La mesure de mise en sauvegarde prise le 24 juin dernier par le Tribunal de commerce de Paris pour une durée de six mois et qui devait, théoriquement, geler les créances jusqu’à ce qu’un repreneur se fasse connaître, n’aura pas suffi à maintenir l’activité du tour-opérateur 1001 Soleils.
Hier, le tour-opérateur faisait savoir aux distributeurs que seuls les départs de juillet sur la Tunisie étaient maintenus jusqu'au 11 juillet, avec un relais assuré par Thalasso n°1, tandis que pour les autres destinations Egypte et Bahamas notamment, les distributeurs se devaient de reprotéger leurs clients auprès d‘autres producteurs.
Une situation qui menait, de fait, au dépôt de bilan. L’APS, prévenue dans le courant de l’après-midi, va donc prendre la mesure du sinistre pour assurer le relais des départs, le cas échéant.
Quant aux impayés, ils concernent avant tout les hôteliers, le TO ayant été rayé du BSP "depuis longtemps déjà".
Hier, le tour-opérateur faisait savoir aux distributeurs que seuls les départs de juillet sur la Tunisie étaient maintenus jusqu'au 11 juillet, avec un relais assuré par Thalasso n°1, tandis que pour les autres destinations Egypte et Bahamas notamment, les distributeurs se devaient de reprotéger leurs clients auprès d‘autres producteurs.
Une situation qui menait, de fait, au dépôt de bilan. L’APS, prévenue dans le courant de l’après-midi, va donc prendre la mesure du sinistre pour assurer le relais des départs, le cas échéant.
Quant aux impayés, ils concernent avant tout les hôteliers, le TO ayant été rayé du BSP "depuis longtemps déjà".
Reste à savoir si l’entreprise, délestée de ses dettes, trouvera preneur. Plusieurs noms circulaient la semaine dernière.
Lotfi Belhassine, président de Liberty TV disait examiner le dossier avec un associé potentiel. Laurent Abitbol, directeur général de Marietton Investissement qui avait « regardé l’affaire il y a longtemps » n‘a plus aucun projet dans ce sens.
L’entreprise comptait une trentaine d’employés.
Lotfi Belhassine, président de Liberty TV disait examiner le dossier avec un associé potentiel. Laurent Abitbol, directeur général de Marietton Investissement qui avait « regardé l’affaire il y a longtemps » n‘a plus aucun projet dans ce sens.
L’entreprise comptait une trentaine d’employés.