NG Travel surfe sur le succès avec un CA prévu de 120 Mie cette année (+20%) par rapport à 2009. Le tout en dépit de la perte de 400 000 euros occasionnée par le volcan islandais en avril dernier.
Le poste de directeur du développement que quitte Richard Soubielle ne sera plus pourvu chez NG Travel.
A la place, le groupe a décidé de créer un poste de directeur de la production dédié à la marque Iléatours. Raphaël Auvray, ex-Crystal TO, rejoint donc le groupe pour développer cette production spécifique.
Une nouvelle qui devrait réjouir les agences de voyages puisque Iléatours est une des marques sous la bannière Boomerang commercialisée en B2B.
Les produits Iléatours vont réaliser cinq millions d’euros de chiffre d’affaires cette année mais ils sont travaillés jusqu’à présent à partir des deux autres marques du groupe NG Travel, celles qui sont commercialisées en B2C.
Directours, pour la production haut de gamme et Promovols/Promoséjours, véritable usine à fabriquer des forfaits situés plutôt dans la gamme économique. Car le credo d’Olivier Kervella, le président du holding NG Travel, c’est une marque pour un type de produit spécifique :
« Au cours de mon parcours professionnel, je me suis rendu compte combien il était malaisé de commercialiser des hôtels de catégories différentes sous une seule marque. Notre positionnement est plus sain vis-à-vis des distributeurs ».
A la place, le groupe a décidé de créer un poste de directeur de la production dédié à la marque Iléatours. Raphaël Auvray, ex-Crystal TO, rejoint donc le groupe pour développer cette production spécifique.
Une nouvelle qui devrait réjouir les agences de voyages puisque Iléatours est une des marques sous la bannière Boomerang commercialisée en B2B.
Les produits Iléatours vont réaliser cinq millions d’euros de chiffre d’affaires cette année mais ils sont travaillés jusqu’à présent à partir des deux autres marques du groupe NG Travel, celles qui sont commercialisées en B2C.
Directours, pour la production haut de gamme et Promovols/Promoséjours, véritable usine à fabriquer des forfaits situés plutôt dans la gamme économique. Car le credo d’Olivier Kervella, le président du holding NG Travel, c’est une marque pour un type de produit spécifique :
« Au cours de mon parcours professionnel, je me suis rendu compte combien il était malaisé de commercialiser des hôtels de catégories différentes sous une seule marque. Notre positionnement est plus sain vis-à-vis des distributeurs ».
NG Travel table sur un CA de 120 millions (+ 20%)
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Pour ces trois activités, les achats aériens sont mutualisés et gérés par Christian Van Roy, l’un des professionnels les plus compétents du marché dans sa spécialité.
Sont également mutualisés les finances, le marketing et l‘informatique. « Notre structure se veut low cost. A la holding, nous ne sommes que deux personnes », explique Olivier Kervella.
Une organisation « nouvelle génération » comme le stipule le nom NG Travel mais qu’Olivier Kervella a repérée chez d’autres entreprises touristiques, notamment en Grande-Bretagne.
L’entreprise table sur un chiffre d’affaires de 120 millions cette année en progression de 20% par rapport à 2009 et un résultat net dans le même ordre de progression en dépit de la perte de 400 000 euros occasionnée par le volcan islandais en avril dernier.
Rappelons que le résultat net avait été de 1 million l’année dernière. Le business plan prévoit d’ici quatre ans un chiffre d’affaires de l’ordre de 250 millions d’euros et un bénéfice net de 4%, sans lancer nécessairement de nouvelles activités.
Des différentes marques rachetées à Accor, seule Africatours a été activée et réalisera un chiffre d’affaires de 2 millions d’euros cette année. D’après Olivier Kervella, le développement d’Africatours est « soft car l’Afrique est difficile à commercialiser ».
Sont également mutualisés les finances, le marketing et l‘informatique. « Notre structure se veut low cost. A la holding, nous ne sommes que deux personnes », explique Olivier Kervella.
Une organisation « nouvelle génération » comme le stipule le nom NG Travel mais qu’Olivier Kervella a repérée chez d’autres entreprises touristiques, notamment en Grande-Bretagne.
