Si j'en crois notre envoyé très spécial, lequel semble avoir recueilli la précieuse pensée de Dominique Beljanski, la nouvelle présidente du réseau, va falloir repenser "la totalité des critères d'éligibilité des référencements" - Photo CE
Damned. J'ai encore raté quelque chose. Pourtant, j'essaie toujours d'assister aux Forces de Ventes de Sélectourie.
C'est souvent passionnant, on y rencontre les forces vives du réseau… et en plus, ça permet d'échapper à la grisaille et la neige de ce bel hiver en France.
Las, j'avais donné la préférence au Maréchal Sissi… qui m'a posé un lapin.
Or donc, qu'apprends-je, grâce à la plume de notre honorable correspondant sur place ? D'abord, qu'il va falloir "penser différent". Et ça veut dire quoi, penser différent ?
Si j'en crois notre envoyé très spécial, lequel semble avoir recueilli la précieuse pensée de Dominique Beljanski, la nouvelle présidente du réseau, va falloir repenser "la totalité des critères d'éligibilité des référencements".
Tiens, tiens. Faut dire que les contrats actuels arrivent à échéance à la fin de l'année 2015 et que les prochaines négos vont s'ouvrir. Va donc falloir appâter un peu le chaland…
C'est souvent passionnant, on y rencontre les forces vives du réseau… et en plus, ça permet d'échapper à la grisaille et la neige de ce bel hiver en France.
Las, j'avais donné la préférence au Maréchal Sissi… qui m'a posé un lapin.
Or donc, qu'apprends-je, grâce à la plume de notre honorable correspondant sur place ? D'abord, qu'il va falloir "penser différent". Et ça veut dire quoi, penser différent ?
Si j'en crois notre envoyé très spécial, lequel semble avoir recueilli la précieuse pensée de Dominique Beljanski, la nouvelle présidente du réseau, va falloir repenser "la totalité des critères d'éligibilité des référencements".
Tiens, tiens. Faut dire que les contrats actuels arrivent à échéance à la fin de l'année 2015 et que les prochaines négos vont s'ouvrir. Va donc falloir appâter un peu le chaland…
C'est marrant, parce que du côté des fournisseurs que j'ai pu rencontrer et interroger, on semble observer tout ça avec le plus grand calme.
Y'en a même qui n'hésitent pas, d'ailleurs à clamer haut et fort leur profond désaccord d'être souvent traités comme des "vaches à lait" des réseaux, participants activement à la santé financière de leurs sièges et se demandant parfois s'ils y trouvent vraiment leur compte.
Y'en a même, tels le Président de Transat qui ne se laissent pas trop marcher sur les pieds. A tel point que, lorsqu'ils ne sont pas satisfaits, ils envoient balader. Et n'en souffrent pas beaucoup plus.
Alors, c'est quoi, "repenser les critères d'éligibilité" ?
Naïvement, je pensais que, pour être référencé, il fallait simplement donner la plus grosse commission (interdit de rigoler). Logique, non ?
Ben, il semble que ce ne soit pas tout à fait ça. Car, dans certains réseaux, tels Selectour ou Havas, par exemple, existent plusieurs niveaux de référencement. Niveaux qui impliquent un tarif plus élevé, mais des "recommandations" de la part des vendeurs plus appuyées, sans doute.
Chez Selectour, y'a le Top 14, le Top 15… et puis le reste, le Top standard. Chez Havas, c'est plus classieux, avec le Gold, Platine, argent et je sais plus trop quoi.
Bon, c'est bien, mais j'ai toujours pas compris comment, à produits et tarifs égaux, les vendeurs pouvaient influencer ou diriger la vente de l'un plutôt que l'autre… Mais bon !
Y'en a même qui n'hésitent pas, d'ailleurs à clamer haut et fort leur profond désaccord d'être souvent traités comme des "vaches à lait" des réseaux, participants activement à la santé financière de leurs sièges et se demandant parfois s'ils y trouvent vraiment leur compte.
Y'en a même, tels le Président de Transat qui ne se laissent pas trop marcher sur les pieds. A tel point que, lorsqu'ils ne sont pas satisfaits, ils envoient balader. Et n'en souffrent pas beaucoup plus.
Alors, c'est quoi, "repenser les critères d'éligibilité" ?
Naïvement, je pensais que, pour être référencé, il fallait simplement donner la plus grosse commission (interdit de rigoler). Logique, non ?
Ben, il semble que ce ne soit pas tout à fait ça. Car, dans certains réseaux, tels Selectour ou Havas, par exemple, existent plusieurs niveaux de référencement. Niveaux qui impliquent un tarif plus élevé, mais des "recommandations" de la part des vendeurs plus appuyées, sans doute.
Chez Selectour, y'a le Top 14, le Top 15… et puis le reste, le Top standard. Chez Havas, c'est plus classieux, avec le Gold, Platine, argent et je sais plus trop quoi.
Bon, c'est bien, mais j'ai toujours pas compris comment, à produits et tarifs égaux, les vendeurs pouvaient influencer ou diriger la vente de l'un plutôt que l'autre… Mais bon !
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Sans oublier les très bons fournisseurs, ceux qui ont les produits "solides" qui se foutent du référencement et qui vendent en "braconnage" auprès de certaines agences réseauïfiées. "Attention, c'est pas beau" a même prévenu la présidente de Selectourie.
N'empêche que ça marche, parce que les clients ont encore confiance en certaines marques. Et là, pilotage des ventes ou pas, c'est encore le client le Roi.
Et que lui, le client, il faut aussi que les réseaux le "repensent". Parce que lui, ça fait longtemps qu'il a évolué. Les TO l'ont compris aussi, depuis fort longtemps et ils commencé à s'organiser… sans pour autant pouvoir encore se passer de la distribution, certes. Mais le rapport de force est en train d'évoluer…
Et, tout en repensant, il va bien falloir, comme le prépare le petit réseau d'indépendants qu'est le Cediv, songer à véritablement "Vivre ensemble".
Pour le meilleur bien-être financier de chacun !
A moins que "repenser", ce soit aussi favoriser de plus en plus l'arrivée de ces réceptifs concurrents de TO ?
Le bras de fer en quelque sorte...
N'empêche que ça marche, parce que les clients ont encore confiance en certaines marques. Et là, pilotage des ventes ou pas, c'est encore le client le Roi.
Et que lui, le client, il faut aussi que les réseaux le "repensent". Parce que lui, ça fait longtemps qu'il a évolué. Les TO l'ont compris aussi, depuis fort longtemps et ils commencé à s'organiser… sans pour autant pouvoir encore se passer de la distribution, certes. Mais le rapport de force est en train d'évoluer…
Et, tout en repensant, il va bien falloir, comme le prépare le petit réseau d'indépendants qu'est le Cediv, songer à véritablement "Vivre ensemble".
Pour le meilleur bien-être financier de chacun !
A moins que "repenser", ce soit aussi favoriser de plus en plus l'arrivée de ces réceptifs concurrents de TO ?
Le bras de fer en quelque sorte...