''Chaque adhérent a une liberté totale en ce qui concerne sa décision de joindre ou non Thomas Cook et la réciproque est vraie.''
L'accord-cadre signé entre Manor et Thomas Cook n'est-il qu'une "péripétie" comme se plaît à rappeler Jean Korcia son président ou conditionne-t-il, à terme, l'avenir du Gie ?
Bien malin qui pourrait y répondre. Une choses est certaine : le patron de Thomas Cook n'a pas fait le déplacement pour faire de la tapisserie.
Son discours a marqué les esprits même s'il n'y a pas, à priori, de raz de marée prévu vers les enseignes du voyagiste.
Un certain nombre d'agences Manor arborent d'ores et déjà les enseignes Jet tours et comme se plaît à rappeler Jean Korcia.
"Chaque adhérent a une liberté totale en ce qui concerne sa décision de joindre ou non Thomas Cook et la réciproque est vraie."
Et s'il est vrai que le réseau est constitué majoritairement d'agences d'affaires, les propositions alléchantes du producteur en matière de commission (*) pourraient en faire craquer plus d'un.
Elargir ses parts de tourisme ou accrocher une nouvelle enseigne aux couleurs des marques du voyagiste, voilà qui devient une alternative crédible compte tenu de la crise qui affecte tout autant la billetterie que le tourisme, comme se plaît à rappeler l'un des membres du Conseil d'administration.
Du côté du Cediv, on temporise. Adriana Minchella rappelle que son réseau va mener une réflexion avec l'ensemble de ses adhérents et que le choix sera fait rapidement et collectivement.
Bien malin qui pourrait y répondre. Une choses est certaine : le patron de Thomas Cook n'a pas fait le déplacement pour faire de la tapisserie.
Son discours a marqué les esprits même s'il n'y a pas, à priori, de raz de marée prévu vers les enseignes du voyagiste.
Un certain nombre d'agences Manor arborent d'ores et déjà les enseignes Jet tours et comme se plaît à rappeler Jean Korcia.
"Chaque adhérent a une liberté totale en ce qui concerne sa décision de joindre ou non Thomas Cook et la réciproque est vraie."
Et s'il est vrai que le réseau est constitué majoritairement d'agences d'affaires, les propositions alléchantes du producteur en matière de commission (*) pourraient en faire craquer plus d'un.
Elargir ses parts de tourisme ou accrocher une nouvelle enseigne aux couleurs des marques du voyagiste, voilà qui devient une alternative crédible compte tenu de la crise qui affecte tout autant la billetterie que le tourisme, comme se plaît à rappeler l'un des membres du Conseil d'administration.
Du côté du Cediv, on temporise. Adriana Minchella rappelle que son réseau va mener une réflexion avec l'ensemble de ses adhérents et que le choix sera fait rapidement et collectivement.
Le sort du G4 et de la Salle des marchés
Le président Jean Korcia et son CA (presque) au grand complet (cliquer pour agrandir)
Quand on évoque les contreparties demandées par Thomas Cook, Francis Gallo, vice-président de Manor nuance : "Nous avons 3 ans pour atteindre le chiffre de 90% des ventes demandées pour les TO référencés.
Mais nous n'avons pas d'objectifs chiffrés pour la production en propre de Thomas Cook."
Le sort du G4 et de la Salle des marchés, préoccupe-t-il Manor avec la brouille en perspective entre AS Voyages et Thomas Cook ?
Jean Korcia reste serein et F. Gallo démonte le processus: "S'il n'y a pas d'accord, il faudra que l'un ou l'autre parte mais, dans tous les cas, un vote à l'unanimité sera nécessaire et cela ne se fera pas rapidement compte tenu des délais requis entre chaque assemblée..."
Après l'accord sur le tourisme, Manor va-t-il réitérer avec American Express, un partenariat du même type que celui signé avec Thomas Cook ? Selon Jean Korcia, un groupe travaille actuellement sur ce projet qui semble bien avancé.
De quoi s'agit-il ? De donner aux agences qui le souhaitent la possibilité de mettre en place un partenariat commercial et financier avec le réseau d'affaires qui souhaite élargir son implantation géographique.
Si le cadre juridique n'est pas encore défini, certains adhérents évoquent déjà et évaluent le point supplémentaire de commission que pourrait leur rapporter une enseigne American Express...
(*) Rétrocession de la totalité commission du TO (entre 12 et 14) et entre 8,5 à 12% Club Med
Mais nous n'avons pas d'objectifs chiffrés pour la production en propre de Thomas Cook."
Le sort du G4 et de la Salle des marchés, préoccupe-t-il Manor avec la brouille en perspective entre AS Voyages et Thomas Cook ?
Jean Korcia reste serein et F. Gallo démonte le processus: "S'il n'y a pas d'accord, il faudra que l'un ou l'autre parte mais, dans tous les cas, un vote à l'unanimité sera nécessaire et cela ne se fera pas rapidement compte tenu des délais requis entre chaque assemblée..."
Après l'accord sur le tourisme, Manor va-t-il réitérer avec American Express, un partenariat du même type que celui signé avec Thomas Cook ? Selon Jean Korcia, un groupe travaille actuellement sur ce projet qui semble bien avancé.
De quoi s'agit-il ? De donner aux agences qui le souhaitent la possibilité de mettre en place un partenariat commercial et financier avec le réseau d'affaires qui souhaite élargir son implantation géographique.
Si le cadre juridique n'est pas encore défini, certains adhérents évoquent déjà et évaluent le point supplémentaire de commission que pourrait leur rapporter une enseigne American Express...
(*) Rétrocession de la totalité commission du TO (entre 12 et 14) et entre 8,5 à 12% Club Med
1,5 million d'euros de surcoms au 1er semestre
Reccord de fréquentation battu pour cette Convention de Florence avec... 179 participants !
Manor compte 420 points de vente (Cediv inclus) et 65 licences.
Le Cediv qui est représenté au sein du Conseil d'administration, compte une centaine de licences.
Malgré la crise qui devrait lui faire perdre entre 11 et 13% de volume d'affaires, Manor tire plutôt bien son épingle du jeu en 2009. Le réseau a reversé 1,5 million d'euros de surcoms à ses adhérents seulement au titre du 1er semestre. On a vu pire...
Le Cediv qui est représenté au sein du Conseil d'administration, compte une centaine de licences.
Malgré la crise qui devrait lui faire perdre entre 11 et 13% de volume d'affaires, Manor tire plutôt bien son épingle du jeu en 2009. Le réseau a reversé 1,5 million d'euros de surcoms à ses adhérents seulement au titre du 1er semestre. On a vu pire...