Missions
Bagagiste : Avant toute formation, disponibilité, débrouillardise et santé sont ses atouts primordiaux. Dans un grand hôtel, il est placé sous la responsabilité du concierge ou du chef de réception © pio3 - Fotolia.com
Le premier sur le trottoir pour accueillir le client, le dernier à le saluer à son départ, le bagagiste-chasseur dans un hôtel assure entre les deux une multitude de services à la clientèle.
Avant toute formation, disponibilité, débrouillardise et santé sont ses atouts primordiaux. Dans un grand hôtel, il est placé sous la responsabilité du concierge ou du chef de réception.
On peut cependant recenser quelques missions principales :
- Accueillir les nouveaux arrivants dès leur descente de voiture, prendre leurs bagages, leur ouvrir les portes de l’établissement et les diriger vers la réception
- S’occuper de la voiture si elle appartient au client
- Porter les bagages jusqu’à la chambre
- Répondre à toutes les demandes de courses extérieures pour les clients pendant leur séjour : messages, courrier, réservations, taxis, portage de paquets…
- Gérer la bagagerie
Avant toute formation, disponibilité, débrouillardise et santé sont ses atouts primordiaux. Dans un grand hôtel, il est placé sous la responsabilité du concierge ou du chef de réception.
On peut cependant recenser quelques missions principales :
- Accueillir les nouveaux arrivants dès leur descente de voiture, prendre leurs bagages, leur ouvrir les portes de l’établissement et les diriger vers la réception
- S’occuper de la voiture si elle appartient au client
- Porter les bagages jusqu’à la chambre
- Répondre à toutes les demandes de courses extérieures pour les clients pendant leur séjour : messages, courrier, réservations, taxis, portage de paquets…
- Gérer la bagagerie
Points forts
- Le contact avec la clientèle
- L’impossibilité de s’ennuyer
- L’obligation de rester en alerte et en curiosité permanente
- L’impossibilité de s’ennuyer
- L’obligation de rester en alerte et en curiosité permanente
Formation
A priori, aucun autre diplôme que le sourire et la débrouillardise ne sont nécessaires.
Rémunération :
18 à 20 K€ plus les pourboires
Compétences
- Une excellente connaissance de l’environnement de l’établissement, culture, commerces, services…
- Une excellente santé et de bons bras
- Le souci du détail et le sens de l’ordre
- La pratique de plusieurs langues sera un plus apprécié
- Une bonne présentation
- Un sens aigu du contact et du service
- Le permis de conduire
- Une excellente santé et de bons bras
- Le souci du détail et le sens de l’ordre
- La pratique de plusieurs langues sera un plus apprécié
- Une bonne présentation
- Un sens aigu du contact et du service
- Le permis de conduire
Qualités bienvenues
Vous voulez entrer rapidement dans la vie active et vous avez toujours su vous débrouiller hors de l’école. Vous êtes plutôt sportif et disponible.
Vous êtes en outre :
- Discret et respectueux
- Efficace dans votre organisation personnelle
- Curieux de tout autour de vous
- Doté du sens de l’initiative
Vous êtes en outre :
- Discret et respectueux
- Efficace dans votre organisation personnelle
- Curieux de tout autour de vous
- Doté du sens de l’initiative
Débouchés et évolution professionnelle
Un bagagiste-chasseur qui assure quelques stages et formation peut évoluer vers les autres métiers de la réception et suivre le cursus d’une carrière hôtelière.
Témoignages de pro
Julien Guillemé, voiturier, bagagiste, chasseur
C’est un poste plein d’intérêt et de rencontres, qui se déroule dans un environnement luxueux agréable
« Mon parcours est un peu atypique, puisque je viens de terminer une thèse de doctorat en ergonomie cognitive. Mais les postes dans mon domaine sont rares, et j’ai pris ce travail en attendant.
Sans regrets. Je dois dire, après deux saisons, à Biarritz et à Megève, que je me pose sérieusement la question de le conserver. C’est un poste vraiment plein d’intérêts, avec des rencontres enrichissantes, et qui se déroule dans un environnement luxueux plutôt agréable.
Le physique est important bien sûr. On peut être amené à porter de lourds bagages ou à se glisser dans des véhicules peu commodes. La médecine du travail recommanderait sans doute de ne pas faire cela trop longtemps.
Pourtant j’ai des collègues qui tiennent à ce travail depuis plus de vingt ans. Pour deux raisons.
La première, qui est aussi la mienne, est la relation client. Nous sommes les premiers et les derniers à leur parler pendant le séjour. Les faire sourire est une satisfaction, une garantie de retours positifs.
Dans certains cas, nous assurons les navettes gare ou aéroport et nous sommes alors la vitrine de l’établissement. L’interaction avec le client est plus poussée, moins technique, plus humaine que pour de nombreux autres services dans l’hôtel.
La seconde raison est matérielle. Le salaire est peu évolutif, mais peut être doublé, et parfois plus, par les pourboires. Dans les stations de ski, nous sommes logés, nourris. Moins souvent logés en bord de mer, mais cela reste un avantage en nature non négligeable.
En général, nous travaillons cinq jours par semaine, mais souvent de façon intense, dix heures par jour, ou plus. Cela reste un travail physique, parfois dense lors des arrivées groupées.
Mais les contacts clients sont chaleureux. Selon les établissements, les intersaisons, entre montagne et balnéaire, peuvent être longues et permettent de recharger les batteries.
Ce poste n’existe que dans les établissements haut de gamme. Il permet de vivre dans un environnement plutôt luxueux et de faire des rencontres passionnantes. C’est un super tremplin ! »
« Mon parcours est un peu atypique, puisque je viens de terminer une thèse de doctorat en ergonomie cognitive. Mais les postes dans mon domaine sont rares, et j’ai pris ce travail en attendant.
Sans regrets. Je dois dire, après deux saisons, à Biarritz et à Megève, que je me pose sérieusement la question de le conserver. C’est un poste vraiment plein d’intérêts, avec des rencontres enrichissantes, et qui se déroule dans un environnement luxueux plutôt agréable.
Le physique est important bien sûr. On peut être amené à porter de lourds bagages ou à se glisser dans des véhicules peu commodes. La médecine du travail recommanderait sans doute de ne pas faire cela trop longtemps.
Pourtant j’ai des collègues qui tiennent à ce travail depuis plus de vingt ans. Pour deux raisons.
La première, qui est aussi la mienne, est la relation client. Nous sommes les premiers et les derniers à leur parler pendant le séjour. Les faire sourire est une satisfaction, une garantie de retours positifs.
Dans certains cas, nous assurons les navettes gare ou aéroport et nous sommes alors la vitrine de l’établissement. L’interaction avec le client est plus poussée, moins technique, plus humaine que pour de nombreux autres services dans l’hôtel.
La seconde raison est matérielle. Le salaire est peu évolutif, mais peut être doublé, et parfois plus, par les pourboires. Dans les stations de ski, nous sommes logés, nourris. Moins souvent logés en bord de mer, mais cela reste un avantage en nature non négligeable.
En général, nous travaillons cinq jours par semaine, mais souvent de façon intense, dix heures par jour, ou plus. Cela reste un travail physique, parfois dense lors des arrivées groupées.
Mais les contacts clients sont chaleureux. Selon les établissements, les intersaisons, entre montagne et balnéaire, peuvent être longues et permettent de recharger les batteries.
Ce poste n’existe que dans les établissements haut de gamme. Il permet de vivre dans un environnement plutôt luxueux et de faire des rencontres passionnantes. C’est un super tremplin ! »
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