Thalasso n1 - Ôvoyages va ouvrir son capital. Raouf et Samia Benslimane co-fondateurs devant l'un des appareils de la flotte dédiée à Ôvoyages .- Photo DS
Thalasso n°1 - Ô Voyages affiche ses ambitions.
L'entreprise pilotée par Samia et Raouf Benslimane compte bel et bien changer de braquet. "Notre objectif est de quasi doubler de taille, d'ici 4 à 5 ans" lance le Président de Thalasso n°1 - Ô Voyages.
En 2023, le voyagiste annonce avoir réalisé un chiffre d'affaires de 250 M€. En 2024, il compte atteindre la barre des 300 M€.
Pour passer la vitesse supérieure, l'entreprise va procéder à une ouverture minoritaire de son capital. La Banque Edmond de Rothschild a été mandatée pour accompagner le groupe dans cette opération.
"Ils travaillent à nos côtés pour trouver le bon investisseur et le bon partenaire stratégique d'ici la fin 2024" précise Raouf Benslimane.
L'entreprise pilotée par Samia et Raouf Benslimane compte bel et bien changer de braquet. "Notre objectif est de quasi doubler de taille, d'ici 4 à 5 ans" lance le Président de Thalasso n°1 - Ô Voyages.
En 2023, le voyagiste annonce avoir réalisé un chiffre d'affaires de 250 M€. En 2024, il compte atteindre la barre des 300 M€.
Pour passer la vitesse supérieure, l'entreprise va procéder à une ouverture minoritaire de son capital. La Banque Edmond de Rothschild a été mandatée pour accompagner le groupe dans cette opération.
"Ils travaillent à nos côtés pour trouver le bon investisseur et le bon partenaire stratégique d'ici la fin 2024" précise Raouf Benslimane.
Thalasso n°1 - Ô Voyages : nomination d'un management intermédiaire
Dans le même temps, le tour-opérateur fait évoluer son organigramme. Sophie Ballandras, sera nommée ce mois de juin directrice générale adjointe.
Elle a notamment travaillé aux côtés de Marc Rochet au sein d'Aérogestion, et a occupé les fonctions de directrice générale de CrystalTO.
"Nous avions besoin d'un management intermédiaire pour monter en compétences" explique Raouf Benslimane.
Parallèlement, Nadia Van Cleven (Ex- Veepee et Carrefour Voyages) accompagne l'entreprise sur la partie distribution directe quand Benoît Crespin (Ex - edreams-Odigeo) supervise la transition digitale en lien avec Sophie Ballandras.
"La technologie est un de nos gros sujets. Nous travaillons à la migration de tout notre back office. Nous souhaitons y intégrer l'IA et de nouvelles fonctionnalités. Nous voulons un outil qui puisse répondre à notre spécificité et connecter à la fois nos engagements aériens et hôteliers, et les stocks plus classiques, afin d'être prêts à digérer notre croissance, lorsque l'ouverture du capital sera réalisée."
Elle a notamment travaillé aux côtés de Marc Rochet au sein d'Aérogestion, et a occupé les fonctions de directrice générale de CrystalTO.
"Nous avions besoin d'un management intermédiaire pour monter en compétences" explique Raouf Benslimane.
Parallèlement, Nadia Van Cleven (Ex- Veepee et Carrefour Voyages) accompagne l'entreprise sur la partie distribution directe quand Benoît Crespin (Ex - edreams-Odigeo) supervise la transition digitale en lien avec Sophie Ballandras.
"La technologie est un de nos gros sujets. Nous travaillons à la migration de tout notre back office. Nous souhaitons y intégrer l'IA et de nouvelles fonctionnalités. Nous voulons un outil qui puisse répondre à notre spécificité et connecter à la fois nos engagements aériens et hôteliers, et les stocks plus classiques, afin d'être prêts à digérer notre croissance, lorsque l'ouverture du capital sera réalisée."
Croissance externe en vue
Au-delà du renforcement de la production sur ses axes stratégiques moyen-courrier (Espagne avec les Canaries et les Baléares, Grèce, Maroc, Italie, Tunisie...), le TO va continuer d'aller chercher des leviers de croissance, jugée "exponentielle" sur le long-courrier tout en continuant le déploiement des ÔClubs.
"Aujourd'hui, nous avons près de 70 ÔClubs et l'objectif est de continuer a en ouvrir 5 par an"
La croissance organique n'est pas la seule envisagée. Avec l'appui d'un futur investisseur, l'entreprise souhaite aussi se développer grâce à de la croissance externe : "Nous regardons la possibilité de racheter un tour-opérateur qui serait complémentaire et agile". poursuit Raouf Benslimane, qui n'exclut pas non plus s'ouvrir à d'autres à marchés que la France.
"Aujourd'hui, nous avons près de 70 ÔClubs et l'objectif est de continuer a en ouvrir 5 par an"
La croissance organique n'est pas la seule envisagée. Avec l'appui d'un futur investisseur, l'entreprise souhaite aussi se développer grâce à de la croissance externe : "Nous regardons la possibilité de racheter un tour-opérateur qui serait complémentaire et agile". poursuit Raouf Benslimane, qui n'exclut pas non plus s'ouvrir à d'autres à marchés que la France.