D’ici 2030, le nombre total de passagers devrait atteindre 5,6 milliards. "Cela serait inférieur de 7 % à la prévision établie avant la COVID-19, et constituerait une perte estimée de 2 à 3 ans de croissance due à la pandémie" indique le rapport de IATA - Mikhail Berkut / Shutterstock
L’Association du transport aérien international (IATA) et la firme Tourism Economics ont publié un aperçu à long terme de la demande du secteur passagers après la COVID-19.
Ainsi selon les données publiées, en 2021 le nombre total de passagers devrait atteindre 52 % de ce qu’il était avant la COVID-19 (2019).
En 2022, le nombre total de passagers devrait atteindre 88 % de ce qu’il était avant la COVID-19 (2019). En 2023, le nombre total de passagers devrait dépasser le nombre d’avant la COVID-19 (105 %).
Enfin, d’ici 2030, le nombre total de passagers devrait atteindre 5,6 milliards. "Cela serait inférieur de 7 % à la prévision établie avant la COVID-19, et constituerait une perte estimée de 2 à 3 ans de croissance due à la pandémie" indique le rapport de IATA.
"Au-delà de 2030, les voyages aériens devraient ralentir, en raison d’une plus faible démographie et de l’hypothèse de base d’une libéralisation limitée du marché, ce qui se traduirait par une croissance annuelle moyenne de 3,2 % de 2019 à 2039. La prévision de croissance établie par l’IATA avant la COVID-19 était de 3,8 % pour cette période" précise l'association.
Ainsi selon les données publiées, en 2021 le nombre total de passagers devrait atteindre 52 % de ce qu’il était avant la COVID-19 (2019).
En 2022, le nombre total de passagers devrait atteindre 88 % de ce qu’il était avant la COVID-19 (2019). En 2023, le nombre total de passagers devrait dépasser le nombre d’avant la COVID-19 (105 %).
Enfin, d’ici 2030, le nombre total de passagers devrait atteindre 5,6 milliards. "Cela serait inférieur de 7 % à la prévision établie avant la COVID-19, et constituerait une perte estimée de 2 à 3 ans de croissance due à la pandémie" indique le rapport de IATA.
"Au-delà de 2030, les voyages aériens devraient ralentir, en raison d’une plus faible démographie et de l’hypothèse de base d’une libéralisation limitée du marché, ce qui se traduirait par une croissance annuelle moyenne de 3,2 % de 2019 à 2039. La prévision de croissance établie par l’IATA avant la COVID-19 était de 3,8 % pour cette période" précise l'association.
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Le rétablissement du nombre de passagers est légèrement plus fort que la reprise de la demande mesurée en kilomètres-passagers payants (RPK), laquelle devrait connaître une croissance annuelle moyenne de 3 % de 2019 à 2039. Cela s’explique par la force des marchés intérieurs comme celui de la Chine, où le nombre de passagers est élevé et les distances sont moindres indique encore IATA.
"Je suis toujours optimiste lorsqu’il s’agit de l’aviation. Nous traversons la crise la plus profonde et la plus grave de notre histoire. Mais la croissance rapide de la population vaccinée et les progrès en matière de dépistage vont nous redonner la liberté de voler dans les mois qui viennent. Et lorsque cela se produira, les gens vont vouloir voyager. Le défi immédiat réside dans la réouverture des frontières, l’élimination des mesures de quarantaine et les certificats de vaccination et de test gérés numériquement.
En même temps, nous devons nous assurer que les prévisions de croissance à long terme de l’aviation sont soutenues par un engagement indéfectible envers la durabilité. Les deux défis exigent que les gouvernements et l’industrie travaillent en partenariat. L’aviation est prête. Mais les gouvernements ne bougent pas assez vite", a déclaré Willie Walsh, directeur général de l'IATA
"Je suis toujours optimiste lorsqu’il s’agit de l’aviation. Nous traversons la crise la plus profonde et la plus grave de notre histoire. Mais la croissance rapide de la population vaccinée et les progrès en matière de dépistage vont nous redonner la liberté de voler dans les mois qui viennent. Et lorsque cela se produira, les gens vont vouloir voyager. Le défi immédiat réside dans la réouverture des frontières, l’élimination des mesures de quarantaine et les certificats de vaccination et de test gérés numériquement.
En même temps, nous devons nous assurer que les prévisions de croissance à long terme de l’aviation sont soutenues par un engagement indéfectible envers la durabilité. Les deux défis exigent que les gouvernements et l’industrie travaillent en partenariat. L’aviation est prête. Mais les gouvernements ne bougent pas assez vite", a déclaré Willie Walsh, directeur général de l'IATA