Situé à dix minutes à peine du cours Mirabeau, l’avenue la plus célèbre et la plus animée d’Aix-en-Provence, le cinq étoiles Renaissance est un magnifique compagnon de voyage pour qui veut s’offrir un grand week-end so chic et un peu "arty" dans la "cité aux mille fontaines".
Son hospitalité élégante est faite de gastronomie, de bien-être et d'expériences artistiques.
Il dispose d’un parking. Cependant, Aix est facilement accessible en avion (aéroport Marseille-Provence à 25 minutes) et en train (gare à 15 minutes).
Son hospitalité élégante est faite de gastronomie, de bien-être et d'expériences artistiques.
Il dispose d’un parking. Cependant, Aix est facilement accessible en avion (aéroport Marseille-Provence à 25 minutes) et en train (gare à 15 minutes).
Le Renaissance Aix-en-Provence pensé comme une galerie d'artistes
L'intérieur du Renaissance a été conçu comme une galerie d'artistes. Ici, le bar l'Avant-Scène (©Romy Agency/Renaissance Aix)
Lorsqu'il a ouvert, il y a dix ans, à Aix-en-Provence, le "Renaissance" a innové, à bien des égards.
Avec ses dimensions impressionnantes (10 500 m2 de surface totale et 1 000 m2 de jardin paysagé), ce paquebot était le plus grand hôtel aixois.
Il était aussi, en Provence, le premier établissement de la marque Renaissance, enseigne haut de gamme du Groupe Marriott, chargé de son exploitation.
Enfin, ce 5 étoiles installé dans le paysage urbain du nouveau quartier du Forum Culturel, jouxte le Grand Théâtre de Provence, le nouveau Conservatoire et le centre chorégraphique national qui a valu à son concepteur, Rudy Ricciotti, le Grand prix national de l’architecture.
Par son allure extérieure moderne, il s'inscrit donc dans l'esprit de ce nouveau quartier pas forcément bouleversant d'inventivité architecturale. En revanche, l'intérieur, spacieux, lumineux et fidèle aux codes de la marque Renaissance, confirme l'ambition d'offrir un univers "intriguant, indigène et indépendant".
Avec ses dimensions impressionnantes (10 500 m2 de surface totale et 1 000 m2 de jardin paysagé), ce paquebot était le plus grand hôtel aixois.
Il était aussi, en Provence, le premier établissement de la marque Renaissance, enseigne haut de gamme du Groupe Marriott, chargé de son exploitation.
Enfin, ce 5 étoiles installé dans le paysage urbain du nouveau quartier du Forum Culturel, jouxte le Grand Théâtre de Provence, le nouveau Conservatoire et le centre chorégraphique national qui a valu à son concepteur, Rudy Ricciotti, le Grand prix national de l’architecture.
Par son allure extérieure moderne, il s'inscrit donc dans l'esprit de ce nouveau quartier pas forcément bouleversant d'inventivité architecturale. En revanche, l'intérieur, spacieux, lumineux et fidèle aux codes de la marque Renaissance, confirme l'ambition d'offrir un univers "intriguant, indigène et indépendant".
Boire son café face à la Sainte-Victoire
D'évidence, il a été pensé comme une véritable galerie d'artistes au cœur de la ville : partout, des peintures et sculptures contemporaines égayent les espaces.
Les 133 chambres (dont trois belles suites), sobres et raffinées ont, elles, intégré des éléments locaux dans leur décoration : les têtes de lit, blanches, sont ornées de capitons en forme de "calisson", cette confiserie aixoise à base de melon confit et d'amandes, nappée de blanc ; le linge de lit, blanc également, est rehaussé par le tour jaune d'un coussin, couleur que l'on retrouve sur le bureau.
Les motifs de la moquette s’inspirent à la fois des formes des tomettes provençales et des couleurs des calissons.
Ceux qui logent au cinquième étage, profitent, en sus, d'une vue sur la fameuse « Sainte Victoire », peinte des dizaines de fois par Cézanne : installés sur le balcon de leur chambre, ils peuvent boire leur premier café du matin en regardant le jour se lever sur cette montagne devenue mythique. Un pur bonheur !
