Selectour, depuis sa fusion avec Afat (et vice versa), en aura connu pourtant des déboires, des pseudo-révolutions, des crises diverses et variées. Bitbol est arrivé, comme il le dit « au bon moment » et depuis, le calme est revenu au Conseil d’Administration - DR
Il y a à peine une petite dizaine d’années, durant un congrès de l’ancien Znav, je me souviens avoir dîné à une table, face à un type d’une discrétion qui tenait quasi du mutisme… C’était Laurent Abitbol, à l’époque patron d’un petit TO qui était loin de tenir le haut du pavé dans le secteur du tourisme français…
J’y pensais l’autre soir, en écoutant Abitbol tenir son allocution durant ce cocktail Selectour, désormais devenu une entreprise à part entière. Et qui n’a désormais qu’un seul souci : faire du cash, du blé, du flouze, sans états d’âme et forte de son caractère quasi incontournable envers les tour-opérateurs fournisseurs.
Fournisseurs qui n’ont plus qu’une seule solution afin d’assurer leur distribution : passer sous les fourches caudines du réseau !
Faut dire aussi que celui qui a été nommé par mes confrères du QdT « La personnalité touristique de l’année » a fait fort, très fort, pas à pas, parfois chassé par la porte mais immédiatement de retour par la fenêtre.
J’y pensais l’autre soir, en écoutant Abitbol tenir son allocution durant ce cocktail Selectour, désormais devenu une entreprise à part entière. Et qui n’a désormais qu’un seul souci : faire du cash, du blé, du flouze, sans états d’âme et forte de son caractère quasi incontournable envers les tour-opérateurs fournisseurs.
Fournisseurs qui n’ont plus qu’une seule solution afin d’assurer leur distribution : passer sous les fourches caudines du réseau !
Faut dire aussi que celui qui a été nommé par mes confrères du QdT « La personnalité touristique de l’année » a fait fort, très fort, pas à pas, parfois chassé par la porte mais immédiatement de retour par la fenêtre.
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Selectour : Laurent Abitbol réélu président du Directoire
Selectour, depuis sa fusion avec Afat (et vice versa), en aura connu pourtant des déboires, des pseudo-révolutions, des crises diverses et variées. Bitbol est arrivé, comme il le dit « au bon moment » et depuis, le calme est revenu au Conseil d’Administration.
Il est certain que la transformation voulue par son actuel président et surtout la vision future d’un réseau de distribution qui gagne de l’argent, ça a calmé certains esprits.
Je remarque d’ailleurs le silence assourdissant de l’ex-opposition du réseau. Sans doute que la perspective de gagner davantage de monnaie en a calmé plus d’un, mais tout ceci est du passé.
On va voit maintenant comment les choses vont évoluer. Les TO, qui cependant pestent contre les « coûts » de distribution, ont toujours été totalement incapables de s’unir, histoire de calmer les ardeurs de cette distribution dont ils ne peuvent (toujours pas) se passer…
Il est certain que la transformation voulue par son actuel président et surtout la vision future d’un réseau de distribution qui gagne de l’argent, ça a calmé certains esprits.
Je remarque d’ailleurs le silence assourdissant de l’ex-opposition du réseau. Sans doute que la perspective de gagner davantage de monnaie en a calmé plus d’un, mais tout ceci est du passé.
On va voit maintenant comment les choses vont évoluer. Les TO, qui cependant pestent contre les « coûts » de distribution, ont toujours été totalement incapables de s’unir, histoire de calmer les ardeurs de cette distribution dont ils ne peuvent (toujours pas) se passer…
Pire encore : malgré leurs réticences, ces mêmes tour-opérateurs se sont (presque) tous jetés dans les bras du plus important réseau de distribution français.
Et il faut croire que certains ont des tendances SM car ils sont allés jusqu'à offrir des taux de commission qui frisaient l’indécence…
Mais ils sont quasi tous allés à Canossa, si je puis me permettre !
En même temps, pour Laurent Abitbol, c’est aussi l’année de tous les dangers. Pas question de se planter ou de faire le moindre faux pas, ce serait la chute assurée et le secteur, pas plus que les financiers, ne lui accorderaient la moindre indulgence.
Le prochain Congrès qui se tiendra en novembre prochain, en plein centre de Jérusalem, va être décisif.
Non pas par la présence de l’invité d’honneur, Nicolas Sarkozy, lequel prépare peut-être un éternel retour, - comme quoi les voies du tourisme mènent à tout, comme les chemins vers Rome -, mais surtout par la capacité de Laurent Abitbol à concrétiser les promesses faites aux adhérents.
Réussir à les fédérer totalement, réussir ce fameux grand chelem notamment sur le plan technologique, NDC en particulier, pouvoir enfin offrir à ses « référencés » un véritable pilotage des ventes, poursuivre une croissance parfois délicate…
C’est bien parti, mais c’est pas encore gagné !
Et il faut croire que certains ont des tendances SM car ils sont allés jusqu'à offrir des taux de commission qui frisaient l’indécence…
Mais ils sont quasi tous allés à Canossa, si je puis me permettre !
En même temps, pour Laurent Abitbol, c’est aussi l’année de tous les dangers. Pas question de se planter ou de faire le moindre faux pas, ce serait la chute assurée et le secteur, pas plus que les financiers, ne lui accorderaient la moindre indulgence.
Le prochain Congrès qui se tiendra en novembre prochain, en plein centre de Jérusalem, va être décisif.
Non pas par la présence de l’invité d’honneur, Nicolas Sarkozy, lequel prépare peut-être un éternel retour, - comme quoi les voies du tourisme mènent à tout, comme les chemins vers Rome -, mais surtout par la capacité de Laurent Abitbol à concrétiser les promesses faites aux adhérents.
Réussir à les fédérer totalement, réussir ce fameux grand chelem notamment sur le plan technologique, NDC en particulier, pouvoir enfin offrir à ses « référencés » un véritable pilotage des ventes, poursuivre une croissance parfois délicate…
C’est bien parti, mais c’est pas encore gagné !