René Marc Chikli et Jean-Pierre Mas
Et, avec tout ça, une nouvelle année s'ouvre pour les juifs du monde entier en ce jour d'hui.
Pas question ici de rentrer dans un prosélytisme qui n'a pas lieu d'être. Juste un constat. Et, encore une fois, le tourisme va subir l'irresponsabilité et la décadence d'êtres totalement coupés des réalités.
Non, malgré cette maxime qui veut que, quoi qu'il arrive, la vie continue et que le "show must go on", on ne peut rester indifférent, on ne peut pas faire comme si rien ne s'était passé…
Et pourtant, c'est pas facile, je le reconnais bien volontiers. Nos instances professionnelles n'ont pas vraiment la tâche facile, entre un Snav qui, le cul pris entre deux chaises, tente de ménager ses accords avec Air France et la colère qui grimpe face à la défaillance de la compagnie, le pivot et complice majeur de la plupart de ses adhérents.
Soucis d'ailleurs partagé par le Seto, associé dans la galère Air France et la montée du terrorisme envers nos compatriotes.
Sur le cas Air France, j'ai pas trop envie d'y revenir. Le Snav est certainement très ennuyé et malgré le discours plutôt ferme de son nouveau président, Jean-Pierre Mas, ne peut que constater et engranger quelques arguments pour les négociations qui s'affinent entre eux.
Quant au Seto, qui a, semble-t-il, établi une "charte" avec notre compagnie qui n'est plus nationale depuis longtemps, le dilemme reste le même. En fait, la grande question demeure : faut-il encore faire confiance à une compagnie qui n'est dirigée que par une caste qui se fout éperdument des réalités économiques.
Pas question ici de rentrer dans un prosélytisme qui n'a pas lieu d'être. Juste un constat. Et, encore une fois, le tourisme va subir l'irresponsabilité et la décadence d'êtres totalement coupés des réalités.
Non, malgré cette maxime qui veut que, quoi qu'il arrive, la vie continue et que le "show must go on", on ne peut rester indifférent, on ne peut pas faire comme si rien ne s'était passé…
Et pourtant, c'est pas facile, je le reconnais bien volontiers. Nos instances professionnelles n'ont pas vraiment la tâche facile, entre un Snav qui, le cul pris entre deux chaises, tente de ménager ses accords avec Air France et la colère qui grimpe face à la défaillance de la compagnie, le pivot et complice majeur de la plupart de ses adhérents.
Soucis d'ailleurs partagé par le Seto, associé dans la galère Air France et la montée du terrorisme envers nos compatriotes.
Sur le cas Air France, j'ai pas trop envie d'y revenir. Le Snav est certainement très ennuyé et malgré le discours plutôt ferme de son nouveau président, Jean-Pierre Mas, ne peut que constater et engranger quelques arguments pour les négociations qui s'affinent entre eux.
Quant au Seto, qui a, semble-t-il, établi une "charte" avec notre compagnie qui n'est plus nationale depuis longtemps, le dilemme reste le même. En fait, la grande question demeure : faut-il encore faire confiance à une compagnie qui n'est dirigée que par une caste qui se fout éperdument des réalités économiques.
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J'avoue que je n'ai pas de réponse. Malgré un fort attachement, gauloiserie oblige, à cette compagnie qui n'a pas su anticiper.
Le plus grave, hélas, vient de ce terrorisme barbare qui remet en cause le principe même de nos métiers, que nous soyons voyagistes, agents de voyages, journaleux ou que sais-je.
Peut-on, au nom de rien, s'emparer et massacrer des êtres humains, juste pour le plaisir ?
Encore une fois, la position de nos instances professionnelles est délicate. Faut-il, au nom de la défense d'un marché, d'une économie, tenter de minimiser les risques qu'il y a de plus en plus, à partir découvrir un monde que nous ne connaissons pas ?
Faut-il, comme l'a déclaré René-Marc Chickli, Président du Seto hier sur Top Résa, tenir des propos rassurants ? Oui, aurais-je tendance à dire, parce que rien n'est plus insupportable que le chantage à la vie…
Non, devraient répondre les professionnels qui sont tenus par leur devoir d'information… et de précaution. Parce que, une fois de plus, crises politiques ou autres balivernes, le tourisme est toujours en tête de ligne.
Et que, lorsqu'un garçon, père de famille, passionné de grimpette sur la montagne, vient voir son agence de voyage pour lui demander l'organisation de son périple vers un pays qu'il ne connait pas, que lui dire ? Hervé Gourdel a choisi…
Telle est la question. Je n'ai pas la réponse et je m'en excuse…
Le plus grave, hélas, vient de ce terrorisme barbare qui remet en cause le principe même de nos métiers, que nous soyons voyagistes, agents de voyages, journaleux ou que sais-je.
Peut-on, au nom de rien, s'emparer et massacrer des êtres humains, juste pour le plaisir ?
Encore une fois, la position de nos instances professionnelles est délicate. Faut-il, au nom de la défense d'un marché, d'une économie, tenter de minimiser les risques qu'il y a de plus en plus, à partir découvrir un monde que nous ne connaissons pas ?
Faut-il, comme l'a déclaré René-Marc Chickli, Président du Seto hier sur Top Résa, tenir des propos rassurants ? Oui, aurais-je tendance à dire, parce que rien n'est plus insupportable que le chantage à la vie…
Non, devraient répondre les professionnels qui sont tenus par leur devoir d'information… et de précaution. Parce que, une fois de plus, crises politiques ou autres balivernes, le tourisme est toujours en tête de ligne.
Et que, lorsqu'un garçon, père de famille, passionné de grimpette sur la montagne, vient voir son agence de voyage pour lui demander l'organisation de son périple vers un pays qu'il ne connait pas, que lui dire ? Hervé Gourdel a choisi…
Telle est la question. Je n'ai pas la réponse et je m'en excuse…