Pour profiter de ce petit paradis qui dispose aussi de voituriers, bagagistes et d’une conciergerie, compter, l’été, à partir de 450€ par chambre et de 650€ pour une suite Junior. L’hiver, compter à partir de 220€ par chambre et de 450€ par suite.
Les 133 chambres (dont trois belles suites), sobres et raffinées ont, elles, intégré des éléments locaux dans leur décoration : les têtes de lit, blanches, sont ornées de capitons en forme de "calisson", cette confiserie aixoise à base de melon confit et d'amandes, nappée de blanc ; le linge de lit, blanc également, est rehaussé par le tour jaune d'un coussin, couleur que l'on retrouve sur le bureau.
Les motifs de la moquette s’inspirent à la fois des formes des tomettes provençales et des couleurs des calissons.
Ceux qui logent au cinquième étage, profitent, en sus, d'une vue sur la fameuse « Sainte Victoire », peinte des dizaines de fois par Cézanne : installés sur le balcon de leur chambre, ils peuvent boire leur premier café du matin en regardant le jour se lever sur cette montagne devenue mythique. Un pur bonheur !
Pour profiter de ce petit paradis qui dispose aussi de voituriers, bagagistes et d’une conciergerie, compter, l’été, à partir de 450€ par chambre et de 650€ pour une suite Junior. L’hiver, compter à partir de 220€ par chambre et de 450€ par suite.
Partout, des couleurs et des saveurs
Marché sur la Place Richelme (à droite). Au fond, à gauche, la Tour de l'Horloge. Et, juste avant, l'Hôtel de ville (©PB)
Si l'on arrive dans la matinée, autant en profiter pour explorer sans tarder Aix-en-Provence, une ville très vivante où un tiers des 140 000 habitants sont étudiants.
La balade se fait à pied sans difficulté jusqu’au Cours Mirabeau où s’installent, les mardi, jeudi et samedi matins, vendeurs de vêtements et de brocante. Les même matins, la place de la Madeleine, la place des Prêcheurs et la place de Verdun - toutes proches - accueillent, chacune, un grand marché de fruits et légumes.
Sur la place Richelme, non loin de l’hôtel de ville, c’est tous les matins que se tient un petit marché. On admire les couleurs et la fraîcheur des tomates, des radis ou des têtes d’ail avant d’acheter - c’est plus facile à rapporter - un pot de miel de pays.
A deux pas, la rue Gaston de Saporta fait la fête aux gourmands. Au numéro 4, Christophe vend de délicieuses madeleines. Au numéro 11, la jolie boutique Le Roy René propose des douceurs provençales. Des calissons traditionnels bien sûr, mais aussi des calissons parfumés à la lavande, à la rose, à la pistache... Inattendu et délicieux !
Enfin, juste en face, Caramel & Cie décline le caramel sous toutes ses formes et saveurs.
La balade se fait à pied sans difficulté jusqu’au Cours Mirabeau où s’installent, les mardi, jeudi et samedi matins, vendeurs de vêtements et de brocante. Les même matins, la place de la Madeleine, la place des Prêcheurs et la place de Verdun - toutes proches - accueillent, chacune, un grand marché de fruits et légumes.
Sur la place Richelme, non loin de l’hôtel de ville, c’est tous les matins que se tient un petit marché. On admire les couleurs et la fraîcheur des tomates, des radis ou des têtes d’ail avant d’acheter - c’est plus facile à rapporter - un pot de miel de pays.
A deux pas, la rue Gaston de Saporta fait la fête aux gourmands. Au numéro 4, Christophe vend de délicieuses madeleines. Au numéro 11, la jolie boutique Le Roy René propose des douceurs provençales. Des calissons traditionnels bien sûr, mais aussi des calissons parfumés à la lavande, à la rose, à la pistache... Inattendu et délicieux !
Enfin, juste en face, Caramel & Cie décline le caramel sous toutes ses formes et saveurs.
La "ville aux mille fontaines", vraiment ?
Que l’on se laisse tenter ou pas par ces douceurs, il est, ensuite, l’heure de boire un verre et même déjeuner sur la place Richelme où les terrasses des cafés s’étendent dès que le marché se termine.
