Limiter l’arrivée de concurrents dangereux
Certes, le phénomène prendra quelque temps car les grandes compagnies ont encore quelques ressources qu’elles vont, bien évidemment, utiliser.
D’abord les créneaux horaires. Historiquement les compagnies nationales disposent dans les grands aéroports de la majorité des créneaux horaires, or l’enjeu est la conquête des grands marchés et par conséquent l’accès aux grandes plateformes.
On peut leur faire confiance pour retarder, par tous les moyens, y compris ceux qui sont à la limite de la légalité, l’arrivée de concurrents potentiellement si dangereux.
Mais la machine est en marche et bon gré, mal gré, les compagnies « low cost » disposeront des accès suffisants pour faire vraiment mal aux transporteurs historiques.
Tant qu’EasyJet, par exemple, ne pourra mettre sur le marché que moins de 3 vols quotidiens entre Orly et Milan Rome, Madrid, Francfort ou Zurich, le mal sera moindre.
Mais viendra le moment ou la compagnie orange disposera de suffisamment de créneaux horaires pour mettre une dizaine de vols sur chacune des grandes dessertes européennes.
Il suffirait d’ailleurs de gérer Orly comme Charles de Gaulle, à partir de quotas de bruit, pour que l’affaire devienne possible rapidement.
D’abord les créneaux horaires. Historiquement les compagnies nationales disposent dans les grands aéroports de la majorité des créneaux horaires, or l’enjeu est la conquête des grands marchés et par conséquent l’accès aux grandes plateformes.
On peut leur faire confiance pour retarder, par tous les moyens, y compris ceux qui sont à la limite de la légalité, l’arrivée de concurrents potentiellement si dangereux.
Mais la machine est en marche et bon gré, mal gré, les compagnies « low cost » disposeront des accès suffisants pour faire vraiment mal aux transporteurs historiques.
Tant qu’EasyJet, par exemple, ne pourra mettre sur le marché que moins de 3 vols quotidiens entre Orly et Milan Rome, Madrid, Francfort ou Zurich, le mal sera moindre.
Mais viendra le moment ou la compagnie orange disposera de suffisamment de créneaux horaires pour mettre une dizaine de vols sur chacune des grandes dessertes européennes.
Il suffirait d’ailleurs de gérer Orly comme Charles de Gaulle, à partir de quotas de bruit, pour que l’affaire devienne possible rapidement.