L’entreprise table sur un chiffre d’affaires de 120 millions cette année en progression de 20% par rapport à 2009 et un résultat net dans le même ordre de progression en dépit de la perte de 400 000 euros occasionnée par le volcan islandais en avril dernier.
Rappelons que le résultat net avait été de 1 million l’année dernière. Le business plan prévoit d’ici quatre ans un chiffre d’affaires de l’ordre de 250 millions d’euros et un bénéfice net de 4%, sans lancer nécessairement de nouvelles activités.
Des différentes marques rachetées à Accor, seule Africatours a été activée et réalisera un chiffre d’affaires de 2 millions d’euros cette année. D’après Olivier Kervella, le développement d’Africatours est « soft car l’Afrique est difficile à commercialiser ».
Asie Tours et America Tours restent en sommeil
Asie Tours et America Tours restent donc pour l’instant en sommeil.
« Pour être crédible en tant que TO il faut connaître la destination à fond, former la resa et les commerciaux. Nous lancerons peut-être ces marques dans trois ou quatre ans ».
A l’inverse, la production Boomerang de courts séjours et week-ends est une des bonnes surprises du groupe. Elle connaît une croissance de 45%, essentiellement due aux ventes d’AS Voyages.
« Ce qui prouve que ce type de produit que l’on disait moribond pour les agences de voyages au profit de l’internet a toujours sa place en agence.
Mais de notre côté, nous mettons à la disposition des vendeurs un système de réservation ultra rapide et nos tarifs sont compétitifs.
Les agences peuvent trouver dans notre production des tarifs qui tiennent la comparaison avec ceux des agences en ligne et les clients apprécient… et achètent.
Notre marge est faible sur ce produit mais nous nous rattrapons sur le volume », commente Olivier Kervella, satisfait de son référencement chez AS Voyages.
Le produit week-end dont 60% est vendu directement en ligne par les agences devrait atteindre les 10 millions d‘euros de chiffre d’affaires cette année.
Dernier pari en date tenté par NG Travel, celui de prendre la place de challenger sur la production République Dominicaine laissé par Marsans.
Cet hiver, le groupe s’est engagé sur 800 à 900 sièges semaine sur cette destination avec des départs de Paris mais également de cinq villes de province.
En parallèle, il met en place un vol vers la destination balnéaire d’Isla Margarita au Venezuela. Déjà programmé l’année dernière, ce vol fera cette saison escale à Sainte-Lucie.
« Pour être crédible en tant que TO il faut connaître la destination à fond, former la resa et les commerciaux. Nous lancerons peut-être ces marques dans trois ou quatre ans ».
A l’inverse, la production Boomerang de courts séjours et week-ends est une des bonnes surprises du groupe. Elle connaît une croissance de 45%, essentiellement due aux ventes d’AS Voyages.
« Ce qui prouve que ce type de produit que l’on disait moribond pour les agences de voyages au profit de l’internet a toujours sa place en agence.
Mais de notre côté, nous mettons à la disposition des vendeurs un système de réservation ultra rapide et nos tarifs sont compétitifs.
Les agences peuvent trouver dans notre production des tarifs qui tiennent la comparaison avec ceux des agences en ligne et les clients apprécient… et achètent.
Notre marge est faible sur ce produit mais nous nous rattrapons sur le volume », commente Olivier Kervella, satisfait de son référencement chez AS Voyages.
Le produit week-end dont 60% est vendu directement en ligne par les agences devrait atteindre les 10 millions d‘euros de chiffre d’affaires cette année.
Dernier pari en date tenté par NG Travel, celui de prendre la place de challenger sur la production République Dominicaine laissé par Marsans.
Cet hiver, le groupe s’est engagé sur 800 à 900 sièges semaine sur cette destination avec des départs de Paris mais également de cinq villes de province.
En parallèle, il met en place un vol vers la destination balnéaire d’Isla Margarita au Venezuela. Déjà programmé l’année dernière, ce vol fera cette saison escale à Sainte-Lucie.