Quel visage affichera la France à la face du monde au soir du 7 juillet prochain ? /crédit Amandine26 - DepositPhoto
On ne peut tolérer les extrêmes sauf s'ils pointent les points cardinaux... comme l'Extrême Orient.
Hors de cette limite ces paramètres se métamorphosent en ferments de haine, d’exclusion, de rejet de l’autre.
On est là aux antipodes des valeurs que prône le tourisme. La tolérance, l’ouverture à autrui, la compréhension mutuelle… seuls fondements acceptables dans une société où le tourisme et les loisirs sont devenus une tendance lourde.
On ne peut bâtir l’avenir de notre pays et de notre jeunesse sur des principes et des relents xénophobes et racistes. Or c’est précisément ce qu’on nous propose : trancher entre la peste (brune) et le choléra (rouge).
D’un côté, un parti aux opinions et principes racistes et de l’autre, une faction populiste, prête à vendre son âme au diable. Tu parles d’un choix !
Le secteur du tourisme, malgré quelques tentatives sporadiques n’a pas (encore) dressé de rempart catégorique ni proposé d’initiative collective face à la tentation des extrêmes. Une sorte d'indifférence qui annihile et empêche la mobilisation massive du secteur.
J’avoue que cela me laisse perplexe…
Hors de cette limite ces paramètres se métamorphosent en ferments de haine, d’exclusion, de rejet de l’autre.
On est là aux antipodes des valeurs que prône le tourisme. La tolérance, l’ouverture à autrui, la compréhension mutuelle… seuls fondements acceptables dans une société où le tourisme et les loisirs sont devenus une tendance lourde.
On ne peut bâtir l’avenir de notre pays et de notre jeunesse sur des principes et des relents xénophobes et racistes. Or c’est précisément ce qu’on nous propose : trancher entre la peste (brune) et le choléra (rouge).
D’un côté, un parti aux opinions et principes racistes et de l’autre, une faction populiste, prête à vendre son âme au diable. Tu parles d’un choix !
Le secteur du tourisme, malgré quelques tentatives sporadiques n’a pas (encore) dressé de rempart catégorique ni proposé d’initiative collective face à la tentation des extrêmes. Une sorte d'indifférence qui annihile et empêche la mobilisation massive du secteur.
J’avoue que cela me laisse perplexe…
Covid : deux années d’embellie ne suffiront pas
Pourtant il n’est pas trop tard pour sonner le clairon de la révolte face aux promesses fallacieuses qui vont bon train mais menacent de faire dérailler notre pays.
À ma gauche (extrême) LFI promet la lune en échange de quelques voix, quitte à passer par pertes et profits l’économie française dans une logique court termiste.
Or, après la crise sanitaire beaucoup d’entreprises sont toujours en convalescence et ce ne sont pas deux années d’embellie qui les remettront d’aplomb.
À mon extrême droite, le populisme bat aussi son plein, sournoisement, avec des politiques et des principes xénophobes qui avancent masqués et se drapent dans une (fausse) dignité démocratique.
Extrême droite ou extrême gauche c’est bonnet blanc et blanc bonnet, pourrait dire avec sa gouaille habituelle feu Jacques Chirac, lui aussi aux prises avec le Front National après un coup de tête et une dissolution hasardeuse. Mais le plébiscite et la martingale gaulliste ne fonctionneront pas deux fois de suite. La recette est éculée et les sondages pessimistes.
À ma gauche (extrême) LFI promet la lune en échange de quelques voix, quitte à passer par pertes et profits l’économie française dans une logique court termiste.
Or, après la crise sanitaire beaucoup d’entreprises sont toujours en convalescence et ce ne sont pas deux années d’embellie qui les remettront d’aplomb.
À mon extrême droite, le populisme bat aussi son plein, sournoisement, avec des politiques et des principes xénophobes qui avancent masqués et se drapent dans une (fausse) dignité démocratique.
Extrême droite ou extrême gauche c’est bonnet blanc et blanc bonnet, pourrait dire avec sa gouaille habituelle feu Jacques Chirac, lui aussi aux prises avec le Front National après un coup de tête et une dissolution hasardeuse. Mais le plébiscite et la martingale gaulliste ne fonctionneront pas deux fois de suite. La recette est éculée et les sondages pessimistes.
Quand la politique politicienne monte au créneau, la démocratie recule...
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Avez-vous remarqué que chaque fois que la politique politicienne avance c’est la démocratie qui recule ?
Un principe que n’a pas retenu Emmanuel Macron, dont le quinquennat pourrait s’achever dans une pagaille constitutionnelle indescriptible. Pourtant son courageux « Quoi qu’il en coûte » avait séduit les électeurs qui l’avaient porté aux nues.
Quelques années auparavant déjà, ils voyaient dans ce jeune cadre dynamique et sa cohorte, une nouvelle génération d’hommes et de femmes de pouvoir.
Làs, ce souvenir a fait long feu et il est malheureusement à craindre qu’il n’en reste pas grand chose dans les annales…
Je sais que ces quelques lignes ne changeront rien à l’affaire. Mais je me devais de les écrire pour rappeler à ceux qui prendront le temps de les lire que la France est le Pays des droits de l’homme. Que les Français peuvent être fiers d’être les citoyens d’une terre d’accueil qui ne laisse personne sur le chemin.
Mais pour combien de temps encore ?
Un principe que n’a pas retenu Emmanuel Macron, dont le quinquennat pourrait s’achever dans une pagaille constitutionnelle indescriptible. Pourtant son courageux « Quoi qu’il en coûte » avait séduit les électeurs qui l’avaient porté aux nues.
Quelques années auparavant déjà, ils voyaient dans ce jeune cadre dynamique et sa cohorte, une nouvelle génération d’hommes et de femmes de pouvoir.
Làs, ce souvenir a fait long feu et il est malheureusement à craindre qu’il n’en reste pas grand chose dans les annales…
Je sais que ces quelques lignes ne changeront rien à l’affaire. Mais je me devais de les écrire pour rappeler à ceux qui prendront le temps de les lire que la France est le Pays des droits de l’homme. Que les Français peuvent être fiers d’être les citoyens d’une terre d’accueil qui ne laisse personne sur le chemin.
Mais pour combien de temps encore ?
L'Editorial de Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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