Image Fotolia Auteur : lienchen020_2
Lors de l'assemblée générale du Snav, le 27 avril prochain, son président Jean-Pierre Mas, proposera aux suffrages de ses adhérents une refonte profonde du syndicat patronal.
Fini le Znav, place à Les entreprises du voyage, "l'Union Professionnelle des Organisations du Voyage et de l'Evènement" !
Malin comme un singe, matois comme un chat, le président veut terminer son triennat sous le signe du grand rassemblement de toute la profession… et pourquoi pas, briguer un second mandat, histoire de poursuivre l'œuvre engagée et ne pas se morfondre dans une morne retraite !
Clairement, le Znav (j'en profite encore, tant que le nouveau nom n'est pas encore officiel) pose carrément la première pierre de cette fameuse confédération dont a besoin impérativement cette profession.
Reste maintenant à savoir si cette même profession, toujours engluée dans ses egos et ses errances du passé, toujours assoupie dans des souvenirs "du temps ou c'était le bon" (et alors, vous savez bien que je suis nul aux participes passés ou présents, mais que j'aime jouer avec les phrases) est prête à s'unir enfin.
Fini le Znav, place à Les entreprises du voyage, "l'Union Professionnelle des Organisations du Voyage et de l'Evènement" !
Malin comme un singe, matois comme un chat, le président veut terminer son triennat sous le signe du grand rassemblement de toute la profession… et pourquoi pas, briguer un second mandat, histoire de poursuivre l'œuvre engagée et ne pas se morfondre dans une morne retraite !
Clairement, le Znav (j'en profite encore, tant que le nouveau nom n'est pas encore officiel) pose carrément la première pierre de cette fameuse confédération dont a besoin impérativement cette profession.
Reste maintenant à savoir si cette même profession, toujours engluée dans ses egos et ses errances du passé, toujours assoupie dans des souvenirs "du temps ou c'était le bon" (et alors, vous savez bien que je suis nul aux participes passés ou présents, mais que j'aime jouer avec les phrases) est prête à s'unir enfin.
Dominique Gobert
Sans se poser la question de savoir qui "occupera les postes du pouvoir", mais au contraire de réfléchir comment il est possible d'avancer d'une même démarche, pour le grand intérêt de tous !
Sacrée problématique !
De la part de Mas, la manœuvre est fine : plutôt que de créer des "commissions" régies par des membres du Syndicat, il ouvre la porte à "d'autres organisations", telles le "Cercle Economique des Agences Groupistes" ou, bien évidemment, le Seto.
Ce dernier s'est d'ailleurs érigé en syndicat, sans vraiment d'ailleurs avoir connu la reconnaissance officielle des pouvoirs publics…
Pour en avoir discuté avec quelques membres des cabinets ministériels, "on n'y comprend pas grand-chose".
Et, bien entendu, existe aussi le cas de ces réceptifs (j'ai une pensée pour une dame, Marie-Christine, qui s'est battue durant longtemps pour imposer au sein du Snav la reconnaissance de cette activité à part entière et qui, finalement, se sera retirée dans son Sud-Ouest natal, virée par le Snav !) qui représente un poids important dans l'économie du tourisme en France !
D'ores et déjà, le mouvement créé par Sylvain Lament et ses camarades groupistes a donné son accord pour participer au "syndicat nouveau".
Sacrée problématique !
De la part de Mas, la manœuvre est fine : plutôt que de créer des "commissions" régies par des membres du Syndicat, il ouvre la porte à "d'autres organisations", telles le "Cercle Economique des Agences Groupistes" ou, bien évidemment, le Seto.
Ce dernier s'est d'ailleurs érigé en syndicat, sans vraiment d'ailleurs avoir connu la reconnaissance officielle des pouvoirs publics…
Pour en avoir discuté avec quelques membres des cabinets ministériels, "on n'y comprend pas grand-chose".
Et, bien entendu, existe aussi le cas de ces réceptifs (j'ai une pensée pour une dame, Marie-Christine, qui s'est battue durant longtemps pour imposer au sein du Snav la reconnaissance de cette activité à part entière et qui, finalement, se sera retirée dans son Sud-Ouest natal, virée par le Snav !) qui représente un poids important dans l'économie du tourisme en France !
D'ores et déjà, le mouvement créé par Sylvain Lament et ses camarades groupistes a donné son accord pour participer au "syndicat nouveau".
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Les réceptifs, dont Paul Roll pourrait se montrer un bon représentant, semblent prêts à jouer le jeu aussi.
Reste le Seto. Ce n'est pas un secret, l'organisation syndicale des tour-opérateurs se montre pour le moins "réticente". J'aurais même tendance à écrire que l'expression est un euphémisme !
Et sans trop me tromper, je crois même pouvoir dire que la réponse est clairement "non". Pas de "tierce entité" pour régir, au sein de Les Entreprises du Voyage, les problèmes des voyagistes !
Dommage, surtout que d'autres organisations syndicales patronales, tels les restaurateurs, les hôteliers, les transporteurs, réfléchissent très sérieusement à cette opportunité d'union de tous ces métiers très liés les uns aux autres !
Apparemment, les TO veulent suivre la piste comme des cow boys solitaires, "long away from home" !
Seulement, quand vient le bout de la piste, c'est à celui qui tire le plus vite que revient le dernier mot…
Reste le Seto. Ce n'est pas un secret, l'organisation syndicale des tour-opérateurs se montre pour le moins "réticente". J'aurais même tendance à écrire que l'expression est un euphémisme !
Et sans trop me tromper, je crois même pouvoir dire que la réponse est clairement "non". Pas de "tierce entité" pour régir, au sein de Les Entreprises du Voyage, les problèmes des voyagistes !
Dommage, surtout que d'autres organisations syndicales patronales, tels les restaurateurs, les hôteliers, les transporteurs, réfléchissent très sérieusement à cette opportunité d'union de tous ces métiers très liés les uns aux autres !
Apparemment, les TO veulent suivre la piste comme des cow boys solitaires, "long away from home" !
Seulement, quand vient le bout de la piste, c'est à celui qui tire le plus vite que revient le dernier mot…