Un Thomas Cook qui, après avoir tenté de dissoudre le Jet Tours, essaie de la faire renaitre sans trop d'illusions, un TUI qui avait joué à peu près la même chose avec Nouvelles Frontières, envisagé (apparemment sans succès) le même coup avec Marmara et à l'arrivée, que reste-t-il ? - DR
Le Basque Bondissant, entendez Pascal de Izaguirre, patron de TUI France, respecte quasi à la lettre ce qu'il a annoncé il y a quelques semaines: "ceux qui veulent nous vendre sont les bienvenus".
Vraisemblablement aux conditions de Nouvelles Frontières et tant pis pour les mandataires de NF qui voient leur contrat d'exclusivité fondre au soleil de cet hiver interminable.
En tout cas, pour le réseau TourCom, c'est pas vraiment un problème.
Mais, finalement, là n'est pas franchement la question.
Et l'on s'aperçoit surtout que toutes les "marques", connues et reconnues par les consommateurs depuis de nombreuses années, sont vouées, petit à petit, à s'estomper doucement au profit de produits plus ou moins anonymes… ou du moins, noyés dans la masse des multiples produits revendus par les agences de voyages.
Un Thomas Cook qui, après avoir tenté de dissoudre Jet Tours, essaie de la faire renaitre sans trop d'illusions, un TUI qui avait joué à peu près la même chose avec Nouvelles Frontières, envisagé (apparemment sans succès) le même coup avec Marmara et à l'arrivée, que reste-t-il ?
Des marques certes, mais quelle valeur ? Au fur et à mesure, un inventaire à la Prévert dans lequel le consommateur lui-même (particulièrement la génération montante) a de plus en plus de mal à se retrouver.
Vraisemblablement aux conditions de Nouvelles Frontières et tant pis pour les mandataires de NF qui voient leur contrat d'exclusivité fondre au soleil de cet hiver interminable.
En tout cas, pour le réseau TourCom, c'est pas vraiment un problème.
Mais, finalement, là n'est pas franchement la question.
Et l'on s'aperçoit surtout que toutes les "marques", connues et reconnues par les consommateurs depuis de nombreuses années, sont vouées, petit à petit, à s'estomper doucement au profit de produits plus ou moins anonymes… ou du moins, noyés dans la masse des multiples produits revendus par les agences de voyages.
Un Thomas Cook qui, après avoir tenté de dissoudre Jet Tours, essaie de la faire renaitre sans trop d'illusions, un TUI qui avait joué à peu près la même chose avec Nouvelles Frontières, envisagé (apparemment sans succès) le même coup avec Marmara et à l'arrivée, que reste-t-il ?
Des marques certes, mais quelle valeur ? Au fur et à mesure, un inventaire à la Prévert dans lequel le consommateur lui-même (particulièrement la génération montante) a de plus en plus de mal à se retrouver.
Je voudrais surtout pas apparaître comme un prof, mais une marque, il faut peut-être la faire vivre, la soigner, l'accompagner.
Bref, la mettre en conformité avec ce que cherche son client. Lequel, lui, reste fidèle.
Mais le client reste fidèle tant qu'il comprend et retrouve ses points de repère.
Le Nouvelles Frontières qui devient TUI, puis redevient NF, tandis qu'un Jumbo passe par un éléphant rose en forme de Thomas Cook, comment voulez-vous qu'on s'y retrouve ? Faut pas avoir fait l'énarchie pour comprendre, non ?
D'accord, je m'énerve un peu, mais c'est un peu dommage de tout bazarder et de vouloir tout fondre dans le même moule.
En revanche, pour la distribution, c'est finalement tout bénef, puisque toutes ces grandes enseignes, malgré les déclarations de leurs dirigeants, pourront être revendues quasi partout.
Mais, comme les produits seront sensiblement identiques, le distributeur aura le choix de prescrire telle ou telle marque.
Au gré de son humeur… ou de sa rétribution !
Bref, la mettre en conformité avec ce que cherche son client. Lequel, lui, reste fidèle.
Mais le client reste fidèle tant qu'il comprend et retrouve ses points de repère.
Le Nouvelles Frontières qui devient TUI, puis redevient NF, tandis qu'un Jumbo passe par un éléphant rose en forme de Thomas Cook, comment voulez-vous qu'on s'y retrouve ? Faut pas avoir fait l'énarchie pour comprendre, non ?
D'accord, je m'énerve un peu, mais c'est un peu dommage de tout bazarder et de vouloir tout fondre dans le même moule.
En revanche, pour la distribution, c'est finalement tout bénef, puisque toutes ces grandes enseignes, malgré les déclarations de leurs dirigeants, pourront être revendues quasi partout.
Mais, comme les produits seront sensiblement identiques, le distributeur aura le choix de prescrire telle ou telle marque.
Au gré de son humeur… ou de sa rétribution !
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