Peut-être bien, si j’en crois le mot de bienvenue adressé à leurs « associés du réseau » (sic) Laurent Abitbol et son prince-consort à la tête du réseau, Valérie Muggeo, dont le sourire bienveillant et la quiétude apaisent, face à la bouillonnance du « Patron ».
« Engagements et investissements » sont au programme de la manifestation, car, indiquent les présidents, « tous les sujets d’actualité et d’avenir y seront abordés, avec le désir de partager et d’échanger librement… ».
Va-t-on aborder la faillite récente de Thomas Cook ?
Va-t-on enfin oser aborder les vrais sujets qui fâchent et notamment ce qui, mine de rien, a causé un tort immense à la profession, les « flux financiers », particulièrement et principalement entre distributeurs et fournisseurs... lesquels, soit dit en passant et avec un sourire hilare, sont appelés durant ce Congrès, les « partenaires ». Cqfd !
« Engagements et investissements » sont au programme de la manifestation, car, indiquent les présidents, « tous les sujets d’actualité et d’avenir y seront abordés, avec le désir de partager et d’échanger librement… ».
Va-t-on aborder la faillite récente de Thomas Cook ?
Va-t-on enfin oser aborder les vrais sujets qui fâchent et notamment ce qui, mine de rien, a causé un tort immense à la profession, les « flux financiers », particulièrement et principalement entre distributeurs et fournisseurs... lesquels, soit dit en passant et avec un sourire hilare, sont appelés durant ce Congrès, les « partenaires ». Cqfd !
Autres articles
-
Manor : L. A. confidential...
-
EXCLUSIF - Fournisseurs impayés : que se passe-t-il chez Univairmer ? [ABO]
-
Marietton Développement ira à l'étranger "en septembre 2025" 🔑
-
Selectour : Laurent Abitbol réélu président du Directoire
-
Laurent Abitbol : Selectour va distribuer "le plus gros bonus de l’histoire"
Partenaires qui eux, aborderont le sujet lors du prochain forum de leur syndicat, Seto, à Porto la semaine prochaine.
Parce que ça, c’est un vrai sujet. Et je connais certains « partenaires » qui sont remontés comme des pendules.
Bien objectivement, il est certain qu’ils n’ont pas tout à fait tort : pourquoi, alors que pour la plupart, ils acquittent, selon leur degré de référencement, des commissions pas négligeables, seraient-ils payés 30 jours (au minimum) après le retour de leurs clients ?
D’ailleurs, on peut aussi réfléchir sur cette notion d’appartenance du client…
Un sujet qui concerne aussi les compagnies aériennes, généralement très discrètes lorsque l’on parle de ces sujets « fâcheux », mais qui, elles, restent droites dans leurs bottes : tant que le client n’a pas payé, on n’émet pas le billet…
Et si la compagnie fait faillite, c’est dommage… mais tant pis !
Parce que ça, c’est un vrai sujet. Et je connais certains « partenaires » qui sont remontés comme des pendules.
Bien objectivement, il est certain qu’ils n’ont pas tout à fait tort : pourquoi, alors que pour la plupart, ils acquittent, selon leur degré de référencement, des commissions pas négligeables, seraient-ils payés 30 jours (au minimum) après le retour de leurs clients ?
D’ailleurs, on peut aussi réfléchir sur cette notion d’appartenance du client…
Un sujet qui concerne aussi les compagnies aériennes, généralement très discrètes lorsque l’on parle de ces sujets « fâcheux », mais qui, elles, restent droites dans leurs bottes : tant que le client n’a pas payé, on n’émet pas le billet…
Et si la compagnie fait faillite, c’est dommage… mais tant pis !
Sans oublier aussi que ces compagnies aériennes n’hésitent pas à utiliser cette trésorerie des « BENU » (j’adore ce terme qui signifie Billet Émis Non Utilisé) afin de poursuivre leurs opérations.
Le cas récent d’Aigle Azur est flagrant : c’est une compagnie qui aurait dû déposer son bilan depuis quasiment un an…
IATA va rester intraitable : pas question de changer quoi que ce soit.
Sans grand risque de me tromper, je pense que, du côté de la distribution vis-à-vis des « partenaires », il n’y aura pas non plus de grandes avancées… et les partenaires vont devoir faire aussi leur chemin de croix !
Et que, pour le moment du moins, ce sont bien les agences de voyages qui tiennent les rênes. Pas décidées du tout à les lâcher.
J’ai bien souvent entendu ces derniers temps un « niet » catégorique, assorti d’un « jamais » tout aussi ferme envers un soupçon de changement dans ces pratiques…
J’ai aussi, mais ça on ne l’abordera pas à Jérusalem, une immense pensée pour tous ces salariés de Thomas Cook, répartis entre les repreneurs, qui ne savent pas trop comment leurs contrats vont être repris.
Quant à ceux qui vont purement et simplement rester sur le carreau, on leur avait annoncé un PSE qui ne viendra sans doute jamais…
Peut-être devrait-on un jour, aborder aussi dans ces congrès, le volet social des entreprises du tourisme…
C’est aussi ça l’engagement et l’investissement, n’est-il pas ?
Le cas récent d’Aigle Azur est flagrant : c’est une compagnie qui aurait dû déposer son bilan depuis quasiment un an…
IATA va rester intraitable : pas question de changer quoi que ce soit.
Sans grand risque de me tromper, je pense que, du côté de la distribution vis-à-vis des « partenaires », il n’y aura pas non plus de grandes avancées… et les partenaires vont devoir faire aussi leur chemin de croix !
Et que, pour le moment du moins, ce sont bien les agences de voyages qui tiennent les rênes. Pas décidées du tout à les lâcher.
J’ai bien souvent entendu ces derniers temps un « niet » catégorique, assorti d’un « jamais » tout aussi ferme envers un soupçon de changement dans ces pratiques…
J’ai aussi, mais ça on ne l’abordera pas à Jérusalem, une immense pensée pour tous ces salariés de Thomas Cook, répartis entre les repreneurs, qui ne savent pas trop comment leurs contrats vont être repris.
Quant à ceux qui vont purement et simplement rester sur le carreau, on leur avait annoncé un PSE qui ne viendra sans doute jamais…
Peut-être devrait-on un jour, aborder aussi dans ces congrès, le volet social des entreprises du tourisme…
C’est aussi ça l’engagement et l’investissement, n’est-il pas ?