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Au sommaire de la revue de presse cette semaine :
Après Lufthansa, Air France-KLM s’intéresse à la compagnie espagnole Air Europa
Espagne : Une taxe de séjour évolutive en fonction de la saison aux Baléares
Quand les transporteurs répondent aux attentes du marché indien
En Allemagne, une association fédère les femmes du tourisme
Le Saviez-vous ? A peine ouverte la destination Nord-Coréenne freine les visites
Après Lufthansa, Air France-KLM s’intéresse à la compagnie espagnole Air Europa

Air France-KLM a proposé 300 millions d'euros pour acquérir 51 % d'Air Europa @deposiphotos.com/Boarding2Now
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Globalia conserverait 29 % des parts et le groupe IAG 20 %.
Parallèlement, Lufthansa a soumis une offre de 240 millions d'euros pour 25 % des actions, visant à couvrir la moitié du prêt de 235 millions d'euros contracté par Air Europa auprès de l’Etat, à rembourser d'ici 2026.
Cette proposition allemande, accompagnée d'une aide pour négocier la livraison de dix Boeing 787 Dreamliner, renforcerait la capacité opérationnelle d'Air Europa.
Javier Hidalgo, dirigeant les négociations, pencherait en faveur de l'offre de Lufthansa, anticipant une valorisation supérieure à un milliard d'euros à moyen terme. Lufthansa a déjà amorcé une collaboration avec Air Europa via un contrat de « wet lease » (ndlr : avion avec équipage, maintenance et assurance) pour des vols entre Bruxelles et New York.
Un article à lire sur le site hosteltur.com
Espagne : Une taxe de séjour évolutive en fonction de la saison aux Baléares

Pour lutter contre le surtourisme, une taxe de séjour évolutive et une taxe sur les véhicules non-immatriculés sur l’île devraient être appliquées aux Baléares. @deposiphotos.com/ aldorado
A travers le plan de « confinement et de durabilité », les îles Baléares introduisent de nouvelles mesures pour préserver leur environnement face à l'afflux croissant de visiteurs, qui pourrait dépasser les 20 millions d’ici 2025.
Parmi les mesures clés, une taxe sur les véhicules non immatriculés aux Baléares est proposée. Elle concernera les voitures particulières et les locations, avec des frais variants de 30 à 85 € selon les émissions du véhicule et la durée du séjour. Les sociétés de location locales en seraient exemptées. L'objectif est de limiter la circulation et de protéger l'environnement, bien que l'approbation du parlement régional soit encore requise.
Par ailleurs, l'écotaxe sur les nuitées sera ajustée. En haute saison (juin-août), elle variera de 1 à 6 € par nuit et par personne, tandis qu'elle sera supprimée en janvier et février pour encourager le tourisme hors saison. Les passagers des croisières devront payer 6 € par nuit. Ces mesures visent à répartir les flux touristiques sur l'année.
Enfin, les autorités entendent lutter contre les locations de vacances illégales en renforçant les sanctions.
Alors que le tourisme génère plus de 20 milliards d'euros par an pour l'économie locale, Les Baléares se heurtent au difficile équilibre entre les bénéfices économiques et la protection de l’environnement.
Un article à lire sur euroweeklynews.com
Parmi les mesures clés, une taxe sur les véhicules non immatriculés aux Baléares est proposée. Elle concernera les voitures particulières et les locations, avec des frais variants de 30 à 85 € selon les émissions du véhicule et la durée du séjour. Les sociétés de location locales en seraient exemptées. L'objectif est de limiter la circulation et de protéger l'environnement, bien que l'approbation du parlement régional soit encore requise.
Par ailleurs, l'écotaxe sur les nuitées sera ajustée. En haute saison (juin-août), elle variera de 1 à 6 € par nuit et par personne, tandis qu'elle sera supprimée en janvier et février pour encourager le tourisme hors saison. Les passagers des croisières devront payer 6 € par nuit. Ces mesures visent à répartir les flux touristiques sur l'année.
Enfin, les autorités entendent lutter contre les locations de vacances illégales en renforçant les sanctions.
Alors que le tourisme génère plus de 20 milliards d'euros par an pour l'économie locale, Les Baléares se heurtent au difficile équilibre entre les bénéfices économiques et la protection de l’environnement.
Un article à lire sur euroweeklynews.com
Quand les transporteurs répondent aux attentes du marché indien
La compagnie aérienne low-cost Scoot, filiale de Singapore Airlines, mise sur l'intérêt croissant des voyageurs indiens pour le tourisme axé sur le sport et les événements. Selon Brian Torrey, directeur général pour l'Inde et l'Asie occidentale, les Indiens recherchent des expériences uniques, telles que des concerts ou des activités sportives. Scoot entend tirer parti de cette tendance en déployant ses nouveaux avions Embraer E190-E2 vers des destinations secondaires, répondant ainsi à la demande croissante d'itinéraires directs et pratiques.
Scoot dessert actuellement six destinations en Inde et, en collaboration avec Singapore Airlines, couvre 13 villes. La compagnie se distingue des transporteurs low-cost indiens en offrant des avantages comme des franchises bagages plus généreuses et des correspondances facilitées via l'aéroport de Changi, considéré comme une destination en soi.
Parallèlement, Air India Express, autre acteur majeur, a doublé sa flotte, passant de 54 à 100 appareils depuis sa privatisation en 2022. Elle étend son réseau en se concentrant sur les villes secondaires, notamment vers le Moyen-Orient et l'Asie du Sud-Est.
En matière d'infrastructures, l'aéroport de Navi Mumbai prévoit la construction d'un terminal VVIP, destiné aux personnalités et figures politiques, dans le cadre de son expansion prévue jusqu'en 2030.
Enfin, des initiatives de mobilité innovantes émergent en Inde. YoloBus a lancé le premier service interurbain de bus exclusivement féminin sur l'axe Gurugram-Chandigarh, répondant à une demande croissante de sécurité pour les voyageuses. De son côté, Heritage Aviation propose un nouveau service d'hélicoptères dans l'Uttarakhand, réduisant considérablement les temps de trajet entre les principales villes de la région.
Un article de skift.com
Scoot dessert actuellement six destinations en Inde et, en collaboration avec Singapore Airlines, couvre 13 villes. La compagnie se distingue des transporteurs low-cost indiens en offrant des avantages comme des franchises bagages plus généreuses et des correspondances facilitées via l'aéroport de Changi, considéré comme une destination en soi.
Parallèlement, Air India Express, autre acteur majeur, a doublé sa flotte, passant de 54 à 100 appareils depuis sa privatisation en 2022. Elle étend son réseau en se concentrant sur les villes secondaires, notamment vers le Moyen-Orient et l'Asie du Sud-Est.
En matière d'infrastructures, l'aéroport de Navi Mumbai prévoit la construction d'un terminal VVIP, destiné aux personnalités et figures politiques, dans le cadre de son expansion prévue jusqu'en 2030.
Enfin, des initiatives de mobilité innovantes émergent en Inde. YoloBus a lancé le premier service interurbain de bus exclusivement féminin sur l'axe Gurugram-Chandigarh, répondant à une demande croissante de sécurité pour les voyageuses. De son côté, Heritage Aviation propose un nouveau service d'hélicoptères dans l'Uttarakhand, réduisant considérablement les temps de trajet entre les principales villes de la région.
Un article de skift.com
En Allemagne, une association fédère les femmes du tourisme

