait, la clientèle régionale vit pleinement avec son temps. « C’est une clientèle très informée sur les destinations et exigeante sur les services.
Il faut arrêter avec cet a priori qui voudrait que les grands TO nationaux aient une clientèle haut de gamme, laissant aux TO et autocaristes régionaux une clientèle sous informée et à petit pouvoir d’achat. »
Tout en programmant des départs du grand ouest, National Tours s’est « délocalisé » à travers l’Hexagone. A l’exception du sud-ouest et du nord de la France il programme des départs des grandes villes régionales comme Lyon ou encore Marseille où il a ouvert un bureau. Le site internet du TO a, pour le moment, une simple vocation consultative. Il devrait, à terme, s’ouvrir à la réservation.
Le TO développe avec ses clients des rapports de proximité et de convivialité. Grâce à son réseau d’autocaristes associés il va les chercher « pratiquement » chez eux avec un système de ramassage très rodé. Il s’adapte aux différents segments de clientèle, proche de ceux qui veulent être rassurés et « cocoonés.
Pour autant, et Laurent Lhomme, le nouveau directeur général de National Tours le précise pour qui en douterait, la clientèle régionale vit pleinement avec son temps. « C’est une clientèle très informée sur les destinations et exigeante sur les services.
Il faut arrêter avec cet a priori qui voudrait que les grands TO nationaux aient une clientèle haut de gamme, laissant aux TO et autocaristes régionaux une clientèle sous informée et à petit pouvoir d’achat. »
L’activité TO de National Tours représente 50 000 passagers, un CA de 47 M€ et 35 salariés.
