L’affiliation, communément appelée marketing à la performance, représente la solution la moins coûteuse pour s’imposer sur internet.
C’est logique, car vous ne payez que sur les résultats que vous obtenez.
Mais vous ne pourrez prétendre à occuper une place sur une plate-forme que si votre audience est significative.
Avant toutes autres solutions, la priorité reste et restera le référencement naturel.
Ce dernier demande du temps, mais c’est la solution la plus sûre et la plus abordable pour être durablement pointée par les moteurs de recherche.
En France, c’est Google qui détient une position dominante, puisque sa part de marché atteint les 95 %.
C’est logique, car vous ne payez que sur les résultats que vous obtenez.
Mais vous ne pourrez prétendre à occuper une place sur une plate-forme que si votre audience est significative.
Avant toutes autres solutions, la priorité reste et restera le référencement naturel.
Ce dernier demande du temps, mais c’est la solution la plus sûre et la plus abordable pour être durablement pointée par les moteurs de recherche.
En France, c’est Google qui détient une position dominante, puisque sa part de marché atteint les 95 %.
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Pour occuper une bonne place sur internet, la méthode incontournable est d’apporter un contenu original et régulier à votre site.
Original, car depuis bientôt cinq ans, Google sanctionne les “faux textes” qui sont des copies déjà existantes.
Régulier, car c’est un cercle vertueux : plus vous publiez de nouveaux écrits, plus ses algorithmes prennent l’habitude de passer sur votre site, ce qui entraîne l’amélioration de votre position.
Philippe Demonchy, en charge de la communication pour l’APST, précise : “Nous allons produire du contenu original sur notre site. Toutes les semaines, nous allons publier des articles de fond.
Notre objectif est de s’imposer comme un média référent sur le secteur du tourisme.”
Original, car depuis bientôt cinq ans, Google sanctionne les “faux textes” qui sont des copies déjà existantes.
Régulier, car c’est un cercle vertueux : plus vous publiez de nouveaux écrits, plus ses algorithmes prennent l’habitude de passer sur votre site, ce qui entraîne l’amélioration de votre position.
Philippe Demonchy, en charge de la communication pour l’APST, précise : “Nous allons produire du contenu original sur notre site. Toutes les semaines, nous allons publier des articles de fond.
Notre objectif est de s’imposer comme un média référent sur le secteur du tourisme.”
Une place à prendre
Entre le site du ministère des Affaires étrangères, ceux des sites marchands des OTA ou des offices de tourisme, il y a une place à prendre pour atteindre la cible des voyageurs en quête d’informations objectives et concrètes.
Philippe Demonchy poursuit : “Nous allons développer du contenu autour du concept du ‘’savoir voyager’’. Pour cela, nous allons donner des tribunes aux acteurs du tourisme eux-mêmes.
Leurs points de vue et leurs conseils vont apporter des informations opérationnelles pour aider les voyageurs dans leur projet de vacances”.
La décision a été prise de publier des articles toutes les semaines, puis pour obtenir de Google son passage régulier.
Philippe Demonchy poursuit : “Nous allons développer du contenu autour du concept du ‘’savoir voyager’’. Pour cela, nous allons donner des tribunes aux acteurs du tourisme eux-mêmes.
Leurs points de vue et leurs conseils vont apporter des informations opérationnelles pour aider les voyageurs dans leur projet de vacances”.
La décision a été prise de publier des articles toutes les semaines, puis pour obtenir de Google son passage régulier.
Un porte-voix pour les acteurs du tourisme
Qui mieux que les professionnels du tourisme sont capables de parler de... tourisme ? C’est une évidence.
Le passé, hélas, est riche d’exemples où l’on donne la parole à tout un chacun sans faire intervenir les experts dûment concernés.
Philippe Demonchy poursuit : “Nous n’avons pas vocation à remplacer tel ou tel organisme d’information.
Mais par la position de l’APST, nous avons la crédibilité pour porter à la connaissance de la communauté des voyageurs la voix des professionnels du tourisme”.
Le passé, hélas, est riche d’exemples où l’on donne la parole à tout un chacun sans faire intervenir les experts dûment concernés.
Philippe Demonchy poursuit : “Nous n’avons pas vocation à remplacer tel ou tel organisme d’information.
Mais par la position de l’APST, nous avons la crédibilité pour porter à la connaissance de la communauté des voyageurs la voix des professionnels du tourisme”.
Devenir un référent
Si à chaque problème que l’actualité nous inflige, un homme ou une femme, appartenant aux métiers du tourisme, prend la parole pour apporter du recul par rapport aux événements et donner une analyse objective de la situation, le site de l’APST va rapidement se singulariser et pourra revendiquer la position de référent.