L’après-midi venu, on peut flâner encore au hasard, avec plaisir. Pour une découverte un peu plus savante, il est préférable de se faire accompagner par Frédéric Paul, guide-conférencier qui a développé le concept "le visible est invisible".
"Aix, assure-t-il en fin connaisseur, est une ville de perspectives. Beaucoup de rues débouchent sur une église, un portail, une belle façade, une place, une fontaine".
Surnommée la "ville des mille fontaines", Aix en compte encore 102, selon Frédéric Paul. Indiscutablement, la plus belle de toutes, la plus grande aussi, c’est la Fontaine de la Rotonde. Inaugurée en 1860 au bas du Cours Mirabeau, elle en impose avec ses 32 mètres de diamètre, ses 12 mètres de haut, ses lions sculptés autour du bassin principal, et, en son centre, les trois statues de marbre qui lui valent parfois le surnom de "fontaine des trois Grâces".
Sa réputation de "ville d’eau", Aix la tient de l’Antiquité. Elle a été fondée en 122 av. J-C. sous le nom d’Aquae Sextiae (les eaux de Sextius) par le général romain Caius Sextius Calvinus qui avait, d’emblée, compris le potentiel des abondantes sources locales -chaudes et froides.
Des sources qui permettront la construction d’aqueducs et l’ouverture de thermes dont il reste encore quelques vestiges visibles à l’endroit même où l’activité thermale se perpétue depuis plus de 2 000 ans.
Au carrefour de plusieurs voies de communication, Aix a, très vite, prospéré. A l’époque médiévale, lors de la création du comté de Provence, elle est devenue capitale. En 1481, lors du rattachement de la Provence à la France, elle a gardé des privilèges, notamment celui d’avoir un Parlement.
Si, à la Révolution, Aix a perdu ce privilège, elle s’est réinventée, plus tard, en ville industrielle grâce à ses confiseries, chapelleries et autres fonderies, tout en conservant sa vocation administrative et aussi judiciaire. Aujourd’hui, Aix abrite encore la deuxième cour d’appel de France !
L’après-midi venu, on peut flâner encore au hasard, avec plaisir. Pour une découverte un peu plus savante, il est préférable de se faire accompagner par Frédéric Paul, guide-conférencier qui a développé le concept "le visible est invisible".
"Aix, assure-t-il en fin connaisseur, est une ville de perspectives. Beaucoup de rues débouchent sur une église, un portail, une belle façade, une place, une fontaine".
Surnommée la "ville des mille fontaines", Aix en compte encore 102, selon Frédéric Paul. Indiscutablement, la plus belle de toutes, la plus grande aussi, c’est la Fontaine de la Rotonde. Inaugurée en 1860 au bas du Cours Mirabeau, elle en impose avec ses 32 mètres de diamètre, ses 12 mètres de haut, ses lions sculptés autour du bassin principal, et, en son centre, les trois statues de marbre qui lui valent parfois le surnom de "fontaine des trois Grâces".
Sa réputation de "ville d’eau", Aix la tient de l’Antiquité. Elle a été fondée en 122 av. J-C. sous le nom d’Aquae Sextiae (les eaux de Sextius) par le général romain Caius Sextius Calvinus qui avait, d’emblée, compris le potentiel des abondantes sources locales -chaudes et froides.
Des sources qui permettront la construction d’aqueducs et l’ouverture de thermes dont il reste encore quelques vestiges visibles à l’endroit même où l’activité thermale se perpétue depuis plus de 2 000 ans.
Au carrefour de plusieurs voies de communication, Aix a, très vite, prospéré. A l’époque médiévale, lors de la création du comté de Provence, elle est devenue capitale. En 1481, lors du rattachement de la Provence à la France, elle a gardé des privilèges, notamment celui d’avoir un Parlement.
Si, à la Révolution, Aix a perdu ce privilège, elle s’est réinventée, plus tard, en ville industrielle grâce à ses confiseries, chapelleries et autres fonderies, tout en conservant sa vocation administrative et aussi judiciaire. Aujourd’hui, Aix abrite encore la deuxième cour d’appel de France !
