En 2010, PSV aurait touché un total de 500 000 euros, salaires et primes comprises, pour mener à bien la fusion. Selon JP Mas, si le réseau avait fait appel à un cabinet spécialisé, c'est le double qu'il aurait fallu
Dans notre article AS Voyages (l'avenir de Philippe de Saint Victor, directeur général, est-il menacé ? LIRE) du 23 juin dernier, nous faisons état des divergences de vues entre Afat Voyages et Selectour concernant le rôle et la mission du directeur général.
Une information démentie en interne, selon nos sources. D'ailleurs, lors de l'Assemblée générale, les émoluments de PSV ont de nouveau été évoqués devant l'ensemble des adhérents, sans que l'affaire soulève des protestations.
En 2010, il aurait touché un total de 500 000 euros, salaires et primes comprises, pour mener à bien la fusion.
Selon JP Mas, ces indemnités se justifient, car si le réseau avait fait appel à un cabinet spécialisé, c'est le double qu'il aurait fallu débourser.
Répondant à un adhérent qui a remis sur le tapis l'affaire, il a même décidé de jouer la transparence totale et a confié à l'assemblée l'ensemble des salaires et des indemnités du board, du président au directeur général.
François-Xavier de Bouard, qui travaille à temps partiel toucherait 80 000 euros/an et JPM, à plein temps, 130 000 euros. Lors de la même AG, Philippe de Saint Victor, a été une nouvelle fois adoubé.
Faut-il croire pour autant que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ?
Une information démentie en interne, selon nos sources. D'ailleurs, lors de l'Assemblée générale, les émoluments de PSV ont de nouveau été évoqués devant l'ensemble des adhérents, sans que l'affaire soulève des protestations.
En 2010, il aurait touché un total de 500 000 euros, salaires et primes comprises, pour mener à bien la fusion.
Selon JP Mas, ces indemnités se justifient, car si le réseau avait fait appel à un cabinet spécialisé, c'est le double qu'il aurait fallu débourser.
Répondant à un adhérent qui a remis sur le tapis l'affaire, il a même décidé de jouer la transparence totale et a confié à l'assemblée l'ensemble des salaires et des indemnités du board, du président au directeur général.
François-Xavier de Bouard, qui travaille à temps partiel toucherait 80 000 euros/an et JPM, à plein temps, 130 000 euros. Lors de la même AG, Philippe de Saint Victor, a été une nouvelle fois adoubé.
Faut-il croire pour autant que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ?
L'affaire est loin d'être close...
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Difficile à croire car, selon nos informations, lors du Conseil d'administration qui se tenait la veille, l'ambiance aurait été tout autre.
Une sorte de vote de "confiance" (à l'initiative de qui ?) aurait été mis aux voix concernant le directeur général, son rôle, sa mission et ses différentes rémunérations.
Les administrateurs Selectour auraient voté le maintien et confirmé Philippe de Saint Victor dans son rôle et ses fonctions.
En revanche, un certain nombre d'administrateurs AFAT Voyages se seraient, selon nos sources, abstenus sur cette question.
Bien entendu, le contraire eût provoqué une crise politique majeure au sein du Conseil d'administration, avec un risque d'un clash trop important à la veille de l'Assemblée générale, la première où les deux réseaux présentaient leurs comptes consolidés aux adhérents.
Si ce vote a vraiment eu lieu, l'affaire est loin d'être close et confirme le malaise de la gouvernance au sein du réseau. Un malaise qui pourrait revenir sur le tapis si la conjoncture se dégradait encore...
Une sorte de vote de "confiance" (à l'initiative de qui ?) aurait été mis aux voix concernant le directeur général, son rôle, sa mission et ses différentes rémunérations.
Les administrateurs Selectour auraient voté le maintien et confirmé Philippe de Saint Victor dans son rôle et ses fonctions.
En revanche, un certain nombre d'administrateurs AFAT Voyages se seraient, selon nos sources, abstenus sur cette question.
Bien entendu, le contraire eût provoqué une crise politique majeure au sein du Conseil d'administration, avec un risque d'un clash trop important à la veille de l'Assemblée générale, la première où les deux réseaux présentaient leurs comptes consolidés aux adhérents.
Si ce vote a vraiment eu lieu, l'affaire est loin d'être close et confirme le malaise de la gouvernance au sein du réseau. Un malaise qui pourrait revenir sur le tapis si la conjoncture se dégradait encore...