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Mais Gérard Péruilhé, responsable de la communication de la DGCCRF, interrogé par le quotidien (LIRE), ne l'entend pas de cette oreille : "Il n'y a pas plus de garantie pour le client.
Lors d'une promotion, le commerçant est déjà tenu de préciser les dates de début et de fin de l'opération, et d'effectuer la réduction selon un prix de référence, le prix le plus bas pratiqué au cours des trente jours précédents."
Ce responsable annonce que son organisme va regarder à la loupe l'offre du voyagiste afin de vérifier si l'utilisation du mot "soldes" est compatible avec la loi. Dans le cas contraire, le voyagiste risque 15 000 euros d'amende.
De son côté, Richard Vainopoulos, président de Tourcom et représentant des professionnels du tourisme à la DGCCRF, précise que"Des soldes ne seraient pas rentables pour les voyagistes. Les promotions, réalisables quand nous le souhaitons, ne concernent déjà qu'une toute petite part de l'activité".
Lors d'une promotion, le commerçant est déjà tenu de préciser les dates de début et de fin de l'opération, et d'effectuer la réduction selon un prix de référence, le prix le plus bas pratiqué au cours des trente jours précédents."
Ce responsable annonce que son organisme va regarder à la loupe l'offre du voyagiste afin de vérifier si l'utilisation du mot "soldes" est compatible avec la loi. Dans le cas contraire, le voyagiste risque 15 000 euros d'amende.
De son côté, Richard Vainopoulos, président de Tourcom et représentant des professionnels du tourisme à la DGCCRF, précise que"Des soldes ne seraient pas rentables pour les voyagistes. Les promotions, réalisables quand nous le souhaitons, ne concernent déjà qu'une toute petite part de l'activité".