Dès cet été, MSC propose donc 9 départs sur l’Opéra, pour des croisières de 9J/8N, et un itinéraire en boucle Cherbourg/Cherbourg, le long de la façade Atlantique.
Décidément la France est un marché qui compte pour MSC.
Non seulement la compagnie italienne construit ses navires à Saint Nazaire mais en plus, elle jette de plus en plus, souvent l’ancre dans les ports de l’Hexagone.
Après Marseille, avec 3 navires, Villefranche sur mer, La Rochelle, toutes deux avec un seul navire, voici Cherbourg et son port, dont la réputation n’est plus à faire auprès des commandants au long cour.
C’est un refuge en cas de gros temps et l’un des plus faciles à aborder car il est profond et la marée y est assez faible pour autoriser l’accostage n’importe quand.
Non seulement la compagnie italienne construit ses navires à Saint Nazaire mais en plus, elle jette de plus en plus, souvent l’ancre dans les ports de l’Hexagone.
Après Marseille, avec 3 navires, Villefranche sur mer, La Rochelle, toutes deux avec un seul navire, voici Cherbourg et son port, dont la réputation n’est plus à faire auprès des commandants au long cour.
C’est un refuge en cas de gros temps et l’un des plus faciles à aborder car il est profond et la marée y est assez faible pour autoriser l’accostage n’importe quand.
9 départs entre le 13 juillet et le 7 septembre
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Dès cet été, MSC propose donc 9 départs sur l’Opéra, pour des croisières de 9J/8N, et un itinéraire en boucle Cherbourg/Cherbourg, le long de la façade Atlantique.
Depuis La Corogne et Saint Jacques de Compostelle,il ira jusqu’à Amsterdam, en faisant escale à Bilbao, pour le musée Guggenheim, à La Rochelle, pour la seconde guerre mondiale ou le magnifique Aquarium, et Southampton, histoire d’y boire une bonne bière...
Pour la compagnie de Monsieur Aponte, l’un 2 des plus gros transporteur du monde, l’aventure est cohérente avec les investissement qu’il engage en France.
Pour Ermino Eschena, le directeur général France de MSC, c’est également de pure logique avec la politique de développement de la compagnie sur le marché français.
« Nous voulons diversifier nos points d’embarquement depuis la France, » expliquait-il hier, lors d’une conférence de presse à la Chambre de Commerce de Cherbourg, « Et nous faisons tout pour que nos passagers n’aient pas à trop se déplacer pour débuter leurs vacances. »
Depuis La Corogne et Saint Jacques de Compostelle,il ira jusqu’à Amsterdam, en faisant escale à Bilbao, pour le musée Guggenheim, à La Rochelle, pour la seconde guerre mondiale ou le magnifique Aquarium, et Southampton, histoire d’y boire une bonne bière...
Pour la compagnie de Monsieur Aponte, l’un 2 des plus gros transporteur du monde, l’aventure est cohérente avec les investissement qu’il engage en France.
Pour Ermino Eschena, le directeur général France de MSC, c’est également de pure logique avec la politique de développement de la compagnie sur le marché français.
« Nous voulons diversifier nos points d’embarquement depuis la France, » expliquait-il hier, lors d’une conférence de presse à la Chambre de Commerce de Cherbourg, « Et nous faisons tout pour que nos passagers n’aient pas à trop se déplacer pour débuter leurs vacances. »
Cherbourg a de nombreux atouts
Très prudente, mais en phase avec les prévisions du port et de la Chambre de Commerce de la ville qui tablent sur 28 escales et 52 000 passagers pour l’année 2011, toutes compagnies confondues, MSC n’attend que 1500 passagers à l’embarquement ; le reste du remplissage étant dévolu aux différentes escales de l’itinéraire.
C’est assez modeste pour être réalisable dès cette année. C’est aussi suffisamment consistant pour pérenniser ce nouveau port d’attache.
Car tous les acteurs de l’opération sont unanimes, l’expérience devra se construire dans un esprit de « partenariat à long terme ».
A cet égard, Cherbourg ne manque pas d’atouts. Le port est à quelques minutes de la gare ; et la ligne Paris-Cherbourg fait partie des 12 lignes à moderniser d’urgence selon la SNCF.
Autre point fort, la N13 est également toute proche ; une bénédiction pour les autocaristes.
Troisième élément encourageant, le terminal est magnifique ; il est également rompu à l’exercice quand il s’agit d’accueillir les passagers de gros paquebots.
Enfin, pour les excursions, entre le Mont Saint Michel, Vallognes, la fameuse « Versailles » du Cotentin, si bien décrite par Barbey D’Aurevilly, les plages du débarquement, Sainte Mère l’Église, Barfleur… les thèmes et les sites ne manqueront pas.
C’est assez modeste pour être réalisable dès cette année. C’est aussi suffisamment consistant pour pérenniser ce nouveau port d’attache.
Car tous les acteurs de l’opération sont unanimes, l’expérience devra se construire dans un esprit de « partenariat à long terme ».
A cet égard, Cherbourg ne manque pas d’atouts. Le port est à quelques minutes de la gare ; et la ligne Paris-Cherbourg fait partie des 12 lignes à moderniser d’urgence selon la SNCF.
Autre point fort, la N13 est également toute proche ; une bénédiction pour les autocaristes.
Troisième élément encourageant, le terminal est magnifique ; il est également rompu à l’exercice quand il s’agit d’accueillir les passagers de gros paquebots.
Enfin, pour les excursions, entre le Mont Saint Michel, Vallognes, la fameuse « Versailles » du Cotentin, si bien décrite par Barbey D’Aurevilly, les plages du débarquement, Sainte Mère l’Église, Barfleur… les thèmes et les sites ne manqueront pas.