Opération séduction en cette fin d’après-midi au Terminal 3 de CDG pour l’équipe dirigeante de Norse Atlantic Airways : Bjørn Tore Larsen le PDG et Philip Allport, Directeur de la communication, avant ce premier vol vers New York.
Non loin de la porte d’embarquement, une cérémonie était organisée réunissant la presse, les partenaires français et les représentants d’Aéroport de Paris.
Champagne, petits fours et avant de couper le ruban bleu ciel aux couleurs de la compagnie norvégienne Bjørn Tore Larsena expliqué : « Quand nous nous sommes lancés sur le projet d’une compagnie reliant l’Europe aux États-Unis, desservir Paris était un de nos principaux objectifs. Non seulement voler au départ de Paris, mais aussi en faire une de nos maisons ».
Lire aussi : Norse Atlantic Airways inaugure ses vols Paris-CDG - New York
Non loin de la porte d’embarquement, une cérémonie était organisée réunissant la presse, les partenaires français et les représentants d’Aéroport de Paris.
Champagne, petits fours et avant de couper le ruban bleu ciel aux couleurs de la compagnie norvégienne Bjørn Tore Larsena expliqué : « Quand nous nous sommes lancés sur le projet d’une compagnie reliant l’Europe aux États-Unis, desservir Paris était un de nos principaux objectifs. Non seulement voler au départ de Paris, mais aussi en faire une de nos maisons ».
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Emplois français : promesse tenue
Lorsque nous l’avions rencontré au mois de novembre dernier, le PDG de la Compagnie avait effectivement confirmé le projet d’une « base parisienne avec des emplois localisés en France». Pari tenu avec un équipage, pilotes, hôtesses et steward français.
Après une ode aux passagers du vol « sans lesquels nous ne sommes rien et qui sont la raison de notre existence », il était temps d’embarquer pour NYC et tester l’expérience Norse.
Lire aussi : Norse Atlantic Airways : encore une compagnie sur l'axe Paris - New York
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Départ du T3 : austère, mais pratique
Norse Atlantic Airways décolle au départ du T.3. Elle est assistée efficacement pour ses opérations au sol par le groupe bGEH Groupe Europe Handling qui gère entre autres l’enregistrement.
Le site de la compagnie souffre encore de quelques petits bugs ne permettant pas d’obtenir en avance sa carte d’embarquement. Il permet cependant de s’enregistrer et la carte est délivrée sans problème lorsqu’on se présente aux comptoirs.
Le Terminal 3 de l’aéroport de Roissy CDG est un bâtiment assez austère. Le grand hall des départs offre dans sa zone publique le minimum. Des toilettes, un point de vente pour des journaux et petits accessoires utiles au voyage et un point de vente pour de la petite restauration.
Les grandes enseignes prestigieuses, celles des macarons, des foulards de soie et des montres pour cinquantenaires triomphants ne sont pas venues jusqu’au T3.
Par contre, et le vrai luxe est peut-être là , le passage des filtres de police et portiques de sécurité se passe assez rapidement surtout si vous disposez d’un passeport français grâce à « PARAFE » pour « Passage rapide des frontières extérieures » un dispositif qui ici porte bien son nom.
Dans ce terminal très rarement bondé, on passe les différents filtres assez rapidement, moins de 15 minutes ce jour-là que l’on voyage en classe économique ou en classe Premium. Il faut certes ensuite se rendre à l’avion par bus, mais globalement le circuit passager au T3 est un véritable plus au départ comme à l’arrivée.
Le site de la compagnie souffre encore de quelques petits bugs ne permettant pas d’obtenir en avance sa carte d’embarquement. Il permet cependant de s’enregistrer et la carte est délivrée sans problème lorsqu’on se présente aux comptoirs.
Le Terminal 3 de l’aéroport de Roissy CDG est un bâtiment assez austère. Le grand hall des départs offre dans sa zone publique le minimum. Des toilettes, un point de vente pour des journaux et petits accessoires utiles au voyage et un point de vente pour de la petite restauration.
Les grandes enseignes prestigieuses, celles des macarons, des foulards de soie et des montres pour cinquantenaires triomphants ne sont pas venues jusqu’au T3.
Par contre, et le vrai luxe est peut-être là , le passage des filtres de police et portiques de sécurité se passe assez rapidement surtout si vous disposez d’un passeport français grâce à « PARAFE » pour « Passage rapide des frontières extérieures » un dispositif qui ici porte bien son nom.
Dans ce terminal très rarement bondé, on passe les différents filtres assez rapidement, moins de 15 minutes ce jour-là que l’on voyage en classe économique ou en classe Premium. Il faut certes ensuite se rendre à l’avion par bus, mais globalement le circuit passager au T3 est un véritable plus au départ comme à l’arrivée.
Norse Atlantic Airways : voyage en classe Premium
Le Dreamliner Boeing 787 de Norse est équipé en deux classes de voyage.
- une classe "premium» avec 50 sièges
- une classe économique avec 287 sièges.
Nous voyageons en classe Premium à l’avant de l’appareil pour un départ prévu à 19h45. L’équipage est français et l’accueil est chaleureux.
Passage des PNC avec un choix de rafraichissements sans alcool, jus de fruits ou eau. Toutes les boissons et les repas sont compris dans le prix du billet d'avion en classe Premium.
La démonstration de sécurité n’est pas comme c’est désormais souvent le cas maintenant un film avec décors et acteurs. C’est la bonne vieille méthode, la plus efficace peut être pour informer les passagers sur la conduite à tenir en cas d’urgence.
