La Case de l'Oncle Dom : AS Voyages, silence, on manœuvre !

Du côté de Bernard Garcia, comme de Dominique Beljanski, tous deux administrateurs d'AS Voyages, on minimise…

Personne n'a "tiré" sur personne, il s'agit simplement d'un "désaccord opérationnel" et puis basta, on passe aux sujets suivants.

L'affaire des fausses formations ? Une broutille !

Bon, d'accord, y'a peut-être quelques procédures à améliorer !

Comment ça va coûter une trentaine de milliers d'euros en amende et redressement fiscal ?

Bof, ça va, ça vient, c'est comme la queue du Chien. Et puis, finalement, y'a des problèmes tellement plus importants.

Et ce ne sont pas quelque petits milliers d'euros qui vont trop pénaliser les adhérents.

Après tout, ils sont libres de dépenser leur argent comme ils veulent, non?

Ben tiens... Les indemnités de départ de Saint Victor, c'est pas rien (d'ailleurs on devrait avaliser tout ça lors du Conseil de mercredi).

En tout cas, le missile est coûteux. Mais, c'est pas grave, c'est l'adhérent qui paye...

Moi, indécrottable curieux, j'aimerais quand même bien savoir pourquoi toute cette affaire a été organisée? Et par qui ? Et dans quel but ? Un peu d'argent ? Non, ne soyons pas mesquins…

Du côté des vendeurs, à part quelques-uns qui, mandatés par leur patron, souhaitaient avoir quelques précisions sur le départ de Saint Victor et de Boüard, tout le monde s'en fout.

Eux, ils sont là pour vendre et gagner leur vie le mieux possible.

Et bénéficier des conseils judicieux donnés par les services d'AS, (Bravo Fabienne, Bravo Béa et toute l'équipe bien sûr, salut René).

D'ailleurs, c'est toujours un moment de grande qualité que d'assister aux ateliers. Quel que soit le sujet, les idées fusent, les cerveaux bouillonnent et les résultats sont étonnants.

Faut dire aussi que cette nouvelle génération me parait toujours plus curieuse, toujours plus passionnée, toujours plus motivée envers ce métier de conseiller en voyage (c'est le mot maintenant, faut rester tendance) !

Même si les salaires ne sont pas forcément à la hauteur de leurs espérances… Et même si la situation économique dans le secteur n'est pas folichonne, avec un mois de décembre cata… Et puis, faut bien compter sur ces sacrées ventes de dernière minute, non ?

En tout cas, une chose est claire: au-delà des luttes de pouvoir, le réseau, premier réseau du pays, devrait connaître une seconde vie dans quelques mois.

Après tout, comme le soulignait un Bernard Garcia assez guilleret, "maintenant que la bestiole (l'hippocampe de Sélectour, ndDG) est adoptée, nous allons œuvrer pour donner un supplément d'âme".

C'est beau, non ? Émouvant, même…