Plus de 170 inscrits aux Journées des dirigeants, "c'est un record absolu", s'enthousiasme Jean Korcia, président du GIE Manor - DR : M.S.
"C'est un record absolu", s'enthousiasme Jean Korcia, le président du GIE Manor, à l'approche du coup d'envoi des Journées des dirigeants, du 9 au 11 novembre 2012 à Rome.
Cette année, tous les fournisseurs ont répondu présent à la convention qui mettra en avant les jeunes dirigeants, sur le thème "Quel avenir entre modèle artisanal et modèle industriel ?"
Deux tables rondes sont programmées le vendredi de 15h à 18h.
La première, consacrée au voyage d’affaires, réunira Valérie Assayag (directrice des ventes agences Sncf), Soline de Montrémy (directrice des ventes agences Air France), Georges Rudas (Pdg Amadeus), Romain Cluis (Orsud), Philippe Korcia (Eurafrique) et Aurélien Rath (Cap 5).
La deuxième, dédiée au loisir, rassemblera Georges Azouze (Pdg de Costa France), Christine Crispin (Pdg de Climats du Monde), Pascal de Izaguirre (Président de TUI France), José Martinez (Amplitudes) Bruno Peynichou (Voyages Gallia), et Lotfi Tazi (VPN).
Le samedi matin, Mathieu Gufflet, pdg de EPSA, fera une intervention sur les évolutions de la gestion des voyages dans les PME/PMI.
Luc Ferry, philosophe et ancien ministre de l’Education, clôturera les séances de travail sur le thème : « comment réconcilier humanisme et capitalisme ? »
Force est de reconnaître : lentement mais sûrement, le réseau Manor, a su tracer sa route.
Et le déséquilibre entre loisirs et affaires (30/70), qui pouvait auparavant apparaître comme une faiblesse, est devenu un point fort : en effet, le business travel se porte bien et, contrairement au loisir, les agences de voyages spécialisées n'ont pas été chassées par les outils technologiques.
Cette année, tous les fournisseurs ont répondu présent à la convention qui mettra en avant les jeunes dirigeants, sur le thème "Quel avenir entre modèle artisanal et modèle industriel ?"
Deux tables rondes sont programmées le vendredi de 15h à 18h.
La première, consacrée au voyage d’affaires, réunira Valérie Assayag (directrice des ventes agences Sncf), Soline de Montrémy (directrice des ventes agences Air France), Georges Rudas (Pdg Amadeus), Romain Cluis (Orsud), Philippe Korcia (Eurafrique) et Aurélien Rath (Cap 5).
La deuxième, dédiée au loisir, rassemblera Georges Azouze (Pdg de Costa France), Christine Crispin (Pdg de Climats du Monde), Pascal de Izaguirre (Président de TUI France), José Martinez (Amplitudes) Bruno Peynichou (Voyages Gallia), et Lotfi Tazi (VPN).
Le samedi matin, Mathieu Gufflet, pdg de EPSA, fera une intervention sur les évolutions de la gestion des voyages dans les PME/PMI.
Luc Ferry, philosophe et ancien ministre de l’Education, clôturera les séances de travail sur le thème : « comment réconcilier humanisme et capitalisme ? »
Force est de reconnaître : lentement mais sûrement, le réseau Manor, a su tracer sa route.
Et le déséquilibre entre loisirs et affaires (30/70), qui pouvait auparavant apparaître comme une faiblesse, est devenu un point fort : en effet, le business travel se porte bien et, contrairement au loisir, les agences de voyages spécialisées n'ont pas été chassées par les outils technologiques.
Un réseau solide qui pratique la politique des "petits pas"
Booking Tools ou pas, le distributeur conserve sa valeur ajoutée pour l'entreprise et le voyageur d'affaires.
Par ailleurs, les projets d'alliance avec TourCom se poursuivent, notamment au niveau de la politique de référencement. Les deux réseaux sont alliés dans un GIE baptisé Business and Tourism Travel Group (BTTG)
Pour autant, Manor tient toujours à faire entendre sa différence. On l'a vu dernièrement dans le choix de la caisse de garantie avec un arbitrage défavorable au réseau de Richard Vainopoulos dont la CRF a pourtant une solide réputation.
L l'affaire n'a pas été conclue car Manor ne voulait pas dépendre de TourCom à ce niveau là. "Mais cela ne remet pas, pour autant, en cause nos bonnes relations avec Toucom...", affirmait dernièrement Jean Korcia à TourMaG.com..
Probablement pas mais c'est quand même le signe que Manor reste farouchement attachée à une certaine autonomie. Il faut dire qu'avec son volume d'affaires qui devrait friser les 2 milliards et des fleurons comme Cap 5 ou Orsud, pour ne citer qu'eux, Manor qui entre dans sa 26e année, n'a besoin de personne pour lui tenir la main...
Par ailleurs, les projets d'alliance avec TourCom se poursuivent, notamment au niveau de la politique de référencement. Les deux réseaux sont alliés dans un GIE baptisé Business and Tourism Travel Group (BTTG)
Pour autant, Manor tient toujours à faire entendre sa différence. On l'a vu dernièrement dans le choix de la caisse de garantie avec un arbitrage défavorable au réseau de Richard Vainopoulos dont la CRF a pourtant une solide réputation.
L l'affaire n'a pas été conclue car Manor ne voulait pas dépendre de TourCom à ce niveau là. "Mais cela ne remet pas, pour autant, en cause nos bonnes relations avec Toucom...", affirmait dernièrement Jean Korcia à TourMaG.com..
Probablement pas mais c'est quand même le signe que Manor reste farouchement attachée à une certaine autonomie. Il faut dire qu'avec son volume d'affaires qui devrait friser les 2 milliards et des fleurons comme Cap 5 ou Orsud, pour ne citer qu'eux, Manor qui entre dans sa 26e année, n'a besoin de personne pour lui tenir la main...