1 - Maîtriser une ou plusieurs langues vivantes
Accéder à un premier poste n'est pas chose aisée. Comment faire la différence sur le marché de l'emploi quand on est un jeune diplômé ? Quelques conseils de Karl Rigal, de Monster.fr - DR : Depositphotos
« Il faut miser sur l’apprentissage des langues ! », insiste Karl Rigal, responsable éditorial de Monster.fr
S’il y a un intérêt à apprendre le russe ou le chinois, il est impossible de faire l’impasse sur l’anglais.
C’est encore plus vrai dans l’industrie du tourisme !
« L’anglais garantit une employabilité. Votre profil risque d’être particulièrement sexy si vous maîtrisez plusieurs langues », complète Karl Rigal.
S’il y a un intérêt à apprendre le russe ou le chinois, il est impossible de faire l’impasse sur l’anglais.
C’est encore plus vrai dans l’industrie du tourisme !
« L’anglais garantit une employabilité. Votre profil risque d’être particulièrement sexy si vous maîtrisez plusieurs langues », complète Karl Rigal.
2 - La culture générale
« Le tourisme est un secteur du service, la clientèle est identifiée, l’idée est de pouvoir répondre à ses demandes particulières et de savoir ce qu’elle peut ou non entendre. Cela fait appel à une culture générale », précise Karl Rigal.
Il est donc important de valoriser sur son CV ses expériences au contact d’autres cultures : stages, semestre, job d’été à l’étranger ou au contact d’étrangers.
« Une expérience en Asie ou au Moyen-Orient permettra de comprendre que certaines pratiques ou sujets pour nous très neutres ne le sont pas là-bas.
Quelle que soit l’expérience, elle garantit à l’employeur que l’on est plus préparé que d’autres à facilement prendre un poste et gérer la réalité du monde du travail », poursuit le responsable éditorial de Monster.fr.
Il est donc important de valoriser sur son CV ses expériences au contact d’autres cultures : stages, semestre, job d’été à l’étranger ou au contact d’étrangers.
« Une expérience en Asie ou au Moyen-Orient permettra de comprendre que certaines pratiques ou sujets pour nous très neutres ne le sont pas là-bas.
Quelle que soit l’expérience, elle garantit à l’employeur que l’on est plus préparé que d’autres à facilement prendre un poste et gérer la réalité du monde du travail », poursuit le responsable éditorial de Monster.fr.
3 - Valoriser ses expériences extra-scolaires
« Tous les engagements extra-scolaires feront la différence entre des profils similaires. Ces expériences traduisent un potentiel, une personnalité », affirme Karl Rigal.
Au prétexte que leurs expériences ne sont pas reliées au poste qu’ils visent, beaucoup de candidats préfèrent les taire.
« Au contraire, dire que l’on a été équipier pendant 18 mois pour telle marque de fastfood indique que l’on sait travailler sous la pression, que l’on est polyvalent, etc. Ce sont des compétences qui ont une valeur ajoutée face à des profils similaires, c’est décisif pour se projeter sur les capacités du candidat », complète Karl Rigal.
Au prétexte que leurs expériences ne sont pas reliées au poste qu’ils visent, beaucoup de candidats préfèrent les taire.
« Au contraire, dire que l’on a été équipier pendant 18 mois pour telle marque de fastfood indique que l’on sait travailler sous la pression, que l’on est polyvalent, etc. Ce sont des compétences qui ont une valeur ajoutée face à des profils similaires, c’est décisif pour se projeter sur les capacités du candidat », complète Karl Rigal.
4 - Comme pour le fond, soigner la forme
Premier lien avec le recruteur, le CV reste un élément important vers l’accès à l’emploi. Favoriser une lecture simple et rapide est indispensable au risque de lasser son interlocuteur.
« Chiffrer ses réussites. Peu importe ses expériences (associatives, scolaires, salariat, etc.), organiser son CV montre qu’on est capable d’avoir du recul, d’identifier l’information clé, qualitative et décisionnelle à la lecture du CV, que l’on est capable de s’adapter aux attentes de son interlocuteur : client, équipes marketing, etc. », souligne Karl Rigal.
« Chiffrer ses réussites. Peu importe ses expériences (associatives, scolaires, salariat, etc.), organiser son CV montre qu’on est capable d’avoir du recul, d’identifier l’information clé, qualitative et décisionnelle à la lecture du CV, que l’on est capable de s’adapter aux attentes de son interlocuteur : client, équipes marketing, etc. », souligne Karl Rigal.
5 - Les « centres d'intérêts », une information capitale
Arbitre de football, joueur de flûte traversière, incollable sur la littérature du XIXe siècle… Les centres d’intérêts ne sont pas à négliger. Là encore, ils peuvent faire la différence avec d’autres candidats.
« C’est très important, en particulier dans l’industrie du tourisme. Malheureusement, cette rubrique est souvent mal comprise par les candidats. Ils pensent que cela va indiquer au recruteur si l’on est plutôt cérébral, artiste ou sportif », constate Karl Rigal.
Alors à quoi sert-elle ? « La véritable raison d’être de cette partie est de savoir si, sur un sujet sur lequel la personne déclare être passionnée, elle aura la capacité à susciter un intérêt chez son interlocuteur », explique Karl Rigal.
« Cela permettra de rassurer le RH sur la faculté ou non à engager ses collaborateurs sur un sujet pas forcément sexy ou encore à vendre un produit à un client », complète-t-il.
« C’est très important, en particulier dans l’industrie du tourisme. Malheureusement, cette rubrique est souvent mal comprise par les candidats. Ils pensent que cela va indiquer au recruteur si l’on est plutôt cérébral, artiste ou sportif », constate Karl Rigal.
Alors à quoi sert-elle ? « La véritable raison d’être de cette partie est de savoir si, sur un sujet sur lequel la personne déclare être passionnée, elle aura la capacité à susciter un intérêt chez son interlocuteur », explique Karl Rigal.
« Cela permettra de rassurer le RH sur la faculté ou non à engager ses collaborateurs sur un sujet pas forcément sexy ou encore à vendre un produit à un client », complète-t-il.
6 - Miser sur les réseaux
Avant même de regarder les offres d’emploi, il est indispensable de déposer son CV en ligne et de le rendre actif pour gagner en visibilité.
« Sur Monster.fr, 22 millions de requêtes ont été effectuées en 2018. Il existe un marché caché de l’emploi, il faut s’assurer d’être visible. Son profil doit être mis à jour tous les mois, pour qu’il remonte dans la liste soumise aux recruteurs », note Karl Rigal.
Il ne vous reste plus qu’à lancer des alertes pour être le premier à obtenir les offres fraîchement publiées ! A vos CV, le premier job est à portée de clics !
« Sur Monster.fr, 22 millions de requêtes ont été effectuées en 2018. Il existe un marché caché de l’emploi, il faut s’assurer d’être visible. Son profil doit être mis à jour tous les mois, pour qu’il remonte dans la liste soumise aux recruteurs », note Karl Rigal.
Il ne vous reste plus qu’à lancer des alertes pour être le premier à obtenir les offres fraîchement publiées ! A vos CV, le premier job est à portée de clics !