Au risque de doucher l’enthousiasme général, l’automne à venir comporte un vrai risque : celui de voir repartir la pandémie avec, à la clé, un nouveau confinement /crédit DepositPhoto
Au fil des semaines, force est de se rendre à l’évidence : sans vaccin, point de salut pour voyager dans le monde d’après. Celui de la post-covid-19 ou plutôt celui de l’apprivoisement du coronavirus...
Les pays les plus avancés dans la vaccination sont ceux qui ouvrent aujourd’hui leurs frontières. Certains se permettent même le luxe (Maldives, Seychelles), voire le pied de nez, de vacciner les touristes qui ne le seraient pas.
Mais cela ne change rien à l’affaire : quand on doit être vacciné, on doit être vacciné.
Il y a fort à parier que cette exigence ira croissant avec le temps. Non seulement dans les destinations les plus touchées mais aussi en France, dans nos déplacements, dans notre vie quotidienne...
On peut imaginer qu’après les ravages de la pandémie, les autorités des pays les plus appréciés des Français pour leurs vacances, soient particulièrement attentives à ne pas retomber de charybde en scylla.
Et ce d’autant plus qu’on est loin d’avoir circonscrit ce satané coronavirus qui, de variant en variant, déjoue les pronostics et poursuit sa folle cavalcade à travers la planète.
L’explosion des cas en Inde (400 000 en une seule journée) lors de la semaine écoulée, nous montre à quel point la situation est fragile et à la merci d’une simple mutation.
Les pays les plus avancés dans la vaccination sont ceux qui ouvrent aujourd’hui leurs frontières. Certains se permettent même le luxe (Maldives, Seychelles), voire le pied de nez, de vacciner les touristes qui ne le seraient pas.
Mais cela ne change rien à l’affaire : quand on doit être vacciné, on doit être vacciné.
Il y a fort à parier que cette exigence ira croissant avec le temps. Non seulement dans les destinations les plus touchées mais aussi en France, dans nos déplacements, dans notre vie quotidienne...
On peut imaginer qu’après les ravages de la pandémie, les autorités des pays les plus appréciés des Français pour leurs vacances, soient particulièrement attentives à ne pas retomber de charybde en scylla.
Et ce d’autant plus qu’on est loin d’avoir circonscrit ce satané coronavirus qui, de variant en variant, déjoue les pronostics et poursuit sa folle cavalcade à travers la planète.
L’explosion des cas en Inde (400 000 en une seule journée) lors de la semaine écoulée, nous montre à quel point la situation est fragile et à la merci d’une simple mutation.
Le risque d'un nouveau confinement cet automne ?
En France, l’accalmie pourrait, elle aussi, être de courte durée si nos concitoyens, à la faveur d’un printemps fleuri et d’une promesse d’évasion (LIRE "Les Français peuvent réserver leurs vacances d'été"), jetaient leurs gestes barrière par-dessus les orties et se mettaient à batifoler.
Car au risque de doucher l’enthousiasme général et de plomber l’ambiance, l’automne à venir comporte un vrai risque : celui de voir repartir la pandémie avec, à la clé, un nouveau confinement.
Pour écarter cette hypothèse, il n’y a aujourd’hui qu’un remède possible : la vaccination.
Et dussé-je faire hurler les “anti” (dont le pourcentage ne cesse de baisser), cette piqûre “non-obligatoire” officiellement, reste aujourd’hui notre seul sauf conduit pour le monde d’après. Ceci afin d’éviter de patauger en permanence entre couvre-feu, confinement et déconfinement.
Si ce principe est intangible pour pouvoir voyager à l’étranger, il est aussi de plus en plus vrai en France. Le Gouvernement qui faisait la fine bouche et jouait les vierges effarouchées quand on parlait de passeport vaccinal, a viré casaque.
Car au risque de doucher l’enthousiasme général et de plomber l’ambiance, l’automne à venir comporte un vrai risque : celui de voir repartir la pandémie avec, à la clé, un nouveau confinement.
Pour écarter cette hypothèse, il n’y a aujourd’hui qu’un remède possible : la vaccination.
Et dussé-je faire hurler les “anti” (dont le pourcentage ne cesse de baisser), cette piqûre “non-obligatoire” officiellement, reste aujourd’hui notre seul sauf conduit pour le monde d’après. Ceci afin d’éviter de patauger en permanence entre couvre-feu, confinement et déconfinement.
Si ce principe est intangible pour pouvoir voyager à l’étranger, il est aussi de plus en plus vrai en France. Le Gouvernement qui faisait la fine bouche et jouait les vierges effarouchées quand on parlait de passeport vaccinal, a viré casaque.
Le vaccin accessible à tous les âges et toutes les pathologies
Le dernier discours d’Emmanuel Macron (LIRE - Tourisme voyages : la réouverture et les jauges secteur par secteur) sur les dates de réouverture en 4 phases et autant de dates (restaurants, bars, terrasses, salles de sport, spectacles…), s’appuie de plus en plus et à tous les niveaux sur la logique d’un pass “sanitaire”, porté techniquement par l’appli “Tous anti-covid”, que je vous invite d’ailleurs à télécharger. (Télécharger)
Par ailleurs, le coup d’accélérateur de la vaccination et son ouverture presque accessible désormais à tous les âges et toutes les pathologies, démontre la volonté des pouvoirs publics de ne laisser aucune frange de la population au bord de la route.
On sait que la gamme des vaccins disponibles n’est pas la panacée. On ignore encore beaucoup de choses, faute de recul sur leur efficacité à long terme.
Par exemple, leur innocuité vis-à-vis des personnes non vaccinées, leur résistance aux différents variants, la fréquence de répétition (délai entre deux injections)...
En revanche, nous avons une certitude, une seule : sans vaccin, point de salut !
Par ailleurs, le coup d’accélérateur de la vaccination et son ouverture presque accessible désormais à tous les âges et toutes les pathologies, démontre la volonté des pouvoirs publics de ne laisser aucune frange de la population au bord de la route.
On sait que la gamme des vaccins disponibles n’est pas la panacée. On ignore encore beaucoup de choses, faute de recul sur leur efficacité à long terme.
Par exemple, leur innocuité vis-à-vis des personnes non vaccinées, leur résistance aux différents variants, la fréquence de répétition (délai entre deux injections)...
En revanche, nous avons une certitude, une seule : sans vaccin, point de salut !
Quel est votre avis sur le vaccin, deviendra-t-il de fait "obligatoire" ?
Votre avis nous intéresse. Pensez-vous que les Français ne pourront faire autrement que de se vacciner pour pouvoir voyager, en France comme à l'étranger ?
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L'éditorial de Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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