Ce conseil d’administration, c’est une sacrée partie que va jouer son nouveau président, Laurent Abitbol. Ce dernier semble bien décidé à faire adopter, une bonne fois pour toutes, sa volonté d’inscrire le réseau dans une démarche moderne, résolument tournée vers l’avenir - DR
Et il est vrai que le nouveau président du réseau, Laurent Abitbol, ne perd pas de temps. On pourrait même dire qu’il y va à marche forcée.
En même temps, il y a tout intérêt, car qui pourrait dire de quoi sera fait demain et si les dirigeants d’hier, bien affectés par leur défaite de l’été, ne préparent pas la reconquête du réseau ?
Toujours est-il que le réseau tiendra donc son conseil d’administration, élargi, en Tunisie, histoire de délivrer en même temps à ce pays qui souffre cruellement de la désaffection des touristes, un message de grande solidarité.
Il est vrai que cette destination, qui a fait le bonheur durant de nombreuses années des clients, mais surtout des voyagistes et des distributeurs, ne voit toujours pas l’embellie…
Bien évidemment, les autorités tunisiennes élaborent de nouveaux plans de relance. Arguant, sans vraiment trop y croire, sur l’aspect sécurité dont ils veulent doter le pays et ses zones touristiques.
En même temps, il y a tout intérêt, car qui pourrait dire de quoi sera fait demain et si les dirigeants d’hier, bien affectés par leur défaite de l’été, ne préparent pas la reconquête du réseau ?
Toujours est-il que le réseau tiendra donc son conseil d’administration, élargi, en Tunisie, histoire de délivrer en même temps à ce pays qui souffre cruellement de la désaffection des touristes, un message de grande solidarité.
Il est vrai que cette destination, qui a fait le bonheur durant de nombreuses années des clients, mais surtout des voyagistes et des distributeurs, ne voit toujours pas l’embellie…
Bien évidemment, les autorités tunisiennes élaborent de nouveaux plans de relance. Arguant, sans vraiment trop y croire, sur l’aspect sécurité dont ils veulent doter le pays et ses zones touristiques.
Pour l’économie du pays, cette relance est impérative, quasi vitale : les chiffres sont catastrophiques, si l’on compare les recettes de 2016 par rapport à l’année précédente, qui n’était déjà pas terrible : -52%.
Notons d’ailleurs qu’en 2015, le nombre de touristes chutait de 68% par rapport à l’année 2010, juste avant cette révolution… du jasmin !
Néanmoins, les autorités du pays axent leur communication, non pas sur des campagnes de pub qui ne servent à rien, mais veulent attirer le client vers le soleil, bien sûr, mais aussi sur la sécurité renforcée des aéroports et des zones touristiques.
On notera que les hôteliers, déjà fortement pénalisés par ce marasme, ont été fortement mis à contribution et se sont dotés de moyens sécuritaires supplémentaires… au prix fort quand même !
Espérons que tout ceci ne sera pas vaine démarche, parce que le risque zéro n’existe pas et quitte à prendre un mauvais coup, mieux vaut l’attraper au soleil face à la mer plutôt que dans un aéroport insipide ou dans le métro parisien…
Néanmoins, il faut quand même souligner cette initiative du plus gros réseau de France, même si certains de ses fournisseurs délaissent encore cette année une destination qui a fait leurs choux gras en d’autres temps…
Notons d’ailleurs qu’en 2015, le nombre de touristes chutait de 68% par rapport à l’année 2010, juste avant cette révolution… du jasmin !
Néanmoins, les autorités du pays axent leur communication, non pas sur des campagnes de pub qui ne servent à rien, mais veulent attirer le client vers le soleil, bien sûr, mais aussi sur la sécurité renforcée des aéroports et des zones touristiques.
On notera que les hôteliers, déjà fortement pénalisés par ce marasme, ont été fortement mis à contribution et se sont dotés de moyens sécuritaires supplémentaires… au prix fort quand même !
Espérons que tout ceci ne sera pas vaine démarche, parce que le risque zéro n’existe pas et quitte à prendre un mauvais coup, mieux vaut l’attraper au soleil face à la mer plutôt que dans un aéroport insipide ou dans le métro parisien…
Néanmoins, il faut quand même souligner cette initiative du plus gros réseau de France, même si certains de ses fournisseurs délaissent encore cette année une destination qui a fait leurs choux gras en d’autres temps…
Autres articles
-
Manor : L. A. confidential...
-
EXCLUSIF - Fournisseurs impayés : que se passe-t-il chez Univairmer ? [ABO]
-
Marietton Développement ira à l'étranger "en septembre 2025" 🔑
-
Selectour : Laurent Abitbol réélu président du Directoire
-
Laurent Abitbol : Selectour va distribuer "le plus gros bonus de l’histoire"
Quant à ce conseil d’administration, c’est une sacrée partie que va jouer son nouveau président, Laurent Abitbol.
Ce dernier semble bien décidé à faire adopter, une bonne fois pour toutes, sa volonté d’inscrire le réseau dans une démarche moderne, résolument tournée vers l’avenir, en faisant fi des vieilles habitudes passées.
Notamment, au niveau de cette fameuse marque, dont bien entendu, la grande majorité des clients se cogne allègrement.
Et c’est vrai que le nom de Selectour est bien suffisant, que cela ne coûtera pas très cher et que si l’on oublie le nom d’Afat, c’est pas franchement une grosse perte.
D’ailleurs, il suffit de faire un rapide sondage auprès des clients : achètent-ils le voyage fabriqué par machin ou vont-ils uniquement dans une agence siglée Selectour ou Afat ?
Ils veulent simplement une bonne agence, qui leur propose de bons prix et une qualité irréprochable…
Et quoi de plus symbolique que d’instaurer le renouveau dans un pays qui va aussi renaître (touristiquement parlant) de ses cendres ?
Allez, courage et en marche…
Ce dernier semble bien décidé à faire adopter, une bonne fois pour toutes, sa volonté d’inscrire le réseau dans une démarche moderne, résolument tournée vers l’avenir, en faisant fi des vieilles habitudes passées.
Notamment, au niveau de cette fameuse marque, dont bien entendu, la grande majorité des clients se cogne allègrement.
Et c’est vrai que le nom de Selectour est bien suffisant, que cela ne coûtera pas très cher et que si l’on oublie le nom d’Afat, c’est pas franchement une grosse perte.
D’ailleurs, il suffit de faire un rapide sondage auprès des clients : achètent-ils le voyage fabriqué par machin ou vont-ils uniquement dans une agence siglée Selectour ou Afat ?
Ils veulent simplement une bonne agence, qui leur propose de bons prix et une qualité irréprochable…
Et quoi de plus symbolique que d’instaurer le renouveau dans un pays qui va aussi renaître (touristiquement parlant) de ses cendres ?
Allez, courage et en marche…