Laurent Abitbol à Lyon le 8 décembre 2017, lors du congrès Selectour - DR : C.E.
Cette fois, ça passe ou ça casse.
Après une première tentative de réforme du réseau Selectour, soldée par un échec notoire, Laurent Abitbol, le président ambitieux mais profondément convaincu que le réseau doit « évoluer », avait lancé le projet Sunrise.
Pour mémoire, ce « projet » consiste à donner essentiellement un élan nouveau au réseau, en accordant à chacun de ses membres la place qui lui revient.
Trois collèges seraient ainsi constitués, selon la taille de l’agence membre : petit, moyen et gros.
D’ailleurs, faut-il le rappeler, ce sont quand même les quelque 10 « gros » qui assurent 80% du revenu du réseau. Et qui, par ricochet, font bénéficier la totalité des adhérents de cette « plus-value » !
N’a-t-on pas « redistribué » quelque 4 millions d’euros en plus cette année ?
Après une première tentative de réforme du réseau Selectour, soldée par un échec notoire, Laurent Abitbol, le président ambitieux mais profondément convaincu que le réseau doit « évoluer », avait lancé le projet Sunrise.
Pour mémoire, ce « projet » consiste à donner essentiellement un élan nouveau au réseau, en accordant à chacun de ses membres la place qui lui revient.
Trois collèges seraient ainsi constitués, selon la taille de l’agence membre : petit, moyen et gros.
D’ailleurs, faut-il le rappeler, ce sont quand même les quelque 10 « gros » qui assurent 80% du revenu du réseau. Et qui, par ricochet, font bénéficier la totalité des adhérents de cette « plus-value » !
N’a-t-on pas « redistribué » quelque 4 millions d’euros en plus cette année ?
Visiblement, ça ne suffit pas à certains « opposants », lesquels se sont montrés particulièrement discrets lors du dernier congrès du réseau à Lyon, alors que la parole leur était largement ouverte ?
Non, ces éternels insatisfaits, craintus de tout, préfèrent un anonymat de mauvais aloi, postant (faut bien faire vivre nos facteurs) un courrier insipide au nom d’un « collectif anonyme » (là, y’a de quoi se marrer franchement, c’est comme le concombre masqué, tout le monde le connait) qui dénonce le danger de ce projet.
Et surtout de ses changements de statuts, lesquels appellent, effectivement à une nouvelle organisation en termes de gestion, de pilotage des ventes et, accessoirement, la « triste » réalité de pouvoir gagner beaucoup plus pour l’ensemble des adhérents.
En possédant également un pouvoir important vis-à-vis, que dis-je, un poids économique primordial afin de faire de ce réseau un acteur majeur sur l’ensemble du marché.
Pour le bénéfice de tous, ce que me confirment d’ailleurs bon nombre d’adhérents, pour leur grande partie appartenant aux « petits » ou aux « moyens ».
Ceux qui, en clair et en gros, ont compris que leur voix était toujours autant représentative, mais qui, par ricochet logique, ne pourraient qu’être bénéficiaires de la puissance du réseau.
Non, ces éternels insatisfaits, craintus de tout, préfèrent un anonymat de mauvais aloi, postant (faut bien faire vivre nos facteurs) un courrier insipide au nom d’un « collectif anonyme » (là, y’a de quoi se marrer franchement, c’est comme le concombre masqué, tout le monde le connait) qui dénonce le danger de ce projet.
Et surtout de ses changements de statuts, lesquels appellent, effectivement à une nouvelle organisation en termes de gestion, de pilotage des ventes et, accessoirement, la « triste » réalité de pouvoir gagner beaucoup plus pour l’ensemble des adhérents.
En possédant également un pouvoir important vis-à-vis, que dis-je, un poids économique primordial afin de faire de ce réseau un acteur majeur sur l’ensemble du marché.
Pour le bénéfice de tous, ce que me confirment d’ailleurs bon nombre d’adhérents, pour leur grande partie appartenant aux « petits » ou aux « moyens ».
Ceux qui, en clair et en gros, ont compris que leur voix était toujours autant représentative, mais qui, par ricochet logique, ne pourraient qu’être bénéficiaires de la puissance du réseau.
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Les « Anonymes » dénoncent la mainmise future de Bitbol (et de quelques de ses camarades) sur le réseau, grâce à ce directoire qui aura, selon eux « le pouvoir économique et financier sur le réseau ».
Mais non. Chaque représentant de « collège » disposera à parts égales, du même pouvoir, avec deux représentants chacun.
Les trois autres membres de ce directoire seront issus de ce comité d’audit, lequel assurera la « liaison » entre le conseil d’administration et le directoire.
On ne peut pas quand même dire que ces membres du comité d’audit soient des « vendus » à telle ou telle « tendance » et qu’ils auront à cœur de garder un certain équilibre entre les différents partis.
Mais c’est comme toujours, le changement et l’évolution, ça fait peur. Particulièrement à ceux qui se réfugient dans la critique permanente, le regret exacerbé de ne pas avoir « réussi » et surtout de ne pas être systématiquement sous le feu des projecteurs.
« Comment voulez vous gouverner un pays qui a 246 variétés de fromages » écrivait de Gaulle, « la France est ingouvernable », ce à quoi, quelque 60 ans plus tard, Président Macron rajoutait « La France est irréformable, ne proposons pas de la réformer mais de la transformer complètement et radicalement… »
Ben pour Selectour, c’est pareil.
Mais non. Chaque représentant de « collège » disposera à parts égales, du même pouvoir, avec deux représentants chacun.
Les trois autres membres de ce directoire seront issus de ce comité d’audit, lequel assurera la « liaison » entre le conseil d’administration et le directoire.
On ne peut pas quand même dire que ces membres du comité d’audit soient des « vendus » à telle ou telle « tendance » et qu’ils auront à cœur de garder un certain équilibre entre les différents partis.
Mais c’est comme toujours, le changement et l’évolution, ça fait peur. Particulièrement à ceux qui se réfugient dans la critique permanente, le regret exacerbé de ne pas avoir « réussi » et surtout de ne pas être systématiquement sous le feu des projecteurs.
« Comment voulez vous gouverner un pays qui a 246 variétés de fromages » écrivait de Gaulle, « la France est ingouvernable », ce à quoi, quelque 60 ans plus tard, Président Macron rajoutait « La France est irréformable, ne proposons pas de la réformer mais de la transformer complètement et radicalement… »
Ben pour Selectour, c’est pareil.