R. Nabet : "Nous avons investi davantage dans la pierre en rachetant, en mai dernier, le rez-de-chaussée de l’immeuble dans lequel nous sommes déjà propriétaires de trois étages. "
TourMaG.com - L’association a tenu son bureau mensuel mardi matin. Y a t-il des dossiers difficiles à gérer ou des surveillances particulières sur certains adhérents à la peine ?
Raoul Nabet : Il n’y a pas de dossiers importants en cours. Nous avons juste entériné quatre ou cinq radiations, principalement pour cessation d’activité.
Ce qui est plus intéressant c’est que nous avons toujours un rythme soutenu de demandes d’adhésions. Au cours du dernier bureau, nous avons examiné une bonne trentaine de dossiers d’entreprises souhaitant nous rejoindre.
Nous en avons accepté une vingtaine dont les dossiers étaient suffisamment solides. Par ailleurs, cinq ou six autres ont été acceptés avec réserve et autant nous ont parus trop fragiles et ont été rejetés.
Pour le reste, le bureau a surtout travaillé sur le réajustement des contre-garanties.
TourMaG.com - Avez-vous constaté des défaillances sur le mois dernier ou vous attendez-vous à devoir agir pour le compte d’adhérents dans les jours qui viennent ?
Raoul Nabet : Il y a eu une poignée de défaillances de distributeurs qui sont sans conséquence pour l’APST car nous n’avons pas eu à intervenir et deux ou trois dossiers peu importants, de moins de 50 000 euros.
Et sur les possibles interventions à venir, il y a bien le cas d’un petit producteur en direct qui est en difficulté mais pour l’instant, il ne s’est pas déclaré en cessation de paiement, nous n’avons donc pas à agir. Si c’était le cas, le sinistre pourrait être plus important.
Mais nombre de nos adhérents fragilisés trouvent des solutions tout seuls plutôt que de faire appel à l’APST car notre intervention n’est pas sans conséquence sur les contre-garanties.
Raoul Nabet : Il n’y a pas de dossiers importants en cours. Nous avons juste entériné quatre ou cinq radiations, principalement pour cessation d’activité.
Ce qui est plus intéressant c’est que nous avons toujours un rythme soutenu de demandes d’adhésions. Au cours du dernier bureau, nous avons examiné une bonne trentaine de dossiers d’entreprises souhaitant nous rejoindre.
Nous en avons accepté une vingtaine dont les dossiers étaient suffisamment solides. Par ailleurs, cinq ou six autres ont été acceptés avec réserve et autant nous ont parus trop fragiles et ont été rejetés.
Pour le reste, le bureau a surtout travaillé sur le réajustement des contre-garanties.
TourMaG.com - Avez-vous constaté des défaillances sur le mois dernier ou vous attendez-vous à devoir agir pour le compte d’adhérents dans les jours qui viennent ?
Raoul Nabet : Il y a eu une poignée de défaillances de distributeurs qui sont sans conséquence pour l’APST car nous n’avons pas eu à intervenir et deux ou trois dossiers peu importants, de moins de 50 000 euros.
Et sur les possibles interventions à venir, il y a bien le cas d’un petit producteur en direct qui est en difficulté mais pour l’instant, il ne s’est pas déclaré en cessation de paiement, nous n’avons donc pas à agir. Si c’était le cas, le sinistre pourrait être plus important.
Mais nombre de nos adhérents fragilisés trouvent des solutions tout seuls plutôt que de faire appel à l’APST car notre intervention n’est pas sans conséquence sur les contre-garanties.
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TourMaG.com - En ces temps de crise financière, l’APST doit-elle se prémunir davantage contre les risques ?
Raoul Nabet : Nous avons justement investi davantage dans la pierre en rachetant, en mai dernier, le rez-de-chaussée de l’immeuble dans lequel nous sommes déjà propriétaires de trois étages.
Quand on sait que l’immobilier a pris 23% à Paris l’année dernière, cela ne peut être considéré que comme un excellent placement.
Nos trois étages achetés trois millions il y a quelques années en valent dix aujourd’hui. Quant au rez-de-chaussée, nous l’avons aménagé en salles de réunions que nous mettons gracieusement à la disposition de nos adhérents puisque, en tant qu’association, il nous est interdit de les louer.
Raoul Nabet : Nous avons justement investi davantage dans la pierre en rachetant, en mai dernier, le rez-de-chaussée de l’immeuble dans lequel nous sommes déjà propriétaires de trois étages.
Quand on sait que l’immobilier a pris 23% à Paris l’année dernière, cela ne peut être considéré que comme un excellent placement.
Nos trois étages achetés trois millions il y a quelques années en valent dix aujourd’hui. Quant au rez-de-chaussée, nous l’avons aménagé en salles de réunions que nous mettons gracieusement à la disposition de nos adhérents puisque, en tant qu’association, il nous est interdit de les louer.