Du GP à l’accès en classe Affaires... voire en Première !
Ajoutons que, au fur et mesure de leur avancement hiérarchique, les salariés bénéficient de billets non plus sans réservation comme cela est la règle pour tout le monde, mais de billets avec réservation et lorsque l’on est assez élevé, d’accès en classe Affaires voire Première.
Ajoutons encore que les petits copinages à bord des avions sont bien utiles pour comme on dit « upgrader » les bénéficiaires de ces billets.
Beaucoup de clients normaux qui, eux, paient leur voyage, se plaignent de voir arriver en Business Class voire en Première, des passagers qui n’ont manifestement pas payé le leur et se comportent parfois comme en pays conquis, copains qu’ils sont avec les équipages.
Ces pratiques ne seraient pas condamnables, après tout, d’autres secteurs d’activité octroient des privilèges à leurs salariés, si finalement elles ne déconnectaient pas les responsables du transport aérien des préoccupations de leurs clients.
Personne ne paie le vrai prix, celui qui est demandé aux autres passagers qui leur permettent de garder leurs privilèges. Comment alors voulez-vous que ces derniers soient pris en compte ?
Demandez donc à un cadre d’une compagnie aérienne le prix du billet pour le trajet sur lequel il voyage ?
Il ne faut pas s’étonner de l’absence de reconnaissance des clients puisque ces derniers ne sont jamais considérés comme tels, mais comme des passagers utilisant d’ailleurs des sièges qui pourraient être occupés par les personnels des compagnies… à titre gracieux.
Les corporatismes ont la vie dure. Y compris à l’intérieur des compagnies aériennes entre le personnel navigant et le personnel au sol, et même entre le personnel navigant technique, les seigneurs et le personnel navigant commercial. Leur disparition n’est pas pour demain.
Ajoutons encore que les petits copinages à bord des avions sont bien utiles pour comme on dit « upgrader » les bénéficiaires de ces billets.
Beaucoup de clients normaux qui, eux, paient leur voyage, se plaignent de voir arriver en Business Class voire en Première, des passagers qui n’ont manifestement pas payé le leur et se comportent parfois comme en pays conquis, copains qu’ils sont avec les équipages.
Ces pratiques ne seraient pas condamnables, après tout, d’autres secteurs d’activité octroient des privilèges à leurs salariés, si finalement elles ne déconnectaient pas les responsables du transport aérien des préoccupations de leurs clients.
Personne ne paie le vrai prix, celui qui est demandé aux autres passagers qui leur permettent de garder leurs privilèges. Comment alors voulez-vous que ces derniers soient pris en compte ?
Demandez donc à un cadre d’une compagnie aérienne le prix du billet pour le trajet sur lequel il voyage ?
Il ne faut pas s’étonner de l’absence de reconnaissance des clients puisque ces derniers ne sont jamais considérés comme tels, mais comme des passagers utilisant d’ailleurs des sièges qui pourraient être occupés par les personnels des compagnies… à titre gracieux.
Les corporatismes ont la vie dure. Y compris à l’intérieur des compagnies aériennes entre le personnel navigant et le personnel au sol, et même entre le personnel navigant technique, les seigneurs et le personnel navigant commercial. Leur disparition n’est pas pour demain.