Après la France, Marietton aurait des visées Européennes voire même mondiales - Crédit photo : Depositphotos @Nomadsoul1
En ouvrant leur petite agence rue Marietton à Lyon en 1968, alors que la France connaissait une variante des gilets jaunes, Gilbert et Claude Abitbol avaient sûrement l’espoir (à défaut de certitude) de pousser leur petite entreprise vers des jours plus florissants.
Tiens, j’en profite au passage pour faire un petit clin d’œil à Maman Maggy Abitbol qui sans avoir l’air de rien, surveille et veille sur le clan Bitbol.
Ben, la première lignée des Abitbol a de quoi se réjouir d’avoir su inculquer à sa descendance le sens du développement et de conduire cette entreprise, encore pour le moment familiale au statut d’ETI.
J’avoue, je ne savais pas qu’il existait des entreprises de ce nom, qui signifie simplement « entreprise de taille intermédiaire », une catégorie (mais nous sommes en France, faut tout catégoriser) qui se situe entre les petites (PME) et moyennes entreprises, entre 250 et 4999 salariés et un CA n’excédant pas 1,5 milliard d’euros !
Pour Abitbol, c’est gagné et, apparemment, c’est loin d’être fini, si j’en crois les déclarations du « patron » Laurent chez nos confrères des Echos et celles d’Arnaud, l’un des trois frères dans nos colonnes.
Tiens, j’en profite au passage pour faire un petit clin d’œil à Maman Maggy Abitbol qui sans avoir l’air de rien, surveille et veille sur le clan Bitbol.
Ben, la première lignée des Abitbol a de quoi se réjouir d’avoir su inculquer à sa descendance le sens du développement et de conduire cette entreprise, encore pour le moment familiale au statut d’ETI.
J’avoue, je ne savais pas qu’il existait des entreprises de ce nom, qui signifie simplement « entreprise de taille intermédiaire », une catégorie (mais nous sommes en France, faut tout catégoriser) qui se situe entre les petites (PME) et moyennes entreprises, entre 250 et 4999 salariés et un CA n’excédant pas 1,5 milliard d’euros !
Pour Abitbol, c’est gagné et, apparemment, c’est loin d’être fini, si j’en crois les déclarations du « patron » Laurent chez nos confrères des Echos et celles d’Arnaud, l’un des trois frères dans nos colonnes.
Dominique Gobert - DR
On ne les a pas vus venir, les frères Bitbol.
Petit à petit, sans grands tambours ni grosses trompettes, associés à des fonds d’investissement puissants et remarquablement « visionnaires », ils arrivent à imposer une empreinte quasi-indélébile sur le marché français du tourisme, jouant allègrement entre distribution et production.
Tout cela dans une joyeuse effervescence, de « coups » inattendus et de rachats, toujours plus loin et toujours plus constructifs…
Laurent Abitbol, et son frère Arnaud, se défendent d’avoir la moindre stratégie. « Nous saisissons les opportunités qui se présentent », expliquent-ils, avec un large sourire qui ferait prendre à un paysan chinois une vessie pour de grands luminaires !
Au fur et à mesure d’ailleurs de l’avancée des « travaux », la stratégie parait s’organiser de mieux en mieux. Il ne fait nul doute qu’après avoir implanté son « pouvoir » sur le marché français, le groupe familial (mais quand même adossé à des fonds puissants), se lance à l’assaut du secteur tourisme en Europe… et pourquoi pas, encore plus loin ?
D’ailleurs, je ne peux croire une seconde que le Groupe n’ait pas en tête « d’objectif » ! Ce qui est loin d’être une tare, bien au contraire. Et ce n’est quand même pas le vice-président chargé des acquisitions qui va me contredire.
Après Solea, Héliades, Auchan, Havas, on peut supposer que Carroufe Voyages pourrait venir aussi lui manger dans la main, avant de passer à l’échelon européen.
Petit à petit, sans grands tambours ni grosses trompettes, associés à des fonds d’investissement puissants et remarquablement « visionnaires », ils arrivent à imposer une empreinte quasi-indélébile sur le marché français du tourisme, jouant allègrement entre distribution et production.
Tout cela dans une joyeuse effervescence, de « coups » inattendus et de rachats, toujours plus loin et toujours plus constructifs…
Laurent Abitbol, et son frère Arnaud, se défendent d’avoir la moindre stratégie. « Nous saisissons les opportunités qui se présentent », expliquent-ils, avec un large sourire qui ferait prendre à un paysan chinois une vessie pour de grands luminaires !
Au fur et à mesure d’ailleurs de l’avancée des « travaux », la stratégie parait s’organiser de mieux en mieux. Il ne fait nul doute qu’après avoir implanté son « pouvoir » sur le marché français, le groupe familial (mais quand même adossé à des fonds puissants), se lance à l’assaut du secteur tourisme en Europe… et pourquoi pas, encore plus loin ?
D’ailleurs, je ne peux croire une seconde que le Groupe n’ait pas en tête « d’objectif » ! Ce qui est loin d’être une tare, bien au contraire. Et ce n’est quand même pas le vice-président chargé des acquisitions qui va me contredire.
Après Solea, Héliades, Auchan, Havas, on peut supposer que Carroufe Voyages pourrait venir aussi lui manger dans la main, avant de passer à l’échelon européen.
Le réseau Avoris du Groupe Barcelo, (sorte de pendant de Selectour en Espagne) est quasi dans la poche de Certares, actionnaire principal de Marietton. Et, c’est quasi acté, Laurent Abitbol y jouera un rôle majeur, avant, très certainement de croquer une « petite » OTA et de passer à la suite des opérations vers des contrées encore plus lointaines.
Sans oublier la partie « Affaires », ne serait-ce que par la synergie qui pourrait, (hypothèse pas si incongrue) se concrétiser entre Marietton et… tiens, au hasard, Amex par exemple.
Les deux sociétés ont un actionnaire commun, (rien à voir me précisait Laurent Abitbol avant Noël). Le patron d’Amex ne siège-t-il pas au conseil d’administration de Marietton ?
Simple invitation de courtoisie sûrement…
Mais, face à la consolidation des entreprises touristiques qui se développent en Europe, l’affaire est plutôt intelligente et nécessaire.
Stratégique, oserais-je même dire….
Sans oublier la partie « Affaires », ne serait-ce que par la synergie qui pourrait, (hypothèse pas si incongrue) se concrétiser entre Marietton et… tiens, au hasard, Amex par exemple.
Les deux sociétés ont un actionnaire commun, (rien à voir me précisait Laurent Abitbol avant Noël). Le patron d’Amex ne siège-t-il pas au conseil d’administration de Marietton ?
Simple invitation de courtoisie sûrement…
Mais, face à la consolidation des entreprises touristiques qui se développent en Europe, l’affaire est plutôt intelligente et nécessaire.
Stratégique, oserais-je même dire….