Des parades pour éviter le trop plein
Cette année encore, de nouveaux établissements devraient sortir de terre. Alors les professionnels recherchent des parades pour éviter le trop plein. C'est par exemple le cas de l'Anahita Resort dont la formule repose sur un concept original qui fait penser à celui de Pierre & Vacances en France.
Tous ces éléments tirent globalement vers le bas tarifs et revenus. L'arrivée de Marmara n'a pas apaisé les esprits. Le TO propose sur son site un séjour d'une semaine au Club Marmara Mauritius 4**** en all inclusive à... 899 euros !
Pour une destination qui revendique volontiers une image de luxe et d'"expérience unique", comme rappelait dernièrement dans une interview le nouveau ministre du tourisme (LIRE), voilà qui fait désordre.
Alors, l'ensemble de l'hôtellerie mauricienne courbe le dos en attendant que l'orage passe. Mais d'ores et déjà, les pouvoirs publics louchent vers de nouveaux horizons et rêvent de marchés exotiques.
Si la clientèle européenne reste l'"épine dorsale" de l'industrie touristique, le formidable essor de la Chine et de l'Inde, pays dont la culture n'est pas étrange, loin s'en faut, à l'Ile Maurice, suscite des vocations et des projets.
L'Ile a déjà reçu des propositions très concrètes de la part de voyagistes chinois pour des établissements de 2 ou 3 000 chambres (!) spécifiques et adaptés à la clientèle asiatique.
"Nous ne pouvons envisager un tel tourisme de masse, compte tenu de l'image de Maurice...", réfute Karl Mootoosamy.
Mais force est de constater que l'Ile est de plus en plus partagée entre la nécessité de continuer à faire vivre ses hôteliers et celle du paradis réservé (pour combien de temps encore ?) à quelques happy fews...
Tous ces éléments tirent globalement vers le bas tarifs et revenus. L'arrivée de Marmara n'a pas apaisé les esprits. Le TO propose sur son site un séjour d'une semaine au Club Marmara Mauritius 4**** en all inclusive à... 899 euros !
Pour une destination qui revendique volontiers une image de luxe et d'"expérience unique", comme rappelait dernièrement dans une interview le nouveau ministre du tourisme (LIRE), voilà qui fait désordre.
Alors, l'ensemble de l'hôtellerie mauricienne courbe le dos en attendant que l'orage passe. Mais d'ores et déjà, les pouvoirs publics louchent vers de nouveaux horizons et rêvent de marchés exotiques.
Si la clientèle européenne reste l'"épine dorsale" de l'industrie touristique, le formidable essor de la Chine et de l'Inde, pays dont la culture n'est pas étrange, loin s'en faut, à l'Ile Maurice, suscite des vocations et des projets.
L'Ile a déjà reçu des propositions très concrètes de la part de voyagistes chinois pour des établissements de 2 ou 3 000 chambres (!) spécifiques et adaptés à la clientèle asiatique.
"Nous ne pouvons envisager un tel tourisme de masse, compte tenu de l'image de Maurice...", réfute Karl Mootoosamy.
Mais force est de constater que l'Ile est de plus en plus partagée entre la nécessité de continuer à faire vivre ses hôteliers et celle du paradis réservé (pour combien de temps encore ?) à quelques happy fews...