L'Hôtel de Caumont fête "Bonnard et le Japon"
Des oeuvres japonisantes de Bonnard se découvrent en montant l'impressionnant escalier de l'Hôtel de Caumont (©PB)
"Bien que fière de son passé, Aix n’est pas une ville musée", insiste Frédéric Paul. Des musées, la ville en compte plusieurs cependant, qui sont au programme de notre deuxième journée.
Jusqu’au 6 octobre 2024, l'hôtel de Caumont abrite une dépaysante exposition consacrée au peintre Pierre Bonnard (1867-1947) et à ses relations avec le Japon. Elle mérite d’être vue pour elle-même.
Elle permet aussi de mieux apprécier l’architecture de l’un des beaux hôtels particuliers d'Aix : quelques-unes des peintures inspirées à Bonnard par des estampes japonaises sont, en effet, accrochées dans le somptueux escalier.
Fondateur, avec d’autres, du groupe des Nabis, un mouvement pictural post-impressioniste qui voulait libérer la peinture des exigences du réalisme, Pierre Bonnard a été sensible, comme Claude Monet et bien d’autres, à la grande vague "japoniste" qui a déferlé sur les arts pendant la seconde moitié du XIXe siècle. Il était donc devenu acheteur et collectionneur d’estampes japonaises.
En faisant dialoguer de superbes estampes de Hokusai, Hiroshige ou Utamaro avec des œuvres de Bonnard, l’exposition de l’hôtel de Caumont décortique leur influence sur l’œuvre du peintre français, sur le plan esthétique, mais aussi spirituel. Marqué par le principe bouddhiste de l’impermanence des choses, Bonnard a peint inlassablement, à la fin de sa vie, dans son jardin du Cannet, la beauté fugace d’un amandier en fleur au creux de l’hiver.
Après l’exposition, nul besoin d’aller bien loin : sur place, le Café Caumont - décoré très Grand siècle - et sa terrasse donnant sur un jardin à la française, permettent de déjeuner agréablement.
Ensuite, cinq minutes suffisent pour arriver au musée Granet, sur la Place Saint-Jean.
Ce musée qui porte le nom d’un peintre local et consacre du 15 juin au 29 septembre 2024 une exposition temporaire à Jean Daret (1614-1668), grand peintre du baroque provençal, est d’abord un musée de collectionneurs ayant fait don de leurs collections à la ville.
La collection Planque est toutefois exposée trois rues plus loin, dans une chapelle connue sous le nom d'église Saint-Jean de Malte.
Les deux sites valent vraiment le coup. Ils abritent entre autres un autoportrait de Rembrandt, deux Rubens, des Ingres, des Cézanne, des Picasso, des Dubuffet et bien d'autres.
Jusqu’au 6 octobre 2024, l'hôtel de Caumont abrite une dépaysante exposition consacrée au peintre Pierre Bonnard (1867-1947) et à ses relations avec le Japon. Elle mérite d’être vue pour elle-même.
Elle permet aussi de mieux apprécier l’architecture de l’un des beaux hôtels particuliers d'Aix : quelques-unes des peintures inspirées à Bonnard par des estampes japonaises sont, en effet, accrochées dans le somptueux escalier.
Fondateur, avec d’autres, du groupe des Nabis, un mouvement pictural post-impressioniste qui voulait libérer la peinture des exigences du réalisme, Pierre Bonnard a été sensible, comme Claude Monet et bien d’autres, à la grande vague "japoniste" qui a déferlé sur les arts pendant la seconde moitié du XIXe siècle. Il était donc devenu acheteur et collectionneur d’estampes japonaises.
En faisant dialoguer de superbes estampes de Hokusai, Hiroshige ou Utamaro avec des œuvres de Bonnard, l’exposition de l’hôtel de Caumont décortique leur influence sur l’œuvre du peintre français, sur le plan esthétique, mais aussi spirituel. Marqué par le principe bouddhiste de l’impermanence des choses, Bonnard a peint inlassablement, à la fin de sa vie, dans son jardin du Cannet, la beauté fugace d’un amandier en fleur au creux de l’hiver.
