Lors des Assises nationales du Tourisme, Hervé Novelli, secrétaire d'Etat en charge du Tourisme, a exprimé la volonté que Maison de la France soit « tête de réseau des initiatives » visant à fédérer l'offre touristique française pour la porter plus efficacement sur Internet (en B to B comme en B to
C).
Son bras séculier c'est la SAS Franceguide, filiale de Maison de la France, est née en 2006 par fusion/absorption de la SAS Résinfrance. Sa mission est de développer l'accès à la réservation en ligne de l'offre nationale la plus large possible.
Cet organisme que préside Thierry Baudier, DG de Maison de la France, mène actuellement des discussions pour finaliser les partenariats techniques, commerciaux et financiers nécessaires à son développement. "Les partenaires potentiels seront invités à répondre à un cahier des charges qui leur sera communiqué fin octobre."
Selon ses prévisions, le Serveur National de Réservation (SNR) devrait engranger 8 500 dossiers d'ici la fin de l'année représentant un volume d'affaires de 3,7 Mie. Selon un communiqué, la version 4 du SNR lancée au printemps devrait permettre d'atteindre 50 000 dossiers d'ici l'été 2010, sachant qu'un objectif de 100 à 150 000 par an serait plus conforme aux enjeux stratégiques d'un tel système pour le tourisme français.
C).
Son bras séculier c'est la SAS Franceguide, filiale de Maison de la France, est née en 2006 par fusion/absorption de la SAS Résinfrance. Sa mission est de développer l'accès à la réservation en ligne de l'offre nationale la plus large possible.
Cet organisme que préside Thierry Baudier, DG de Maison de la France, mène actuellement des discussions pour finaliser les partenariats techniques, commerciaux et financiers nécessaires à son développement. "Les partenaires potentiels seront invités à répondre à un cahier des charges qui leur sera communiqué fin octobre."
Selon ses prévisions, le Serveur National de Réservation (SNR) devrait engranger 8 500 dossiers d'ici la fin de l'année représentant un volume d'affaires de 3,7 Mie. Selon un communiqué, la version 4 du SNR lancée au printemps devrait permettre d'atteindre 50 000 dossiers d'ici l'été 2010, sachant qu'un objectif de 100 à 150 000 par an serait plus conforme aux enjeux stratégiques d'un tel système pour le tourisme français.
Pas de réelle possibilité d'exploitation commerciale
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"Pour cela, il est essentiel d'augmenter les audiences, d'élargir les stocks, de développer l'accès direct aux produits (promotions, coups de cour), de développer les offres thématiques et les packages dynamiques, enfin de faciliter l'ouverture de l'offre aux plus grand nombre possible de canaux de distribution."
Seulement voilà : l'optimisme de ce type de communiqué se heurte aux dures réalités du terrain. Philippe Demonchy, ex-patron de Resinfrance, en sait quelque chose.
Les lourdeurs du système administratif et l'immensité et la complexité de la tâche ont régulièrement fait échouer ce type d'initiative, aussi séduisante soit-elle... intellectuellement.
Christian Orofino, patron de Visit France (Groupe Pauli), ne dit pas autre chose : "Ce système censé mettre en réseau toute l'offre hôtelière française n'a jamais fonctionné.
D'une part parce qu'il a été conçu par des institutionnels et de manière institutionnelle sans réelle possibilité d'exploitation commerciale; d'autre part aucune fonction B2B avec une offre française pour les TO et agences étrangères n'est possible.
Pour les marchés étrangers comme pour le marchè France, il est important d'avoir un outil permettant de fédérer toute l'hôtellerie diffuse (gites, hôtels de charme, chambre d'hôtes, meubles touristique, etc..) ainsi que les activités régionales(musée, œnologie, événements, sport, etc...) afin de pouvoir réserver en temps réel et packager des forfaits valorisants.
C'est la seule manière de promouvoir tout les territoires et de développer des économies locales grâce a un tourisme authentique et durable, c'est ce que fait Visit France avec un système d'allottement renouvelable..."
Seulement voilà : l'optimisme de ce type de communiqué se heurte aux dures réalités du terrain. Philippe Demonchy, ex-patron de Resinfrance, en sait quelque chose.
Les lourdeurs du système administratif et l'immensité et la complexité de la tâche ont régulièrement fait échouer ce type d'initiative, aussi séduisante soit-elle... intellectuellement.
Christian Orofino, patron de Visit France (Groupe Pauli), ne dit pas autre chose : "Ce système censé mettre en réseau toute l'offre hôtelière française n'a jamais fonctionné.
D'une part parce qu'il a été conçu par des institutionnels et de manière institutionnelle sans réelle possibilité d'exploitation commerciale; d'autre part aucune fonction B2B avec une offre française pour les TO et agences étrangères n'est possible.
Pour les marchés étrangers comme pour le marchè France, il est important d'avoir un outil permettant de fédérer toute l'hôtellerie diffuse (gites, hôtels de charme, chambre d'hôtes, meubles touristique, etc..) ainsi que les activités régionales(musée, œnologie, événements, sport, etc...) afin de pouvoir réserver en temps réel et packager des forfaits valorisants.
C'est la seule manière de promouvoir tout les territoires et de développer des économies locales grâce a un tourisme authentique et durable, c'est ce que fait Visit France avec un système d'allottement renouvelable..."