En Allemagne, les femmes du tourisme se regroupent au sein du Club of Women Makers#Tourism. @depositphotos/serezniy
Outre-Rhin, des professionnelles du tourisme ont décidé de créer un réseau dédié aux femmes travaillant dans la vente de voyages. Comme en France, elles sont bien représentées derrière les comptoirs des agences de voyages, mais sont peu nombreuses à la tête des entreprises du secteur.
Le Club of Women Makers#Tourism offre aux participantes l'opportunité de « se connecter, échanger, apprendre les unes des autres et s’encourager mutuellement ».
Cette initiative est portée par Anna Schwingenschlögl, responsable de la franchise chez Reiseland, et Christiane Blaeser, directrice de Connected. Elles organiseront le 25 mars prochain, à 11 heures, une visioconférence sur le thème de l’entrepreneuriat intitulée : « Oser être plus entreprenantes ».
En France, l'association Les Femmes du Tourisme existe depuis 2005. Elle rassemble aujourd'hui 150 membres, toutes occupant des postes à responsabilité dans les divers métiers du secteur.
Une future association européenne pourrait-elle bientôt voir le jour ?
Un article de fvw.de
Lire aussi : "Femmes du Tourisme" lance un nouvel observatoire sur l’Égalité Femme - Homme
Le Club of Women Makers#Tourism offre aux participantes l'opportunité de « se connecter, échanger, apprendre les unes des autres et s’encourager mutuellement ».
Cette initiative est portée par Anna Schwingenschlögl, responsable de la franchise chez Reiseland, et Christiane Blaeser, directrice de Connected. Elles organiseront le 25 mars prochain, à 11 heures, une visioconférence sur le thème de l’entrepreneuriat intitulée : « Oser être plus entreprenantes ».
En France, l'association Les Femmes du Tourisme existe depuis 2005. Elle rassemble aujourd'hui 150 membres, toutes occupant des postes à responsabilité dans les divers métiers du secteur.
Une future association européenne pourrait-elle bientôt voir le jour ?
Un article de fvw.de
Lire aussi : "Femmes du Tourisme" lance un nouvel observatoire sur l’Égalité Femme - Homme
Le Saviez-vous ? A peine ouverte la destination Nord-Coréenne freine les visites

A peine ouverte, la Corée du Nord freine les visites des touristes occidentaux. @depositphotos.com/robsonphoto
Qui veut profiter du tourisme en Corée du Nord ? Après avoir interdit l’accès à son territoire pendant près de cinq ans en raison du Covid-19, la Corée du Nord a rouvert ses frontières aux touristes étrangers cette année.
Seulement, moins d'un mois après l'ouverture au tourisme de la ville de Rason situé au nord du pays, à la frontière avec la Chine et la Russie, les autorités nord-coréennes ont subitement décidé d’annuler jusqu’à nouvel ordre les visites des touristes occidentaux.
Un revirement de situation brutal alors que beaucoup espéraient une réouverture progressive du pays au tourisme. Peut-être la réponse aux commentaires peu élogieux des premiers visiteurs sur l’insalubrité et la détérioration de la ville…
Pour rappel, les déplacements en Corée du Nord sont formellement déconseillés par le Quai d'Orsay.
Un article de rfi.fr
Seulement, moins d'un mois après l'ouverture au tourisme de la ville de Rason situé au nord du pays, à la frontière avec la Chine et la Russie, les autorités nord-coréennes ont subitement décidé d’annuler jusqu’à nouvel ordre les visites des touristes occidentaux.
Un revirement de situation brutal alors que beaucoup espéraient une réouverture progressive du pays au tourisme. Peut-être la réponse aux commentaires peu élogieux des premiers visiteurs sur l’insalubrité et la détérioration de la ville…
Pour rappel, les déplacements en Corée du Nord sont formellement déconseillés par le Quai d'Orsay.
Un article de rfi.fr