Parmi ses conclusions, une nous paraît essentielle : le passage d'une société de consommation à une société de recommandation.
Autrement dit, le basculement du tourisme d'un mode passif au mode P2P (peer to peer).
On appelle cela aussi le C2C (de consommateur à consommateur), web collaboratif ou encore Web 2.0 pour bien marquer sa différence avec les débuts de la Toile.
Cette lame de fond a déboulé sur Internet en l'espace de 2 ans et s'est imposée comme l'une des forces du réseau des réseaux. En quoi consiste-t-elle ?
Dans la participation active des Internautes aux avis, aux recommandations, à la conception et à la fabrication du voyage même par le truchement du package dynamique.
De spectateur, le voyageur est devenu acteur de l'information, de la préparation et de l'exécution de son voyage. Une fois de retour, il va apprécier, recommander ou critiquer et donner ainsi aux autres partants des indices qui leur permettront d'élire ou d'écarter le produit choisi.
Autrement dit, le basculement du tourisme d'un mode passif au mode P2P (peer to peer).
On appelle cela aussi le C2C (de consommateur à consommateur), web collaboratif ou encore Web 2.0 pour bien marquer sa différence avec les débuts de la Toile.
Cette lame de fond a déboulé sur Internet en l'espace de 2 ans et s'est imposée comme l'une des forces du réseau des réseaux. En quoi consiste-t-elle ?
Dans la participation active des Internautes aux avis, aux recommandations, à la conception et à la fabrication du voyage même par le truchement du package dynamique.
De spectateur, le voyageur est devenu acteur de l'information, de la préparation et de l'exécution de son voyage. Une fois de retour, il va apprécier, recommander ou critiquer et donner ainsi aux autres partants des indices qui leur permettront d'élire ou d'écarter le produit choisi.
Les sites de voyage se convertissent, eux-aussi, au C2C
Après avoir longuement hésité, les sites de voyage se convertissent, eux-aussi, au C2C. En acceptant que leurs clients de retour préconisent ou dénoncent tel ou tel produit, ils jouent gros.
Et pourtant, ce serait là, selon Joël de Rosnay, la clé du business futur. Ceci partant du (vieux) principe qu'un client satisfait en parle à 3 autres alors qu'un mécontent le claironnera à 20 autres…
Bien entendu, la méthode a (selon nous) ses limites. Celle-là même de la valeur et de la subjectivité du jugement des clients. Par ailleurs, le risque d' « intox » de la part du fabricant même par des appréciations complaisantes n'est pas mince non plus.
Et pourtant, ce serait là, selon Joël de Rosnay, la clé du business futur. Ceci partant du (vieux) principe qu'un client satisfait en parle à 3 autres alors qu'un mécontent le claironnera à 20 autres…
Bien entendu, la méthode a (selon nous) ses limites. Celle-là même de la valeur et de la subjectivité du jugement des clients. Par ailleurs, le risque d' « intox » de la part du fabricant même par des appréciations complaisantes n'est pas mince non plus.
L'avénement de blogs « publicitaires » visant à faire la promo de telle ou telle enseigne ou produit, démontre la limite de l'exercice.
Voilà aujourd'hui les tenants et les aboutissants de la nouvelle donne. Une chose semble sûre : l'implication toujours plus grande du consommateur dans le processus de commercialisation.
De par ses avis, éclairés ou non, il est sur le point de changer considérablement la donne du tourisme actuel.
Quant on saura que 70% des Français partis en voyage se sont aupravant renseignés sur la Toile, on mesure mieux l'impact d'une telle (r)évolution.
Voilà aujourd'hui les tenants et les aboutissants de la nouvelle donne. Une chose semble sûre : l'implication toujours plus grande du consommateur dans le processus de commercialisation.
De par ses avis, éclairés ou non, il est sur le point de changer considérablement la donne du tourisme actuel.
Quant on saura que 70% des Français partis en voyage se sont aupravant renseignés sur la Toile, on mesure mieux l'impact d'une telle (r)évolution.