Réfléchir au bronzage des Chinois, au tourisme des seniors ou encore à l’hôtellerie du futur.
Voici quelque unes des problématiques sur lesquelles vont travailler les membres de l’Angers TourismLab, un nouveau laboratoire de recherche lancé par l’ESTHUA.
En partenariat avec la ville d’Angers, l’université, la région Pays de la Loire ainsi que l’Union Européenne, ce laboratoire a été doté d’un généreux budget de 5,2 millions d’euros pour 5 ans.
De quoi financer 7 projets qui ont été sélectionnés, ainsi que trois doctorants et trois post-doctorants.
Ce projet est une grande première. Car jusqu’à présent, le tourisme n’avait jamais été considéré comme une discipline de recherche à part entière, contrairement aux États-Unis ou au Canada.
Les membres devront ainsi défricher un terrain encore vierge, mais surtout convaincre les professionnels du tourisme de la pertinence de leur travail.
« Les entreprises doivent comprendre que l’innovation passe par le développement de la recherche. Il faut nouer des partenariats plus forts entre ces deux mondes » explique Pierre Denizet, le président du directoire d’Appart’City et ambassadeur d'Angers TourismLab.
Lui-même vient de recruter un doctorant en Cifre, pour une mission de recherche stratégique. Un contrat qui, grâce au crédit d'impôt, ne coûte qu'environ 10 000 euros.
Voici quelque unes des problématiques sur lesquelles vont travailler les membres de l’Angers TourismLab, un nouveau laboratoire de recherche lancé par l’ESTHUA.
En partenariat avec la ville d’Angers, l’université, la région Pays de la Loire ainsi que l’Union Européenne, ce laboratoire a été doté d’un généreux budget de 5,2 millions d’euros pour 5 ans.
De quoi financer 7 projets qui ont été sélectionnés, ainsi que trois doctorants et trois post-doctorants.
Ce projet est une grande première. Car jusqu’à présent, le tourisme n’avait jamais été considéré comme une discipline de recherche à part entière, contrairement aux États-Unis ou au Canada.
Les membres devront ainsi défricher un terrain encore vierge, mais surtout convaincre les professionnels du tourisme de la pertinence de leur travail.
« Les entreprises doivent comprendre que l’innovation passe par le développement de la recherche. Il faut nouer des partenariats plus forts entre ces deux mondes » explique Pierre Denizet, le président du directoire d’Appart’City et ambassadeur d'Angers TourismLab.
Lui-même vient de recruter un doctorant en Cifre, pour une mission de recherche stratégique. Un contrat qui, grâce au crédit d'impôt, ne coûte qu'environ 10 000 euros.
Multiplier les partenariats avec les professionnels du tourisme
François-Xavier de Boüard, le fondateur de Selectour Afat, Philippe Violier, le directeur de l’ESTHUA, Pierre Denizet, le président du directoire d’Appart’City et Philippe Broix, le directeur de l'Angers TourismLab. DR - DG
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Multiplier les synergies entre les pros et l'université est d'ailleurs le leitmotiv de Philippe Broix, le directeur de l'Angers TourismLab.
Il est installé au sein de l’ESTHUA, l’une des premières universités à s'être intéressée au tourisme il y a trente ans.
Elle compte aujourd’hui 3000 étudiants et « produit zéro chômeurs » se félicite son directeur, Philippe Violier.
L’ESTHUA a toujours multiplié les partenariat avec les professionnels du tourisme en lançant des programmes de formations qui correspondent à leurs attentes.
La dernière en date : gestionnaire de terrain de camping. Une profession en pleine mutation qui a besoin d’être structurée. Une autre formation est prévue pour septembre, sur le tourisme et les seniors.
Autre projet : celui de monter un hôtel d’application pour les étudiants en tourisme d'ici 2020. Un budget de 4 millions d’euros qui financera un lieu pour héberger à la fois les chercheurs mais également pour expérimenter hôtellerie du futur.
Les ambitions de l'Angers TourismLab ont été présentées au SNAV et au SETO par François-Xavier de Boüard, ancien co-président de Selectour Afat.
Un soutien des deux grandes organisations professionnelles du tourisme serait particulièrement bienvenu pour contribuer au rassemblement de deux mondes qui s'ignorent.
Il est installé au sein de l’ESTHUA, l’une des premières universités à s'être intéressée au tourisme il y a trente ans.
Elle compte aujourd’hui 3000 étudiants et « produit zéro chômeurs » se félicite son directeur, Philippe Violier.
L’ESTHUA a toujours multiplié les partenariat avec les professionnels du tourisme en lançant des programmes de formations qui correspondent à leurs attentes.
La dernière en date : gestionnaire de terrain de camping. Une profession en pleine mutation qui a besoin d’être structurée. Une autre formation est prévue pour septembre, sur le tourisme et les seniors.
Autre projet : celui de monter un hôtel d’application pour les étudiants en tourisme d'ici 2020. Un budget de 4 millions d’euros qui financera un lieu pour héberger à la fois les chercheurs mais également pour expérimenter hôtellerie du futur.
Les ambitions de l'Angers TourismLab ont été présentées au SNAV et au SETO par François-Xavier de Boüard, ancien co-président de Selectour Afat.
Un soutien des deux grandes organisations professionnelles du tourisme serait particulièrement bienvenu pour contribuer au rassemblement de deux mondes qui s'ignorent.