L'idée de Raouf Benslimane était la bonne. Quand il crée Thalasso n°1 en mars 2003, en famille, le pdg de cette société implantée à Paris décide de se glisser dans une niche encore mal exploitée.
Aujourd'hui, sa position de spécialiste sur une thématique porteuse, le bien-être, soutient sa croissance.
« Il n’y a pas une seule unité à quatre ou cinq étoiles qui n’ouvre au moins un centre spa pour une clientèle très réceptive à tout ce qui permet de se ressourcer », affirme-t-il.
Après cinq ans d'activité, Thalasso n°1 est encore une structure à taille humaine, qui emploie 33 salariés.
Une caractéristique qui peut séduire les candidats à l'embauche, croit savoir Raouf Benslimane. "On se connaît tous. On fonctionne dans la souplesse et la rapidité, la direction est très polyvalente", explique-t-il.
Thalasso n°1 a réalisé l’année dernière un CA de 50 millions d’euros. Ses produits sont autant vendus par les agences en ligne que le réseau physique.
C’est pour ce dernier que Raouf Benslimane a ressenti le besoin de structurer une direction commerciale dédiée. Celle-ci cherche aujourd’hui à s’étoffer.
Aujourd'hui, sa position de spécialiste sur une thématique porteuse, le bien-être, soutient sa croissance.
« Il n’y a pas une seule unité à quatre ou cinq étoiles qui n’ouvre au moins un centre spa pour une clientèle très réceptive à tout ce qui permet de se ressourcer », affirme-t-il.
Après cinq ans d'activité, Thalasso n°1 est encore une structure à taille humaine, qui emploie 33 salariés.
Une caractéristique qui peut séduire les candidats à l'embauche, croit savoir Raouf Benslimane. "On se connaît tous. On fonctionne dans la souplesse et la rapidité, la direction est très polyvalente", explique-t-il.
Thalasso n°1 a réalisé l’année dernière un CA de 50 millions d’euros. Ses produits sont autant vendus par les agences en ligne que le réseau physique.
C’est pour ce dernier que Raouf Benslimane a ressenti le besoin de structurer une direction commerciale dédiée. Celle-ci cherche aujourd’hui à s’étoffer.
Asseoir sa position sur les axes aériens de province
''On se connaît tous. On fonctionne dans la souplesse et la rapidité, la direction est très polyvalente
Cinq commerciaux opèrent déjà sur Paris et région parisienne. Thalasso n°1 veut maintenant « asseoir sa position sur les axes aériens de province où nous avons de nombreux départs ».
Il s’agit de Nantes, Rennes et Deauville pour l’ouest, Bordeaux et Toulouse pour le sud-ouest, et une grande région allant de Lyon au Mans en passant par Dijon et Orléans. Au total, quatre postes de commerciaux sont à pourvoir d’ici la fin de l’année.
Reste à attirer les candidats. Pour se différencier des grandes marques, Raouf Benslimane parie sur son produit, « un produit à forte valeur ajoutée, qui n’est plus vu comme un produit technique ». Il attend de ses commerciaux une "réceptivité au bien-être".
"Je travaille avec des collaborateurs qui sont sensibles au bien-être, attirés par les produits que nous vendons, mais aussi par le design, l'esprit zen ou encore la culture asiatique", insiste Raouf Benslimane.
Le pdg recherche aussi chez ses futurs commerciaux "un esprit commercial fort. Le métier, ça s’apprend, pas le sens commercial. C’est d’ailleurs pour nous la plus grosse lacune du secteur touristique », lâche-t-il.
Lors de sa prise de poste, le nouveau commercial commencera par deux semaines de formation théorique auprès du directeur commercial, puis un accompagnement sur le terrain d'une durée égale.
Côté conditions de travail, Raouf Benslimane estime jouer le jeu. « Nous garantissons un salaire fixe largement supérieur au Smic, assorti d’un intéressement trimestriel et un intéressement annuel, ainsi qu'un véhicule de fonction, un ordinateur portable, un téléphone mobile, et le remboursement de tous les frais annexes aux déplacements", détaille-t-il.
"Parce que pour vendre le bien-être, il faut se sentir bien soi-même. "
Il s’agit de Nantes, Rennes et Deauville pour l’ouest, Bordeaux et Toulouse pour le sud-ouest, et une grande région allant de Lyon au Mans en passant par Dijon et Orléans. Au total, quatre postes de commerciaux sont à pourvoir d’ici la fin de l’année.
Reste à attirer les candidats. Pour se différencier des grandes marques, Raouf Benslimane parie sur son produit, « un produit à forte valeur ajoutée, qui n’est plus vu comme un produit technique ». Il attend de ses commerciaux une "réceptivité au bien-être".
"Je travaille avec des collaborateurs qui sont sensibles au bien-être, attirés par les produits que nous vendons, mais aussi par le design, l'esprit zen ou encore la culture asiatique", insiste Raouf Benslimane.
Le pdg recherche aussi chez ses futurs commerciaux "un esprit commercial fort. Le métier, ça s’apprend, pas le sens commercial. C’est d’ailleurs pour nous la plus grosse lacune du secteur touristique », lâche-t-il.
Lors de sa prise de poste, le nouveau commercial commencera par deux semaines de formation théorique auprès du directeur commercial, puis un accompagnement sur le terrain d'une durée égale.
Côté conditions de travail, Raouf Benslimane estime jouer le jeu. « Nous garantissons un salaire fixe largement supérieur au Smic, assorti d’un intéressement trimestriel et un intéressement annuel, ainsi qu'un véhicule de fonction, un ordinateur portable, un téléphone mobile, et le remboursement de tous les frais annexes aux déplacements", détaille-t-il.
"Parce que pour vendre le bien-être, il faut se sentir bien soi-même. "