Les grands resorts n'ont plus la cote...
La solution ? Pratiquer des tarifs moins chers, bien sûr et allonger la saison. Le nouveau ministre du tourisme, Nando Bodha (LIRE) y travaille. Pour autant, les coûts de l'aérien qui, lui aussi souffre (LIRE), ne permettent pas d'appuyer cette nouvelle stratégie marketing.
"Avec un billet à 1 200 euros au départ de la France, nous avons beau consentir des réductions sur la chambre, cela ne fera pas venir les touristes", déplore un autre hôtelier.
Autre effet dévastateur : la clientèle, en particulier française, ne prise plus les resorts gigantesques où il faut marcher 10 minutes pour aller de la chambre au restaurant.
Elle lui préfère les petits boutique hôtel, plus intimes et conviviaux. Ou bien ceux dont la qualité du service et l'originalité des prestations les rend incontournables.
Dans cette catégorie, les établissements même positionnés sur le haut de gamme comme "20 degrés Sud" à Grand Baie (Nord ouest), tirent plutôt bien leur épingle du jeu.
"Nous n'avons pas trop souffert de la crise, reconnaît Alexandre Avakumovic, directeur commercial et marketing, dont l'hôtel et ses nouvelles suites sont particulièrement bien adaptés aux goûts de la clientèle hexagonale.
"Avec un billet à 1 200 euros au départ de la France, nous avons beau consentir des réductions sur la chambre, cela ne fera pas venir les touristes", déplore un autre hôtelier.
Autre effet dévastateur : la clientèle, en particulier française, ne prise plus les resorts gigantesques où il faut marcher 10 minutes pour aller de la chambre au restaurant.
Elle lui préfère les petits boutique hôtel, plus intimes et conviviaux. Ou bien ceux dont la qualité du service et l'originalité des prestations les rend incontournables.
Dans cette catégorie, les établissements même positionnés sur le haut de gamme comme "20 degrés Sud" à Grand Baie (Nord ouest), tirent plutôt bien leur épingle du jeu.
"Nous n'avons pas trop souffert de la crise, reconnaît Alexandre Avakumovic, directeur commercial et marketing, dont l'hôtel et ses nouvelles suites sont particulièrement bien adaptés aux goûts de la clientèle hexagonale.
Autre effet dévastateur : la clientèle, en particulier française, ne prise plus les resorts gigantesques où il faut marcher 10 minutes pour aller de la chambre au restaurant...