Philippe Demonchy explique : “Nous allons permettre aux professionnels du tourisme concernés de rétablir la vérité si nécessaire, d’apporter une information circonstancielle à toutes sortes de questions posées sur les voyages, d’expliquer où se trouvent les garanties des clients, d’aider à comprendre, par exemple, pourquoi il y a des différences au niveau des prix affichés, etc.
Notre ambition est de guider, décoder et surtout de rassurer”.
Philippe Demonchy explique : “Nous allons permettre aux professionnels du tourisme concernés de rétablir la vérité si nécessaire, d’apporter une information circonstancielle à toutes sortes de questions posées sur les voyages, d’expliquer où se trouvent les garanties des clients, d’aider à comprendre, par exemple, pourquoi il y a des différences au niveau des prix affichés, etc.
Notre ambition est de guider, décoder et surtout de rassurer”.
Les réseaux sociaux
Bien entendu, les réseaux sociaux ne sont pas oubliés dans cette stratégie digitale.
Philippe Demonchy nous livre sa feuille de route : “Nous avons mis en ligne le nouveau site début octobre et nous allons monter en régime progressivement dans le contenu que nous allons fournir.
Nous ferons le point en fin d’année et si tout fonctionne bien, nous nous lançons sur les réseaux sociaux pour démultiplier nos messages”.
Il est vrai que les sujets traités autour de la réassurance se prêtent particulièrement bien pour fédérer une communauté autour du “savoir voyager”.
Philippe Demonchy nous livre sa feuille de route : “Nous avons mis en ligne le nouveau site début octobre et nous allons monter en régime progressivement dans le contenu que nous allons fournir.
Nous ferons le point en fin d’année et si tout fonctionne bien, nous nous lançons sur les réseaux sociaux pour démultiplier nos messages”.
Il est vrai que les sujets traités autour de la réassurance se prêtent particulièrement bien pour fédérer une communauté autour du “savoir voyager”.
Aller au-devant des voyageurs
Peut-on, avec un petit budget, atteindre une cible grand public ?
“À moins de plusieurs centaines d’euros, la réponse est non”, prévient Jean-Marc Folliet, président de l’agence digitale Cubiq.
Mais, si le choix est d’atteindre une population délimitée, comme la communauté des voyageurs en quête de réassurance, les chances de succès sont plus grandes, à condition de respecter les règles que nous venons de rappeler.
L’APST ne compte pourtant pas s’arrêter là. Philippe Demonchy voit plus loin et prépare déjà l’étape suivante.
“Pour populariser le site de l’APST, je m’intéresse aux nouvelles solutions qui voient le jour comme le partage de contenus sur cibles qualifiées”.
Le principe n’est plus d’être “repéré” par les moteurs de recherche, mais d’aller au-devant d’une audience en fonction des centres d’intérêt.
Concrètement, il s’agirait de présenter des articles de tourisme auprès de populations concernées pas les voyages.
Par exemple, à la suite d’un article qui s'appesantit sur un problème d’une destination, il suffit de placer un widget comme “Lire aussi”, qui redirigera vers le site de l’APST, et ainsi de pouvoir corriger, rétablir et rassurer la population potentielle des voyageurs.
Voilà un bon moyen de se servir des médias pour corriger les dérives des médias. Les professionnels du tourisme vont applaudir.
“À moins de plusieurs centaines d’euros, la réponse est non”, prévient Jean-Marc Folliet, président de l’agence digitale Cubiq.
Mais, si le choix est d’atteindre une population délimitée, comme la communauté des voyageurs en quête de réassurance, les chances de succès sont plus grandes, à condition de respecter les règles que nous venons de rappeler.
L’APST ne compte pourtant pas s’arrêter là. Philippe Demonchy voit plus loin et prépare déjà l’étape suivante.
“Pour populariser le site de l’APST, je m’intéresse aux nouvelles solutions qui voient le jour comme le partage de contenus sur cibles qualifiées”.
Le principe n’est plus d’être “repéré” par les moteurs de recherche, mais d’aller au-devant d’une audience en fonction des centres d’intérêt.
Concrètement, il s’agirait de présenter des articles de tourisme auprès de populations concernées pas les voyages.
Par exemple, à la suite d’un article qui s'appesantit sur un problème d’une destination, il suffit de placer un widget comme “Lire aussi”, qui redirigera vers le site de l’APST, et ainsi de pouvoir corriger, rétablir et rassurer la population potentielle des voyageurs.
Voilà un bon moyen de se servir des médias pour corriger les dérives des médias. Les professionnels du tourisme vont applaudir.
Les experts du tourisme
Toujours pour conforter les distributeurs et pour asseoir le concept de la réassurance, un réseau d’experts du tourisme va être créé.
Il est ouvert à tous les agents de voyages qui pourront mettre en avant leur expertise.
