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La compagnie vient de prendre un agent général, APG, pour assurer un développement commercial ambitieux. Martha Tilalum, directrice pour la France, en attend avant tout une amélioration substantielle du service aux agences de voyages et à toute la clientèle.
Depuis le retour on line de la compagnie il y a quatre ans, toutes les tâches commerciales ont été assurées par une équipe de trois personnes. « Pour démarcher les agences et les tour-opérateurs, assurer le suivi commercial, émettre la billetterie groupes, faire le help desk, c’était trop de travail pour trois. Maintenant, c’est APG qui va prendre le relais avec un personnel dédié », explique la directrice France.
Premier résultat de la nouvelle structure commerciale, un accord commercial sera mis en place avec l’Alliance à partir du 1er juillet. D’autres sont en préparation avec plusieurs réseaux. A noter que la compagnie dont la billetterie est désormais électronique, continue de commissionner à 6% sur tous les tarifs publiés.
Autant d’efforts commerciaux pour attirer un maximum de passagers non seulement sur l’Ethiopie mais surtout sur l’ensemble de l’Afrique. Ethiopian Airlines ne compte pas s’arrêter à trois vols par semaine entre Paris et Addis Abeba. L’objectif est bien de devenir quotidien avec une quatrième fréquence qui sera rajoutée l’année prochaine. De quoi s’approcher un peu plus de l’ambition de la compagnie éthiopienne qui veut être un trait d’union entre l’Afrique et le monde. Il est vrai que le réseau international d’Ethiopian compte 25 destinations africaines. Une compagnie estampillée IOSA, dont la flotte se compose de Boeing 767 ,737 et à partir de l’année prochaine, de 787 Dreamliner. Dix ont été commandés chez l’avionneur américain pour assurer les vols de plus de quatre heures, ceux de Paris (7 heures) inclus.
Comment, dans ces conditions ne pas intéresser les grandes alliances… Un premier accord de code share a d’ailleurs été passé très récemment avec Lufthansa. De là à ce que la Star Alliance fasse quelques approches….
Au départ de France, la clientèle se répartit entre les passagers « tourisme » intéressés non seulement par la destination Ethiopie mais aussi par le Kilimandjaro, mais aussi la clientèle « ethnique » qui continue sur Brazzaville ou encore Djibouti. Le mois dernier, le chiffre d’affaires BSP s’est élevé à 700 000 euros. Une progression à 3 chiffres !
Depuis le retour on line de la compagnie il y a quatre ans, toutes les tâches commerciales ont été assurées par une équipe de trois personnes. « Pour démarcher les agences et les tour-opérateurs, assurer le suivi commercial, émettre la billetterie groupes, faire le help desk, c’était trop de travail pour trois. Maintenant, c’est APG qui va prendre le relais avec un personnel dédié », explique la directrice France.
Premier résultat de la nouvelle structure commerciale, un accord commercial sera mis en place avec l’Alliance à partir du 1er juillet. D’autres sont en préparation avec plusieurs réseaux. A noter que la compagnie dont la billetterie est désormais électronique, continue de commissionner à 6% sur tous les tarifs publiés.
Autant d’efforts commerciaux pour attirer un maximum de passagers non seulement sur l’Ethiopie mais surtout sur l’ensemble de l’Afrique. Ethiopian Airlines ne compte pas s’arrêter à trois vols par semaine entre Paris et Addis Abeba. L’objectif est bien de devenir quotidien avec une quatrième fréquence qui sera rajoutée l’année prochaine. De quoi s’approcher un peu plus de l’ambition de la compagnie éthiopienne qui veut être un trait d’union entre l’Afrique et le monde. Il est vrai que le réseau international d’Ethiopian compte 25 destinations africaines. Une compagnie estampillée IOSA, dont la flotte se compose de Boeing 767 ,737 et à partir de l’année prochaine, de 787 Dreamliner. Dix ont été commandés chez l’avionneur américain pour assurer les vols de plus de quatre heures, ceux de Paris (7 heures) inclus.
Comment, dans ces conditions ne pas intéresser les grandes alliances… Un premier accord de code share a d’ailleurs été passé très récemment avec Lufthansa. De là à ce que la Star Alliance fasse quelques approches….
Au départ de France, la clientèle se répartit entre les passagers « tourisme » intéressés non seulement par la destination Ethiopie mais aussi par le Kilimandjaro, mais aussi la clientèle « ethnique » qui continue sur Brazzaville ou encore Djibouti. Le mois dernier, le chiffre d’affaires BSP s’est élevé à 700 000 euros. Une progression à 3 chiffres !