Les sur classements sont possibles une fois Ă bord moyennant 200 dollars. Pas de petites trousses de confort, mais des petits Ă©couteurs et une couverture sont offerts.
Les divertissements à bord se composent de films ou de série tv. Malheureusement pas de films en français et pour les films en anglais, pas de sous-titres en français. Pas de carte pour suivre son voyage également, mais simplement les heures locales à Paris et New York et le temps de vol qui s’écoule.
Des points à améliorer. « Nous allons regarder ce point » m’a assuré un des responsables de Norse présent à bord.
- une classe "premium» avec 50 sièges
- une classe économique avec 287 sièges.
Nous voyageons en classe Premium à l’avant de l’appareil pour un départ prévu à 19h45. L’équipage est français et l’accueil est chaleureux.
Passage des PNC avec un choix de rafraichissements sans alcool, jus de fruits ou eau. Toutes les boissons et les repas sont compris dans le prix du billet d'avion en classe Premium.
La démonstration de sécurité n’est pas comme c’est désormais souvent le cas maintenant un film avec décors et acteurs. C’est la bonne vieille méthode, la plus efficace peut être pour informer les passagers sur la conduite à tenir en cas d’urgence.
Les sur classements sont possibles une fois Ă bord moyennant 200 dollars. Pas de petites trousses de confort, mais des petits Ă©couteurs et une couverture sont offerts.
Les divertissements à bord se composent de films ou de série tv. Malheureusement pas de films en français et pour les films en anglais, pas de sous-titres en français. Pas de carte pour suivre son voyage également, mais simplement les heures locales à Paris et New York et le temps de vol qui s’écoule.
Des points à améliorer. « Nous allons regarder ce point » m’a assuré un des responsables de Norse présent à bord.
Le PDG offre des cadeaux
Un apéritif est offert lorsque l’avion atteint son altitude de croisière.
Exceptionnellement, le champagne était offert sur ce vol inaugural. Sur un vol classique, il est remplacé par un honnête Prosecco avec également un choix de vins, de bières et autres boissons sans alcool.
Également sur ce vol inaugural et pour tous les passagers, le petit sac cadeau-souvenir, distribué par les équipes Norse et le PDG « himself »
Exceptionnellement, le champagne était offert sur ce vol inaugural. Sur un vol classique, il est remplacé par un honnête Prosecco avec également un choix de vins, de bières et autres boissons sans alcool.
Également sur ce vol inaugural et pour tous les passagers, le petit sac cadeau-souvenir, distribué par les équipes Norse et le PDG « himself »
Quel services Ă bord ?
Le repas principal, servi dans une petite boite en carton, est simple, mais correct. Plat chaud au choix entre viande ou poissons, petits pains à volonté et dessert.
Le siège a une très bonne inclinaison. Meilleure que sur d’autres compagnies proposant le même produit.
Avant la descente vers New York, un service de Duty Free « à la place » vous est proposé ainsi qu’une petite collation : un snack chaud et une mignonne petite boite avec deux macarons.
La classe économique offre des sièges avec un espacement comparable aux autres compagnies « loisirs » et des prestations payantes. Comptez entre 18 et 25 dollars pour un repas, accompagné de frites et une boisson alcoolisée.
Il est 22h00 en heure locale quand le Boeing 787 se pose à New York. Ponctualité respectée et vol agréable à bord de ce nouvel opérateur au départ de Paris CDG.
Le vol aller-retour entre Paris et New York est affiché à partir de 488€ TTC
Un vol aller-retour en classe Premium au départ de Paris en avril est affiché à 1271€ TTC
Tarifs « à partir de » TTC en Classe économique l’aller-retour soumis à conditions, sous réserve de disponibilité
Le siège a une très bonne inclinaison. Meilleure que sur d’autres compagnies proposant le même produit.
Avant la descente vers New York, un service de Duty Free « à la place » vous est proposé ainsi qu’une petite collation : un snack chaud et une mignonne petite boite avec deux macarons.
La classe économique offre des sièges avec un espacement comparable aux autres compagnies « loisirs » et des prestations payantes. Comptez entre 18 et 25 dollars pour un repas, accompagné de frites et une boisson alcoolisée.
Il est 22h00 en heure locale quand le Boeing 787 se pose à New York. Ponctualité respectée et vol agréable à bord de ce nouvel opérateur au départ de Paris CDG.
Le vol aller-retour entre Paris et New York est affiché à partir de 488€ TTC
Un vol aller-retour en classe Premium au départ de Paris en avril est affiché à 1271€ TTC
Tarifs « à partir de » TTC en Classe économique l’aller-retour soumis à conditions, sous réserve de disponibilité
… Et pour un séjour à New York
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A New York nous résidons dans un tout nouvel hôtel : le Moxy. situé dans le Lower East Side.
Des chambres plutôt bien conçues pour gagner de la place et des prix plutôt sages (moins de 200 dollars nous concernant). Dans cette ville devenue la plus chère du monde avec Singapour, c’est raisonnable. Bien souvent, les chambres à ce prix-là à New York vous offrent une vue sur …un mur. Celle occupée pour passer cette nuit dans la grosse pomme offre l’Empire State Building comme perspective.
Décor élégant et cool, comme le quartier, carrefour de divertissements et de culture. Un restaurant japonais moderne le Sake No Hana, un piano lounge, un bar sur le toit et Loosie's, un club souterrain.
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Décor élégant et cool, comme le quartier, carrefour de divertissements et de culture. Un restaurant japonais moderne le Sake No Hana, un piano lounge, un bar sur le toit et Loosie's, un club souterrain.
Publié par Christophe Hardin
Journaliste AirMaG - TourMaG.com
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