L’objectif est de répondre aux questions que les voyageurs peuvent se poser sur toutes sortes de sujets : une thématique, un sport, un type de voyage, etc.
La liste n’est pas limitative. Un moteur de recherche a été créé pour dynamiser les recherches et faciliter les mises en relation.
Encore une bonne idée pour aider les agences de voyages.
Il est ouvert à tous les agents de voyages qui pourront mettre en avant leur expertise.
L’objectif est de répondre aux questions que les voyageurs peuvent se poser sur toutes sortes de sujets : une thématique, un sport, un type de voyage, etc.
La liste n’est pas limitative. Un moteur de recherche a été créé pour dynamiser les recherches et faciliter les mises en relation.
Encore une bonne idée pour aider les agences de voyages.
Mots clés
Le référencement naturel est la première étape qui doit être complétée par une judicieuse politique d’achat de mots clés.
C’est la web agency SEOh qui est chargée de cette mission : “Nous avons travaillé sur une liste de mots clés ayant rapport avec le voyage et déjà le site de l’APST est très nettement remonté dans les moteurs de recherche”.
L’association a pris le problème à bras le corps et se donne les moyens de ses ambitions.
C’est la web agency SEOh qui est chargée de cette mission : “Nous avons travaillé sur une liste de mots clés ayant rapport avec le voyage et déjà le site de l’APST est très nettement remonté dans les moteurs de recherche”.
L’association a pris le problème à bras le corps et se donne les moyens de ses ambitions.
L’art de voyager
Tous les professionnels qui vivent du tourisme ne vont pas dire le contraire.
Voyager ouvre l’esprit, favorise les dialogues entre différentes cultures, contribue à faciliter les échanges avec les autres.
Bref, voyager, s’il est synonyme de vacances et de détente, incarne aussi un certain art de vivre.
Si le nouveau site de l’APST parvient à véhiculer certaines de ces idées, l’objectif de devenir le référent du tourisme sera atteint, pour le plus grand bonheur de tous les acteurs de notre industrie.
Voyager ouvre l’esprit, favorise les dialogues entre différentes cultures, contribue à faciliter les échanges avec les autres.
Bref, voyager, s’il est synonyme de vacances et de détente, incarne aussi un certain art de vivre.
Si le nouveau site de l’APST parvient à véhiculer certaines de ces idées, l’objectif de devenir le référent du tourisme sera atteint, pour le plus grand bonheur de tous les acteurs de notre industrie.
Philippe Demonchy a évoqué le partage de contenu sur cibles qualifiées
Ce sont des solutions qui apparaissent sur le marché et qui ont le mérite d’aller au-devant des cibles visées.
L’avantage, outre le fait de sortir de la dépendance de Google, ce qui n’est pas le moindre des bénéfices, est de capter de façon différente une population visée.
Le principe est de passer des accords avec des éditeurs à forte audience afin d’établir les liens extérieurs, par centre d’intérêt.
Ces liens s’établissent à l’aide de widgets que l’on place à proximité d’articles concernant la population visée.
Concrètement, il devient parfaitement possible de créer un lien sur un site concernant une interview du directeur du tourisme du Kenya à la suite d’un article du monde relatant l’attentat des deux Français.
La destination se connecte à une population captive et le média monnaie son audience. Tout le monde y gagne.
Le leader de ces solutions est une entreprise américaine, Outbrain.
Cette société est implantée en France. Outbrain est aujourd’hui installée sur plus de 90 000 sites au niveau mondial et génère plus de 6,5 milliards de pages vues par mois.
Fondée en 2006, l’entreprise possède son siège social à New York, ainsi que des bureaux dans quinze pays, dont les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, Israël, Singapour et l’Australie.
L’avantage, outre le fait de sortir de la dépendance de Google, ce qui n’est pas le moindre des bénéfices, est de capter de façon différente une population visée.
Le principe est de passer des accords avec des éditeurs à forte audience afin d’établir les liens extérieurs, par centre d’intérêt.
Ces liens s’établissent à l’aide de widgets que l’on place à proximité d’articles concernant la population visée.
Concrètement, il devient parfaitement possible de créer un lien sur un site concernant une interview du directeur du tourisme du Kenya à la suite d’un article du monde relatant l’attentat des deux Français.
La destination se connecte à une population captive et le média monnaie son audience. Tout le monde y gagne.
Le leader de ces solutions est une entreprise américaine, Outbrain.
Cette société est implantée en France. Outbrain est aujourd’hui installée sur plus de 90 000 sites au niveau mondial et génère plus de 6,5 milliards de pages vues par mois.
Fondée en 2006, l’entreprise possède son siège social à New York, ainsi que des bureaux dans quinze pays, dont les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, Israël, Singapour et l’Australie.