Le président Jean Korcia et son vice-président et vieux complice Francis Gallo /photo JDL
Jean Korcia est un président heureux. Heureux et épanoui.
Un adepte des “petits pas” qui avec son complice de vice-président (Francis Gallo), avance ses pièces lentement mais sûrement.
Qui eût misé un kopeck il y a 10 ans sur cette poignée d’agences business travel orphelines de Protravel ?
On le taxe de lenteur ? Il ‘en a cure. Sous l’air bonhomme se cache un habile négociateur.
Ne s’est-il pas sorti sans casse du guêpier G5 qui risquait de faire exploser en vol la Salle des marchés, menaçant la cohésion du réseau ?
L’âge moyen du réseau rebute ? Place aux jeunes chez Eurafrique, Orsud ou encore Cap5.
On lui reproche de ne pas communiquer suffisamment ?
Il répond avec le regard madré du paysan à qui on ne la fait pas : “Mais c’est grâce à cela que l’on reverse la quasi totalité des commissions à nos adhérents...”
Tout n’a pas réussi à Manor, loin de là. On songe à ses expériences pour essayer de rééquilibrer Business Travel et tourisme qui ont quasiment toutes viré au fiasco... l’alliance avec le CEDIV, ll’alliance avec Thomas Cook en phase terminale ou encore les petits coup de canif récents dans le contrat avec TourCom à propos de la Caisse de garantie..
Un adepte des “petits pas” qui avec son complice de vice-président (Francis Gallo), avance ses pièces lentement mais sûrement.
Qui eût misé un kopeck il y a 10 ans sur cette poignée d’agences business travel orphelines de Protravel ?
On le taxe de lenteur ? Il ‘en a cure. Sous l’air bonhomme se cache un habile négociateur.
Ne s’est-il pas sorti sans casse du guêpier G5 qui risquait de faire exploser en vol la Salle des marchés, menaçant la cohésion du réseau ?
L’âge moyen du réseau rebute ? Place aux jeunes chez Eurafrique, Orsud ou encore Cap5.
On lui reproche de ne pas communiquer suffisamment ?
Il répond avec le regard madré du paysan à qui on ne la fait pas : “Mais c’est grâce à cela que l’on reverse la quasi totalité des commissions à nos adhérents...”
Tout n’a pas réussi à Manor, loin de là. On songe à ses expériences pour essayer de rééquilibrer Business Travel et tourisme qui ont quasiment toutes viré au fiasco... l’alliance avec le CEDIV, ll’alliance avec Thomas Cook en phase terminale ou encore les petits coup de canif récents dans le contrat avec TourCom à propos de la Caisse de garantie..
Des surcommissions pour un montant de... 6 millions d’euros !
Mais faut-il vraiment sans plaindre ? Aujourd’hui le ratio Business travel vs Tourisme est de 70/30 chez Manor.
Pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre que c’est la billetterie qui tire par le haut le réseau.
Elle llui permettra d’engranger en 2012 près de 1,5 milliard d’euros de volume d’affaires en progression de 4,5%.
Pour 2013, c’est 1,5 milliard d’euros qu’on attend dans les caisses, avec l’arrivée de nouveaux adhérents.
Cette année Manor devrait leur reverser des surcommissions pour un montant de... 6 millions d’euros !
Pas mal pour un “petit” réseau d’une soixantaine d’agences et moins de 230 points de vente, non ?
Une performance qui continue d’attirer en son sein des agences (tourisme et billetterie) séduites par les frais minimalistes. Les 4 agences Impact Voyages de Philippe Taïeb (Jancartier) ont rejoint Manor suite à un gentlemen agreement’s avec TourCom.
C’est aussi le cas pour Saga voyages avec ses 2 points de vente. Pour l’instant, une dizaine d’adhésions se bouscule aux portillons en attente de la mise en place de la Caisse de règlement, prévue pour le début de l’année 2013.
Pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre que c’est la billetterie qui tire par le haut le réseau.
Elle llui permettra d’engranger en 2012 près de 1,5 milliard d’euros de volume d’affaires en progression de 4,5%.
Pour 2013, c’est 1,5 milliard d’euros qu’on attend dans les caisses, avec l’arrivée de nouveaux adhérents.
Cette année Manor devrait leur reverser des surcommissions pour un montant de... 6 millions d’euros !
Pas mal pour un “petit” réseau d’une soixantaine d’agences et moins de 230 points de vente, non ?
Une performance qui continue d’attirer en son sein des agences (tourisme et billetterie) séduites par les frais minimalistes. Les 4 agences Impact Voyages de Philippe Taïeb (Jancartier) ont rejoint Manor suite à un gentlemen agreement’s avec TourCom.
C’est aussi le cas pour Saga voyages avec ses 2 points de vente. Pour l’instant, une dizaine d’adhésions se bouscule aux portillons en attente de la mise en place de la Caisse de règlement, prévue pour le début de l’année 2013.