Après l’exposition, nul besoin d’aller bien loin : sur place, le Café Caumont - décoré très Grand siècle - et sa terrasse donnant sur un jardin à la française, permettent de déjeuner agréablement.
Ensuite, cinq minutes suffisent pour arriver au musée Granet, sur la Place Saint-Jean.
Ce musée qui porte le nom d’un peintre local et consacre du 15 juin au 29 septembre 2024 une exposition temporaire à Jean Daret (1614-1668), grand peintre du baroque provençal, est d’abord un musée de collectionneurs ayant fait don de leurs collections à la ville.
La collection Planque est toutefois exposée trois rues plus loin, dans une chapelle connue sous le nom d'église Saint-Jean de Malte.
Les deux sites valent vraiment le coup. Ils abritent entre autres un autoportrait de Rembrandt, deux Rubens, des Ingres, des Cézanne, des Picasso, des Dubuffet et bien d'autres.
Un dîner plein d’Atmosph’R
La décoration comme la gastronomie du restaurant Atmosph'R sont remplis de touches colorées (©Renaissance/PDANIEL)
Après cette nouvelle découverte, il est temps de profiter du Renaissance.
A la belle saison, il est agréable de se prélasser autour de la piscine extérieure chauffée et de prendre un verre à l'ombre des parasols et des palmiers du jardin qui l’entoure, voire de s’y offrir un petit repas au "Palm's".
Pour notre part, nous avons préféré boire un cocktail sans alcool baptisé "Bali" au bar lounge "l'Avant-Scène", installé près de la réception. Puis dîner au restaurant Atmosph’R. Le chef exécutif Vincent Merly y sublime les produits frais et locaux, réhaussés de touches originales comme, par exemple, le délicieux ceviche de thon méditerranéen et les originaux farcis provençaux que nous avons dégustés.
Pour clore cette journée magnifique quoiqu’un peu chargée, la literie king size de notre chambre était plus que bienvenue !
A la belle saison, il est agréable de se prélasser autour de la piscine extérieure chauffée et de prendre un verre à l'ombre des parasols et des palmiers du jardin qui l’entoure, voire de s’y offrir un petit repas au "Palm's".
Pour notre part, nous avons préféré boire un cocktail sans alcool baptisé "Bali" au bar lounge "l'Avant-Scène", installé près de la réception. Puis dîner au restaurant Atmosph’R. Le chef exécutif Vincent Merly y sublime les produits frais et locaux, réhaussés de touches originales comme, par exemple, le délicieux ceviche de thon méditerranéen et les originaux farcis provençaux que nous avons dégustés.
Pour clore cette journée magnifique quoiqu’un peu chargée, la literie king size de notre chambre était plus que bienvenue !
Se relaxer au Spa
Ce dimanche matin, pourquoi ne pas prendre soin de soi ? Le Spa Esthederm by Renaissance, équipé de plusieurs cabines de soin, d’un espace fitness, d’un hammam et d’une piscine intérieure, dispense des massages, des gommages et des soins du visage.
Le dimanche, le Renaissance propose aussi une formule "brunch (au restaurant Atmosph’R) + massage relaxant au Spa". 110 € pour un massage de 30 minutes. 160 € pour un massage d’une heure. Ouverte à tous, cette formule dominicale a beaucoup de succès auprès des Aixois et même des Marseillais !
Le dimanche, le Renaissance propose aussi une formule "brunch (au restaurant Atmosph’R) + massage relaxant au Spa". 110 € pour un massage de 30 minutes. 160 € pour un massage d’une heure. Ouverte à tous, cette formule dominicale a beaucoup de succès auprès des Aixois et même des Marseillais !
Incursion dans la campagne aixoise
Devant l'auditorium conçu par Oscar Nemeyer, une oeuvre de Damien Hirst se reflète dans l'eau. C'est l'une des 10 sculptures monumentales posées sur le parcours Art et Architecture (©PB)
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Ceux qui sont motorisés peuvent tenter aussi une incursion dans l’élégante campagne aixoise, peuplée de jolies bourgades couvertes de tuiles rouges, de champs d’oliviers et d’innombrables vignes produisant des AOC rouges, rosés et blancs nommés "Côteaux-d'Aix".
