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Le service minimum à la Sncf et dans les transport publics permet d'éviter des "galères" aux usagers. Mais il s'agit là d'entreprises publiques ou d’État, dont la nature d'intérêt général justifie ce type de mesure.
Mais qu'en est-il d'une entreprise privatisée, telle Air France, même si les pouvoirs publics en restent le principal actionnaire ?
La question (ardue) est revenue sur le tapis à l'occasion de la dernière grève des PNC d'Air France lors des fêtes de la Toussaint.
Le débat est intéressant, limite démagogique lorsque certains membres du Gouvernement en rappellent opportunément le besoin... à quelques mois de l'élection présidentielle.
Mais sur le fond, force est de constater que si Air France n'est plus une compagnie nationalisée, elle reste toujours leader territoriale en matière de transport.
Alors faut-il privilégier le fond à la forme, et estimer que le service minimum n'est applicable qu'aux entreprises publiques ?
Pour les professionnels qui répondaient à notre sondage de la semaine écoulée, la cause est entendue : 63.29% sont "pour" un service minimum dans les compagnies aériennes contre 35.27% qui n'en veulent pas.
L'échantillon (207 Votants) ne laisse pas beaucoup de place à l'indécision avec seulement 1.44% de NSP.
Nous verrons dans les prochains mois si ce thème s'invitera ou non aux débats à la veille des élections présidentielles.
Mais qu'en est-il d'une entreprise privatisée, telle Air France, même si les pouvoirs publics en restent le principal actionnaire ?
La question (ardue) est revenue sur le tapis à l'occasion de la dernière grève des PNC d'Air France lors des fêtes de la Toussaint.
Le débat est intéressant, limite démagogique lorsque certains membres du Gouvernement en rappellent opportunément le besoin... à quelques mois de l'élection présidentielle.
Mais sur le fond, force est de constater que si Air France n'est plus une compagnie nationalisée, elle reste toujours leader territoriale en matière de transport.
Alors faut-il privilégier le fond à la forme, et estimer que le service minimum n'est applicable qu'aux entreprises publiques ?
Pour les professionnels qui répondaient à notre sondage de la semaine écoulée, la cause est entendue : 63.29% sont "pour" un service minimum dans les compagnies aériennes contre 35.27% qui n'en veulent pas.
L'échantillon (207 Votants) ne laisse pas beaucoup de place à l'indécision avec seulement 1.44% de NSP.
Nous verrons dans les prochains mois si ce thème s'invitera ou non aux débats à la veille des élections présidentielles.