Création de Manor Services
Une caisse qui a fini par voir le jour. Non pas parce Jean Korcia y tenait spécialement mais plutôt à la demande des adhérents. Lui estimait que l’envergure et la surface des agences Manor ne justifiait pas, à priori, la création d’un tel outil. Mais les temps sont devenus difficiles.
Aucune agence, quelle que soit sa taille, n’est à l’abri d’un “sinistre”. Sans compter que ce système rassure aussi les Producteurs et peut séduire d’autre agences, car les premiers ne brillent pas non plus par leur solidité financière ces derniers temps...
La CRG c’est une sorte de “je te tiens, tu me tiens par la barbichette” qui deviendra une réalité concrète en début d'année 2013. Pour autant (la règle d’or du réseau) elle n’est pas obligatoire pour les Producteurs.
Mais s'ils veulent en bénéficier, ils devront débourser entre 0,40 et 1 %. 80% des 60 TO référencés sont partants.
C’est une SAS (Manor Services), qui coiffera la centrale de paiement. Elle hébergera aussi juridiquement les différentes initiatives en cours telles la création d’un label commun pour répondre aux appels d'offre ou encore la création d’un portail internet B2B et/ou de mini-sites pour les adhérents.
Aucune agence, quelle que soit sa taille, n’est à l’abri d’un “sinistre”. Sans compter que ce système rassure aussi les Producteurs et peut séduire d’autre agences, car les premiers ne brillent pas non plus par leur solidité financière ces derniers temps...
La CRG c’est une sorte de “je te tiens, tu me tiens par la barbichette” qui deviendra une réalité concrète en début d'année 2013. Pour autant (la règle d’or du réseau) elle n’est pas obligatoire pour les Producteurs.
Mais s'ils veulent en bénéficier, ils devront débourser entre 0,40 et 1 %. 80% des 60 TO référencés sont partants.
C’est une SAS (Manor Services), qui coiffera la centrale de paiement. Elle hébergera aussi juridiquement les différentes initiatives en cours telles la création d’un label commun pour répondre aux appels d'offre ou encore la création d’un portail internet B2B et/ou de mini-sites pour les adhérents.
Cérémonie de Clôture : Amadeus fait ses gammes au Saint Régis
Des tables ornées de grands chandeliers avec l'en base noyée dans des bouquets de fleurs, des lustres de cristal de Bohême pendant au plafond, des miroirs aux murs et des tentures majestueuses ont fait de ce dîner “grand siècle” un moment privilégié pour les convives./photo JDL
Tous les présidents ont-ils une femme prénommée “Michèle” ? Pour celui de Manor, c’est le cas, même s’il n’a pas été réélu de fraîche date..
En tout cas, si elle ne tweete pas, on connaît avec précision le rôle de la première Dame chez Manor. Aux côtés de Jean Korcia, Michèle est de tous les repérages pour les Congrès, conseille et choisit avec un goût très sûr les hôtels et les very special place qui font battre chaque année aux Congrès Manor des records de participation.
Michèle est bénévole, car le réseau Manor est presque une affaire familiale, gérée en bon père de famille par le clan Korcia.
Cette année encore, Amadeus et son tout nouveau président Georges Rudas, n’ont pas eu à se plaindre de la somptueusissime salle de bal du très classieux Hôtel St Régis.
Des tables ornées de grands chandeliers avec l'en base noyée dans des bouquets de fleurs, des lustres de cristal de Bohême pendant au plafond, des miroirs aux murs et des tentures majestueuses ont fait de ce dîner “grand siècle” un moment privilégié pour les convives.
Cerise sur le gâteau (avant le dessert), deux “cantante” ont régalé leur auditoire d’airs célèbres d’opéra, d’opérette et de vieilles chansons napolitaines. The place must to be !
En tout cas, si elle ne tweete pas, on connaît avec précision le rôle de la première Dame chez Manor. Aux côtés de Jean Korcia, Michèle est de tous les repérages pour les Congrès, conseille et choisit avec un goût très sûr les hôtels et les very special place qui font battre chaque année aux Congrès Manor des records de participation.
Michèle est bénévole, car le réseau Manor est presque une affaire familiale, gérée en bon père de famille par le clan Korcia.
Cette année encore, Amadeus et son tout nouveau président Georges Rudas, n’ont pas eu à se plaindre de la somptueusissime salle de bal du très classieux Hôtel St Régis.
Des tables ornées de grands chandeliers avec l'en base noyée dans des bouquets de fleurs, des lustres de cristal de Bohême pendant au plafond, des miroirs aux murs et des tentures majestueuses ont fait de ce dîner “grand siècle” un moment privilégié pour les convives.
Cerise sur le gâteau (avant le dessert), deux “cantante” ont régalé leur auditoire d’airs célèbres d’opéra, d’opérette et de vieilles chansons napolitaines. The place must to be !