Au Puy-Sainte-Réparade, à 20 minutes d’Aix, les 200 hectares de vignes du château La Coste sont labourés par des chevaux et gouvernés en biodynamie, depuis le rachat, voici quinze ans, par l’Irlandais Patrick McKillen. Un nouveau chai de vinification imaginé par Jean Nouvel est aussi sorti de terre.
Par ailleurs, le domaine est devenu un Centre d'art. Depuis, des architectes de renom (Tadao Ando, Frank Gehry, Oscar Nemeyer, Renzo Piano, Wilmotte) ont conçu (ou aménagé) tous les bâtiments dédiés à l’art ou la musique.
Tout autour, de vastes replis engazonnés accueillent dix sculptures monumentales de plasticiens de renom : Louise Bourgeois, Alexander Calder, Tunga, Goldsworthy, Ai Weiwei... Enfin, cet été, pour la première fois, tous les espaces d’expositions accueillent le travail - pour le moins éclectique et parfois surprenant - du plasticien britannique Damien Hirst.
Après ces découvertes, on se régale sous les arbres du restaurant du domaine, dans une ambiance bon enfant, d’une bonne cuisine provençale accompagnée d’un verre de blanc Château La Coste "Les pentes douces", délicieusement fruité. La boutique, elle, propose dégustation et vente des vins du château.
Ensuite, s’il reste un peu de temps, on file au château Bonisson, à Rognes. Ce domaine viticole est également géré en biodynamie, par Victoire, la fille de Christian Le Dorze, propriétaire depuis 2017.
Ce septuagénaire passionné d’art contemporain a, lui aussi, aménagé un Centre d’art. Cet été, son exposition (entrée gratuite) réalisée avec le FRAC, est dédiée à l’art minimal. Son intitulé ? "Less is more".
Décidément, l’art est une source d’inspiration si grande à Aix et ses environs qu’il faudrait avoir plus qu’un grand week-end devant soi. C’est donc à regret qu’arrive l’heure du retour.
Lire aussi : Les Alpilles, la Provence en majesté
Au Puy-Sainte-Réparade, à 20 minutes d’Aix, les 200 hectares de vignes du château La Coste sont labourés par des chevaux et gouvernés en biodynamie, depuis le rachat, voici quinze ans, par l’Irlandais Patrick McKillen. Un nouveau chai de vinification imaginé par Jean Nouvel est aussi sorti de terre.
Par ailleurs, le domaine est devenu un Centre d'art. Depuis, des architectes de renom (Tadao Ando, Frank Gehry, Oscar Nemeyer, Renzo Piano, Wilmotte) ont conçu (ou aménagé) tous les bâtiments dédiés à l’art ou la musique.
Tout autour, de vastes replis engazonnés accueillent dix sculptures monumentales de plasticiens de renom : Louise Bourgeois, Alexander Calder, Tunga, Goldsworthy, Ai Weiwei... Enfin, cet été, pour la première fois, tous les espaces d’expositions accueillent le travail - pour le moins éclectique et parfois surprenant - du plasticien britannique Damien Hirst.
Après ces découvertes, on se régale sous les arbres du restaurant du domaine, dans une ambiance bon enfant, d’une bonne cuisine provençale accompagnée d’un verre de blanc Château La Coste "Les pentes douces", délicieusement fruité. La boutique, elle, propose dégustation et vente des vins du château.
Ensuite, s’il reste un peu de temps, on file au château Bonisson, à Rognes. Ce domaine viticole est également géré en biodynamie, par Victoire, la fille de Christian Le Dorze, propriétaire depuis 2017.
Ce septuagénaire passionné d’art contemporain a, lui aussi, aménagé un Centre d’art. Cet été, son exposition (entrée gratuite) réalisée avec le FRAC, est dédiée à l’art minimal. Son intitulé ? "Less is more".
Décidément, l’art est une source d’inspiration si grande à Aix et ses environs qu’il faudrait avoir plus qu’un grand week-end devant soi. C’est donc à regret qu’arrive l’heure du retour.
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Publié par Paula Boyer Responsable rubrique LuxuryTravelMaG - TourMaG.com
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